Le commissaire Brunetti, enquêtant sur la mort d'un célèbre avocat, arpente les quartiers malfamés de Venise et tombe sur la piste d'un trafic international de prostitution.
Avec l'aide inattendue de la délicieuse signorina Elettra, la nouvelle secrétaire du vice-questeur, le commissaire Brunetti va découvrir un commerce plus ignoble encore qu'une "traite des Blanches" post-rideau de fer...
Donna Leon rend hommage à l'atmosphère unique de la Cité des Doges. On retrouve l'univers attachant de son héros, mari et père dévoué, fin limier, citoyen en lutte contre la corruption d'une ville dont le sens moral semble se détériorer plus vite que les palaces.
Deux pêcheurs de palourdes sont retrouvés noyés dans les débris de leur bateau, leurs corps lardés de coups de couteau. Le commissaire Brunetti doit mener l'enquête au sein d'une communauté unie par un code de loyauté et une méfiance instinctive vis-à-vis des étrangers. Loin du monde raffiné de la Sérénissime, dans cette ambiance digne d'un village sicilien, la loi du silence est de mise. Pour tromper la méfiance des insulaires, Brunetti a l'idée d'envoyer sur place sa secrétaire, la signora Elettra. Celle-ci accepte de jouer les espionnes et de séjourner dans l'île, où elle a des parents. Mais Brunetti ne tarde pas à regretter sa décision lorsqu'il apprend qu'un troisième meurtre vient d'être commis à Pellestrina.
Il se retrouve alors déchiré entre son désir de démasquer le coupable, son inquiétude pour la sécurité d'Elettra et les sentiments quelque peu ambigus qu'il nourrit pour elle.
La dixième enquête du commissaire Brunetti.
Durée : 07H36
Le docteur Carlotti hait copieusement sa patiente Maria Grazia Battestini. Comme tous ceux qui se voient contraints de la côtoyer, car la vieille femme est aussi avare qu'acariâtre. C'est toujours à reculons qu'il se rend à sa consultation hebdomadaire. Mais ce jour-là, exceptionnellement, il ne se fait pas malmener, pour la simple et bonne raison qu'il la découvre assassinée dans son appartement vénitien, mis sens dessus dessous. À l'exception d'une pièce : la chambre de la femme de ménage roumaine qui s'est curieusement volatilisée.
Elle est bientôt repérée à la gare alors qu'elle tente de regagner son pays d'origine. Mais elle échappe à la police et passe accidentellement sous un train. Sur elle : une grosse somme d'argent et des faux papiers. Pour Scarpa, qui remplace le commissaire Guido Brunetti en vacances, l'affaire est pliée. Pas pour Brunetti qui, dès son retour, s'emploie à traquer le vrai coupable. Même s'il rassemble des indices, il ne parvient cependant pas à cerner le profil du meurtrier. Jusqu'à ce que sa femme Paola se remémore la Bible et les sept péchés capitaux. Avec l'aide de Vianello et Elettra, il fait fi des considérations hâtives pour découvrir les motifs cachés du meurtre de la vieille dame.
La treizième enquête du commissaire Brunetti
Durée : 07H14
La septième enquête du commissaire Brunetti
Dans un champ en friche de la campagne vénitienne, on découvre un cadavre décomposé. Seule sa chevalière permet de l'identifier : il s'agit de Roberto Lorenzoni, fils d'une des plus grandes familles de Venise, kidnappé deux ans plus tôt et jamais retrouvé.
Chargé de rouvrir l'enquête, le commissaire Brunetti aura besoin de l'appui de sa noble belle-famille pour percer le cercle de l'aristocratie vénitienne où, noblesse oblige, les secrets sont bien gardés. Et les Lorenzoni, qui n'ont pas hésité à dénoncer les Juifs de Venise pendant la seconde guerre, pratiquent plus que tout autre l'art de la dissimulation.
La deuxième enquête du commissaire Brunetti
Un homme est retrouvé mort dans un canal vénitien. Des indices laissent présumer qu'il s'agit d'un militaire posté dans une base américaine de la région. Mais pourquoi ses supérieurs s'inquiètent-ils si peu de lui ? Et quel lien y a-t-il entre cet homme retrouvé mort et le cambriolage d'un palais ? Avec son obstination habituelle, le commissaire Brunetti fera tomber le mur du silence américain... Non sans dommages.
Personne n'aime être dérangé en pleine lecture de l'Annabase un samedi après-midi par un coup de sonnette intempestif. Surtout pas le commissaire Guido Brunetti, fin lettré et flic épicurien, et surtout pas pour une sombre affaire de permis de construire introuvable concernant son propre appartement...
Simple formalité ? Pas sûr. D'autant que le fonctionnaire zélé tombe malencontreusement d'un échafaudage où il n'avait rien à faire, devant des témoins qui à leur tour décèdent brutalement.
De fil en aiguille, avec la patience et la ténacité d'un flic habitué mais jamais résigné à l'égoïsme des bureaucrates de tout poil, le commissaire Brunetti va découvrir l'existence d'un vaste réseau de corruption. Derrière la façade fastueuse de la Cité des Doges, le monde interlope des dealers, des usuriers et des ripoux dicte sa loi.
La neuvième enquête du commissaire Brunetti
Durée : 7H48
La cinquième enquête du commissaire Brunetti . Venise en hiver : une cité crépusculaire, envahie par les eaux de la lagune durant l'acqua alta, et où l'on est obligé d'enfiler des bottes si l'on ne veut pas se mouiller les pieds. C'est dans cette ville battue par la pluie que le commissaire Brunetti va devoir enquêter sur la mort du dottor Semenzato, conservateur. Découvrant les arcanes du monde de l'art, Brunetti sera confronté à un directeur de musée peu scrupuleux, à un antiquaire qui l'est encore moins, et à un collectionneur dangereux capable d'employer les moyens les moins recommandables pour se procurer l'objet de ses désirs.
La huitième enquête du commissaire Brunetti
Le commissaire Guido Brunetti est sur la sellette : sa propre femme, Paola, est arrêtée après avoir démoli la vitrine d'une agence de voyages qu'elle suspecte de promouvoir le tourisme sexuel. Brunetti est temporairement démis de ses fonctions. Mais l'affaire se corse avec l'assassinat du propriétaire de l'agence. Pour tout indice, on retrouve à côté du corps une lettre accusant le défunt d'être un " pornographe ". L'enquête s'annonce délicate, pour la carrière comme pour la vie privée de Guido Brunetti...
Durée : 7H59
La troisième enquête du commissaire Brunetti
Par un matin d'août, un équarisseur découvre, dans un terrain vague de Mestre, la banlieue industrielle de Venise, le cadavre d'un travesti. On pense d'abord qu'il s'agit d'un des prostitués qui travaillent Via Cappuccina, mais lorsqu'on s'aperçoit que l'homme déguisé en femme n'était autre que le directeur de la Banca di Verona, le commissaire Brunetti comprend qu'il va devoir renoncer à ses vacances familiales dans la fraîcheur du Tyrol. Il n'est pas question d'énerver son supérieur hiérarchique, le procureur Patta, que sa femme vient de quitter pour s'installer à Milan avec le ponte italien du cinéma porno.
Dans une Venise écrasée sous la canicule, le débonnaire Brunetti s'attaque à son enquête la plus délicate, car, derrière l'univers sulfureux de la prostitution masculine, se profile l'ombre de la puissance Lega della Moralita, organisation caritative dirigée par d'éminents Vénitiens.
Donna Leon donne ici la pleine mesure de son talent, conjuguant avec grâce humour et tension dramatique, et révélant la profonde corruption de la cité des Doges.
Le commissaire Brunetti reçoit un jour la visite de Claudia Leonardo, une étudiante élève de sa femme. La requête de la jeune fille l'intrigue : elle veut savoir si son grand-père, qui a commis un crime pendant la Seconde Guerre mondiale, peut être réhabilité après sa mort. Mais elle reste évasive quant à la nature de ce crime.
Brunetti mène l'enquête et apprend qu'il pourrait bien s'agir d'un trafic d'oeuvres d'art.
Lorsque Claudia est retrouvée poignardée dans son appartement, les choses se compliquent. Tandis que certains secrets du passé refont surface, Brunetti doit déjouer les faux-semblants d'une affaire où l'honneur de plusieurs personnes est en jeu.
A Venise, les masques dissimulent parfois d'inquiétants visages...
La onzième enquête du commissaire Brunetti.
Durée : 08H41
La sixième enquête du commissaire Brunetti
Alors que Venise sort doucement de l'hiver, le commissaire Brunetti s'ennuie à la questure. Jusqu'au jour où il reçoit la visite d'une très belle jeune femme, religieuse défroquée. Parce qu'un certain nombre de morts suspectes sont survenues dans l'institution où travaille celle-ci, elle a préféré quitter son ordre et demander l'aide de la police.
Avançant à pas prudents dans cette affaire délicate, Brunetti va découvrir que, derrière certaines congrégations respectables, se cachent des prêtres fanatiques, des grenouilles de bénitier manipulées et surtout l'Opera Pia, une sinistre organisation qui se place au-dessus des lois. Mais il n'est pas facile pour un commissaire, même aux méthodes aussi peu orthodoxes que Brunetti, d'atteindre un membre du clergé dans la Cité des Doges.
On vient de retrouver le corps du jeune Ernesto Moro, mort par pendaison dans la salle de douches de l'Académie militaire de Venise, dont il était élève. Le commissaire Guido Brunetti est particulièrement touché par l'affaire, car il est père d'un jeune adolescent. Officiellement, le jeune Ernesto s'est suicidé, mais Brunetti a du mal à croire à cette version officielle. Car il règne une atmosphère trouble dans cette Académie réservée aux enfants de la grande bourgeoisie et de l'aristocratie vénitiennes...
Et le jeune Ernesto Moro était le fils du jadis célèbre dottor Moro, médecin puis député, qui enquêtait sur le financement des hôpitaux publics italiens et le système d'approvisionnement de l'armée.
Et que dire de la femme de Moro, dont le dottor est obligé de vivre séparé pour se protéger ?
Le fils aurait-il fait les frais de règlements de comptes sordides ?
La douzième enquête du commissaire Brunetti
Durée : 07H54