filter
Categories
Languages
Alain Jouffroy
6 produits trouvés
-
L'ordre discontinu
Alain Jouffroy
- FeniXX réédition numérique (Soleil noir)
- Soleil noir
- 20 January 2023
- 9782307288985
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
-
L'Espace du malentendu
Alain Jouffroy
- FeniXX réédition numérique (Christian Bourgois)
- 29 October 2015
- 9782402042109
J'ai écrit ce récit pour revenir à mes amis, au pays, aux paysages de mon enfance. J'ai rencontré Théo avant de rencontrer Alexandre, mais d'une rencontre à l'autre, c'est le temps-qu'il-y-a dont il s'agit, le temps ou parvenir au but et ne pas parvenir au but sont le temps qu'il fait, depuis longtemps déjà, en France. Je me suis donc rencontré, comme Théo s'est rencontré lui-même : à travers la peinture. Du même coup, nous avons rencontré notre sortie. Mais cette sortie, avant de la trouver dans sa peinture, Alexandre, jeune peintre de la périphérie, jeune peintre du pays de Géricault, l'avait trouvée dans une femme : Mona. Ainsi, la peinture et la femme, une seule et même chose, seront ce qui nous reste. L'espace du malentendu, celui où l'on ne s'entend pas, c'est ce qu'il nous faut traverser, pour passer de ce côté-là, où la foudre tombe sur les événements. J'ai écrit ce récit pour revenir à mes amis, à ce silence hanté par les mots : le sens. Alain Jouffroy, 1987.
-
Une petite cuiller dans le bol : du surréalisme à l'Externet en passant par l'individualisme révolutionnaire
Alain Jouffroy
- FeniXX réédition numérique (Paroles d'aube)
- 12 August 2016
- 9782402481816
Dans cet ouvrage, sous-titré « Du surréalisme à l'Externet, en passant par l'individualisme révolutionnaire », Alain Jouffroy est questionné par Gianfranco Baruchello, Renaud Ego et Malek Abbou.
L'aube c'est l'instant où se lève la parole - et, avec elle, toute lumière. Dehors, il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils y répondent, avec cette voix, qui n'est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l'écriture, avec cette voix faible - courante sous la cendre, tremblante sous la page. -
Ce roman est écrit par un scénariste qui ne cesse de voyager. D'oublier ce qu'il vient de vivre. De croiser des femmes, des regards. Un scénariste qui s'est dédié au nomadisme et qui croit avoir renoncé définitivement à l'amour unique.Obsédé par un épisode peu connu de la vie du marquis de Sade, il veut en faire un scénario. Son producteur et un voyage à Tokyo vont l'en empêcher : sa propre vie est en train de devenir le scénario qu'il lui reste à écrire. Les principes de celui qui avait décidé de substituer la disponibilité sexuelle à l'amour céderont finalement à l'amour même.Pour en venir à aimer Murasaki, il lui faudra échapper aux pièges, traverser les obstacles qu'il a placés sur sa longue route : se souvenir d'une Coréenne disparue - avoir une première aventure avec une Japonaise - retrouver et fuir à New York une ancienne maîtresse - revoir sa première femme, par hasard, à Harlem - revenir à Tokyo pour y écrire un autre scénario - retourner en France pour l'enterrement de sa mère - y réentendre la femme dont il est séparé, une actrice plutôt vagabonde - s'isoler à la fin en Corée, où Murasaki vient le rejoindre, lui révéler sa complicité et lui donner la lettre qui dénoue.Étapes, épreuves, coups de théâtre qui ont pour but le regain du plus grand amour : celui qui déracine de tout. Roman - ou monogatari intime - de la seule quête qui importe dans ce siècle de dérives, de diasporas et de " nouvelle décadence ".
-
Entre poème et roman, au lieu d'un alliage, Alain Jouffroy a-t-il trouvé (ou cherché, ou choisi) un autre terme ? Je le croirais, pour ma part. Il s'agit, on le verra, d'une correspondance sans réponses. Un homme écrit à une femme aimée.Que veulent-elles de nous, ces lettres ? Elles relatent une tragédie, le mot pris dans son acception classique. Tous les personnages de la tragédie sont là. Le confident d'abord : l'auteur des lettres. Le choeur, ensuite : les mondains, qui acclament le héros, puis le jettent aux enfers. Ce sont les indemnes. Voici les autres, les victimes : l'amant, la femme, le mari. Enfin, les manifestations de l'irrémédiable. La folie prend ici sa forme quasi constante : celle de l'amour. Le destin : dès les premières pages, le héros sait qu'il vit " en état d'immanence ", quelque chose va arriver, inchangeable dans son cours. Un homme averti en vaut deux, mais le destin est mille.Il y aura, naturellement, mort d'homme - et plus encore : mort d'un espoir, mort d'un salut entrevu.Le livre pourtant n'aurait pas ce ton singulier si le témoin ne témoignait que d'une tragédie. Or, il témoigne pour accuser. Et il accuse - honneur lui soit rendu - les accusateurs... Ici, peut-être, apparaissent plus claires la tentative et la réussite d'Alain Jouffroy. Mais nous ne parlerons pas de morale : on ne prononce jamais ce mot sans déjà nuire à la révolte qui le fonde.
-
Max Ernst
Henri-Alexis Baatsch, Jean-Christophe Bailly, Alain Jouffroy
- FeniXX réédition numérique (Éditions Étrangères & Christian Bourgois)
- 12 December 2018
- 9782402290180
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.