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Benoîte Groult
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Ainsi soit-elle
Benoîte Groult
- Des femmes-Antoinette Fouque
- La Bibliothèque des voix
- 12 September 2016
- 3328140021714
Benoîte Groult analyse, dans « Ainsi soit-elle », « l'infini servage » des femmes et lance la première protestation publique contre la pratique de l'excision. Livre simple et direct pour que tous comprennent, livre lucide et courageux où l'humour est aussi une arme dans un combat qui se veut toujours positif.
« Il faut que les femmes crient aujourd'hui. Et que les autres femmes - et les hommes - aient envie d'entendre ce cri. Qui n'est pas un cri de haine, à peine un cri de colère, mais un cri de vie. » B.G. -
Qui saura, entre homme et femme, inventer une passion qui ne s'use pas ? Qui saura, malgré le temps qui passe, préserver les belles amours de leurs disgrâces quotidiennes ? Tel est, au fond, le secret de ces deux êtres que tout sépare, mais que d'intenses ferveurs rapprochent. Lui, c'est un marin breton, elle est une intellectuelle parisienne. Ils ne se ressemblent guère, un monde d'usages ou de convenances aurait dû les rendre étrangers l'un à l'autre. De complicités en étreintes, de brèves rencontres en rendez-vous lointains, le destin va leur offrir une liaison improbable et souveraine. Quelques jours, quelques semaines dispersées tout au long de la vie seront les seules et brûlantes étapes d'une histoire qui commence sur la peau et se prolonge dans le coeur. A travers cette passion, toute de tendresse et de sensualité, Benoîte Groult a voulu faire le portrait d'un amour glorieux et d'une femme libre. Avec les vrais mots de l'impudeur, elle donne à vivre le roman d'un désir toujours et miraculeusement intact.
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Ni Dieu ni Diable, Moïra, dans la mythologie grecque représente la destinée. Et c'est elle qui dans ce roman, observe, commente, juge et parfois intervient dans la vie des personnages. Amoureuse de l'existence terrestre qu'elle ne connaîtra jamais, elle s'attache à faire advenir l'improbable chez ses protégés en brouillant les cartes quand elle les juge mal distribuées.
Ainsi Marion, qui s'est mariée en espérant former un couple moderne, respectueux de la liberté de l'autre, découvrira qu'on souffre comme au temps de Racine même si on a signé le contrat de Sartre et Beauvoir. Mais Moïra veille et lui fera vivre, en marge, une liaison passionnée et inattendue avec un Irlandais un peu fou, un peu poète, comme les celtes le sont si souvent.
Sa mère Alice, 80 ans, journaliste féministe de choc, grand-mère indigne et pourtant tendre, s'est juré de ne pas se laisser déborder par la vieillesse. Un défi osé, que Moïra invisible et présente, l'aidera à relever avec panache. Alice affrontera son âge avec une lucidité impitoyable et un humour décapant, dans un monde où le jeunisme est érigé en valeur et où « vieillir est un délit ». Jusqu'au jour où elle choisira de mourir dans la dignité.
Chacun vit au rythme d'un métronome dont la cadence s'accélère à mesure qu'on se rapproche de la fin. Mais Moïra, cherchant toujours à saisir ce qui rend la vie des humains si désirable, si riche, si tragique parfois va réussir à infléchir le destin des créatures qu'elle s'est choisi. -
"Parce qu'elle a été la première en France en 1791 à formuler une 'Déclaration des Droits de la Femme' qui pose dans toutes ses conséquences le principe de l'égalité des deux sexes. Parce qu'elle a osé revendiquer toutes les libertés, y compris sexuelle ; réclamer le droit au divorce et à l'union libre ; défendre les filles-mères et les enfants bâtards, comprenant que la conquête des droits civiques ne serait qu'un leurre si l'on ne s'attaquait pas en même temps au droit patriarcal. Parce qu'elle a payé de sa vie sa fidélité à un idéal."Olympe de Gouges demeure une figure fondatrice du combat contemporain pour l'égalité des sexes. Après le beau succès du roman graphique de Catel paru l'an dernier, Benoîte Groult rend un nouvel hommage à cette pionnière.
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Toute vie est une évasion. A chaque instant, nous devons scier des barreaux, lancer des cordes faites des draps où nous avons trop longtemps dormi, briser le silence des alcôves, des cabines d'essayage, des confessionnaux... Chaque jour, crier, casser des habitudes : s'évader. A-t-on envie de s'évader lorsqu'on a pour mère Nicole Poiret, couturière talentueuse et aimée, pour père un décorateur célèbre (meubles de Galuchat et de laque de Chine), et pour marraine Marie Laurencin ? Lorsque vos parents ont pour amis Picasso, Morand, Jouhandeau et quelques autres ? Pourtant, oui. Si Benoîte Groult a longtemps considéré la jeunesse « comme un long noviciat avant le mariage », elle a su peu à peu conquérir ses libertés, dont elle connaît le prix, et la douceur : elle nous conte ici ses hommes et ses mariages, Pierre Heuyer, Georges de Caunes, Paul Guimard. Elle nous dit ses combats, depuis le journalisme d'après-guerre à la féminisation des « noms de métiers, de grades et de fonctions », avec Yvette Roudy. Dans ce style libre qu'on lui connaît, elle revient sur ses choix, ses amitiés : femme heureuse à qui la vie a donné une chance particulière : conquérir ses libertés une à une, les payer, les savourer, les aimer.
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Neuf personnages qui s'embarquent pour un tour du monde en bateau. Le drame d'une femme vieillissante, qui, par peur de perdre l'homme qu'elle aime, risque de le perdre. Le problème d'un homme de quarante ans qui découvre, à la suite d'un infarctus, qu'il ne supporte plus son métier, sa femme, ses cinq enfants. Le malaise d'un garçon de vingt ans qui fuit Paris et le luxe familial pour aller chercher au loin des raisons de vivre. La part des choses, c'est la vie de tous ces personnages qui, sortis de leur cadre familier, révèlent leurs vraies angoisses, leurs réelles raisons d'espérer. Mais c'est aussi et surtout l'histoire d'un couple arrivé à l'âge où l'on fait la part des choses : le passé vécu à deux, les enfants, la maison de vacances, les séparations, les mensonges, la tragédie même.
En Australie, à Nouméa, à Bénarès ou Tahiti, délivrés de toute servitude, nos personnages se retrouvent tous face à eux-mêmes. À Tahiti surtout où la facilité de vivre abolit les contraintes. C'est là que tous découvrent leur destin, un destin que la plupart d'entre eux n'avaient pas soupçonné.
Avec humour, cruauté et tendresse, l'auteur suit ses héros dans ce voyage autour du monde et autour de leur vie dont ils reviendront transformés ou dont ils ne reviendront pas.
On retrouve dans la Part des choses ce mélange doux-amer qui a fait le succès des trois romans écrits par Benoîte Groult, en collaboration avec sa soeur : le Journal à quatre mains, le Féminin pluriel, Il était deux fois. -
« Quelles qualités rares a-t-il fallu aux quelques hommes qui ont voulu dépasser l'image traditionnelle de l'épouse dévouée, gardienne du foyer et mère admirable, pour penser à elle comme à une personne indépendante, un être humain à part entière ? » Pour beaucoup d'entre nous, le féminisme a toujours été une affaire de femmes. Mais on oublie qu'il s'est trouvé, à toutes les époques de l'Histoire, des hommes éclairés ayant profité de leur influence pour défendre le deuxième sexe. Y aurait-il une loi de la nature réservant spécifiquement la cuisine, le ménage ou l'éducation des enfants aux femmes ? Comment accepter ce « marché » qui fait des jeunes filles des objets exposés dans les bals jusqu'à leur acquisition par un mari ? Que faire pour que le mariage cesse d'être le tombeau de la femme, et le moyen légal de son asservissement ? Ces questions, de rares hommes les ont posées, et c'est à ces libres-penseurs courageux, écrivains ou hommes politiques des siècles passés, que Benoîte Groult rend hommage ici. Adoptant une perspective inédite, elle redonne voix aux premiers féministes, et met à l'honneur des hommes qui, comme Condorcet, Stuart Mill ou Fourier, ont eu la force de secouer les préjugés, de s'élever contre l'injustice et de dénoncer la prétendue infériorité de la femme comme le résultat d'un abus de pouvoir. Une manière éclatante de montrer qu'il ne faut plus confondre féminisme et haine des hommes.
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Journal d'Irlande ; carnet de pêche et d'amour, 1977-2003
Benoîte Groult
- Grasset
- Littérature Française
- 11 April 2018
- 9782246816881
Le dernier projet d'écrivaine de Benoîte Groult était de publier son « Journal d'Irlande ». Elle avait l'intention d'entrecroiser ses « Carnets de pêche » en Irlande où elle avait passé plus de vingt étés avec son mari Paul Guimard, et les passages de son Journal intime tenu conjointement. Elle avait commencé ce travail d'orfèvrerie littéraire, que la maladie et la mort l'ont empêchée de mener à son terme. C'est sa fille Blandine qui a choisi de mettre ses pas dans ceux de sa mère pour lui rendre le plus beau des hommages en la faisant revivre à travers ce livre posthume établi selon sa volonté.
Le livre se présente comme un Journal tenu durant vingt-six étés, rythmé par une quadruple dramaturgie : l'installation en Irlande, la maison que Benoîte et Paul y achètent, la vie locale avec ses figures pittoresques, la passion de la pêche, de la mer, du bateau, des produits de la pêche à cuisiner, etc. L'expérience sans fard du trio amoureux dont la matière a donné lieu à la transposition fictionnelle de son best-seller Les vaisseaux du coeur : Benoîte tiraillée entre son mari Paul Guimard et Kurt, l'amant américain rencontré en 1945 et retrouvé dans les années 60. Elle s'éloigne de Paul sans parvenir à le quitter tandis que Kurt espérera en vain qu'elle divorce pour lui. Les visiteurs de l'été dont elle dresse un portrait saisissant de justesse et, parfois, de rosserie : ses filles et leurs maris, les amis de passage (François Mitterrand, Régis Debray, les Badinter, Tabarly, les Fasquelle...) Le temps qui passe pour une femme qui se sent vieillir et qui vit un amour platonique avec un mari de son âge et un amour charnel avec un amant plus âgé qu'elle. Benoîte a 57 ans quand elle commence ce Journal et 83 ans quand il s'achève. -
Un roman qui porte sur une période de soixante-dix ans n'est plus un roman mais plusieurs. Il commence par une nuit de noces en 1913, celle d'Hermine, une femme peintre qui connaîtra la célébrité. Il se poursuit par la naissance de sa fille Louise, en 1918, puis par les...trois quarts de la vie de Louise. Ecrasée par la personnalité de sa mère, Louise ne parvient pas à savoir qui elle est et ce qu'elle veut. Elle épouse en 1944 un étudiant en médecine qui mourra de tuberculose. Le remariage de Louise, la naissance de trois filles, son travail de journaliste, la découverte de sa vocation : autant de jalons de cette longue marche à la recherche de soi-même, de son identité. A travers le destin de trois générations, c'est le destin de la femme que l'auteur nous dévoile. Le couple, le rapport mère-fille, le travail, la création, le besoin d'émerger du carcan qu'imposent une époque, une éducation : tout ce qui fait les bonheurs et les difficultés de la vie d'une femme est vécu par les héroïnes du roman.
Les Trois Quarts du temps dégage un optimisme profond, un goût de vivre, une complicité dans les relations humaines où le lecteur puisera, au-delà du plaisir de lire un vrai roman, l'occasion de réfléchir à sa propre existence. -
" Il n'est pas inutile, après vingt-cinq ans, d'analyser la place d'Ainsi soit-elle. C'est bien, je crois, parce qu'il a eu une fonction dans le féminisme contemporain, une place à part. L'une des fonctions essentielles de ce livre, pour toute une génération, est sans doute d'avoir été un pont entre les jeunes féministes et leurs mères. Leurs mères, même si elles étaient bienveillantes avec leurs filles, étaient souvent déroutées, dans les années soixante-dix, par leurs filles militantes. Par leur radicalité, la mixité, une certaine forme de violence qui paraissait nécessaire à beaucoup, mais certainement pas aux mères. Et soudain, avec Ainsi soit-elle, une femme de leur âge prenait la parole, une femme qui avait elle-même des filles. Et elle leur racontait son histoire qui était souvent la leur, ou une partie de la leur. Et elle leur disait non seulement de regarder le féminisme avec intérêt, mais de rejoindre elles-mêmes le combat, de toute urgence. "
Josyane Savigneau. -
« Aberrants, écoeurants, absurdes, odieux, grotesques et surtout invraisemblables !
Oui, ils sont tout cela à la fois les jugements et les anathèmes, les décrets et les sentences, les malédictions et les fulminations qu'ont proférés depuis l'aube des temps nos maîtres à penser, nos chefs religieux, nos gouvernants, nos médecins, nos législateurs et leurs représentants dans nos foyers, à savoir nos pères, nos frères, nos maris et nos fils.
À voir ainsi rassemblées ces citations, toutes tirées d'oeuvres célèbres et d'auteurs éminents, on jurerait l'oeuvre d'une bande de mauvais plaisants, de dangereux énergumènes ou d'obsédés sexuels. Il est à peine croyable en effet que, génération après génération, savant après philosophe, historien après écrivain, homme après homme en somme, la moitié masculine du genre humain se soit acharnée à prouver que l'autre ne valait rien et ne méritait pas d'accéder à la dignité d'être humain. »
Benoîte Groult -
Ainsi soit-elle ; ainsi soient-elles au XXI siècle
Benoîte Groult
- Grasset
- Littérature Française
- 1 March 2000
- 9782246018292
"A toutes celles qui vivent dans l'illusion que l'égalité est acquise et que l'Histoire ne revient pas en arrière, je voudrais dire que rien n'est plus précaire que les droits des femmes.
A celles qui ne regardent ni derrière elles ni autour, je voudrais rappeler que les Allemandes de l'Est par exemple ont perdu, à la chute du mur de Berlin, des droits qu'elles croyaient acquis pour toujours. Que les Algériennes, les Iraniennes, les Afghanes et tant d'autres, qui avaient goûté aux premiers fruits de la liberté, ont disparu, du jour au lendemain, sous un voile de silence. Aux Française je rappelle que l'on déplore encore 220 000 avortements en 1999.
A celles enfin qui font confiance aux hommes au pouvoir pour que les choses s'arrangent peu à peu, je voudrais citer une phrase de Virginia Woolf : "L'histoire de la résistance des hommes à l'émancipation des femmes." Si elles ne défendent pas elles-mêmes les droits conquis par leurs mères, personne ne le fera pour elles.
La condition des femmes ne va pas en s'améliorant dans le monde, contrairement à ce qu'il est reposant de croire. Les hommes sont des analphabètes du féminisme, on le sait. Mais les femmes le sont à peine moins.
C'est pourquoi il n'est jamais trop tard pour lire un livre féministe. Ni trop tôt. Ils n'ont hélas pas pris une ride depuis 25 ans."
Benoîte Groult est romancière et essayiste, jurée du Prix Femina. Elle a écrit, entre autres : Le Journal à quatre mains, avec sa soeur Flora, les Trois Quarts du temps, les Vaisseaux du coeur (Grasset, 1988). -
« Voilà qu'aujourd'hui, à 89 ans, désormais à la tête d'une quinzaine de livres, romans, essais et biographies, je me retrouve à préfacer un gros volume pour la collection Bibliothèque, qui va regrouper sous la même couverture rouge quatre de mes romans : La Part des choses, puis Les Trois Quarts du temps, Les Vaisseaux du coeur et La Touche étoile. Et voilà que j'ai ouvert par hasard le plus ancien des quatre, écrit en 1972, et dont j'avais toujours pensé qu'il relatait un tour du monde en bateau. Et voilà que j'ai fait une découverte tout à fait imprévue et même bouleversante : un roman pouvait dévoiler, à l'insu du scripteur, des aspects inavoués, soigneusement ignorés, parfois même prémonitoires de la vie future de l'auteur. C'est peut-être ce qui fait la magie du genre romanesque : il arrive qu'on y trouve ce que l'auteur n'a pas cherché à y mettre, une vérité que lui-même n'a pas encore découverte, une réalité cachée au-delà des mots. »
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« J'ai toujours su que ce Journal amoureux existait ; même si je ne l'avais jamais lu ni même vu... Ma mère m'en avait parlé. C'est Paul qui en a eu l'idée pour l'aider à prendre confiance en elle, et en son talent, auquel elle ne croyait guère à l'époque. Pourtant, elle vivait depuis toujours, dans et par les mots : elle tenait son journal intime et entretenait une nombreuse correspondance, amicale puis amoureuse, dans une famille où tout passait et se réglait par des lettres... De là à penser publier, il y avait un pas qu'elle ne se décidait pas à franchir. Alors Paul a eu cette idée épatante d'écrire ce journal, chacun prenant la parole à tour de rôle pour raconter leur quotidien. C'était d'autant plus généreux de sa part qu'il n'a jamais tenu un journal de sa vie et que c'était même contraire à sa nature. Maman lui rendait souvent hommage pour cette initiative - et elle n'avait l'hommage facile pour personne ! » Blandine de Caunes
À travers ce jeune couple amoureux, qui manie la plume avec dextérité, le talent des deux écrivains reconnus qu'ils deviendront est déjà là, qui constitue aussi un formidable témoignage des années 1950 et du féminisme naissant d'une femme engagée qui participera à tous les combats de son époque. -
Des nouvelles de la famille
Flora Groult, Benoîte Groult, Paul Guimard
- Mazarine (réédition numérique FeniXX)
- 3 December 2015
- 9782863747193
Benoîte est la soeur de Flora, Paul est le mari de Benoîte, Flora est la femme de Bernard, Blandine et Lison sont les filles de Benoîte. Six auteurs de la même famille, tous écrivains, rassemblés pour la première fois - et probablement la seule - en un livre, sorte de journal à douze mains, Des nouvelles de la famille. Ces nouvelles inédites toucheront des sensibilités aussi variées que sont divers les tempéraments romanesques de cette famille hors du commun. Chaque heure du jour, chaque âge de la vie, toute la gamme des sentiments trouveront des correspondances dans ce livre de lecture. Longue ou courte, gaie ou mélancolique, chaque nouvelle est une histoire, racontée par un écrivain. À travers les contrastes qui les séparent, nos six auteurs ont mis en commun leur aventure familiale : la passion de l'écriture.