filter
Le Men Yvon
10 produits trouvés
-
La poésie ne s'arrête pas aux frontières.
C'est pour cela qu' Yvon Le Men a choisi, dans le sillage de Jules Verne et de son héros le gentleman anglais Phileas Fogg, de traverser à nouveau les mers et de proposer cette fois-ci un tour du monde en 8o poèmes et presque autant de pays. De l'Antiquité à nos jours, de l'Afrique du Sud au Venezuela, de la Hollande à la Grèce en passant par l'Irlande, l'Espagne, le Brésil, la Pologne, c'est un atlas inédit que l'on découvre poème après poème.
Au cours de la traversée, on croisera Sapphô, Emily Dickinson, Katherine Mansfield, Pasolini, Issa Kobayashi, Constantin Cavaf, Tarjei Vesaas, mais aussi Seamus Heany, Nuno Jûdice, Mahmoud Darrvich, Claude Vigée, Nicolas Bouvier...
Cette anthologie est une heureuse invitation au voyage. -
Les poèmes de La baie vitrée sont nés d'une catastrophe quasi planétaire et de ses minuscules répercussions intimes. À la mi-mars, comme plus de trois milliards d'individus, Yvon Le Men se trouve confiné à son domicile. Il est enfermé au milieu de ses livres, à l'écoute des mauvaises nouvelles du monde et des chants d'oiseau qui l'apaisent. Seul et relié aux autres. Assigné à résidence, avec nulle part où aller sauf à l'intérieur de soi. Des poèmes naissent de ce quotidien empêché. Les mots du poète découpent alors des morceaux de ciel pour les oiseaux en cage. Ils ouvrent portes et fenêtres, conjurent l'absence et invitent des hôtes essentiels à sa table de silence. Avec La baie vitrée, le poète a écrit « le livre des oreilles et des yeux » qui manquait à son oeuvre. Un ouvrage essentiel.
Né à Tréguier en 1953, installé à Lannion, Yvon Le Men est la figure de proue de la poésie aujourd'hui écrite en Bretagne. Depuis son premier livre, Vie (1974), écrire et dire sont les seuls métiers de ce poète qui fait partager sa passion au plus grand nombre dans des spectacles ou au festival Étonnants Voyageurs de Saint-Malo. En 2019, il a obtenu le Goncourt de la poésie pour Un cri fendu en mille, dernier volume de la trilogie Les continents sont des radeaux perdus publiée par Bruno Doucey. -
Un cri fendu en mille ; les continents sont des radeaux perdus, 3
Yvon Le Men
- Bruno Doucey
- SOLEIL NOIR
- 25 November 2019
- 9782362292651
Après la publication des recueils Une île en terre (2016) et Le poids d'un nuage (2017), Yvon Le Men nous offre le troisième volume de sa trilogie Les continents sont des radeaux perdus. Avec Un cri fendu en mille, l'heure n'est plus aux paysages de l'enfance ni aux oeuvres qui ont fait naître une conscience au monde. C'est de la découverte physique, sensible, amoureuse de ce monde dont nous parle ici le poète. Les premières destinations nous entraînent en Europe. Puis viennent les voyages au long cours, autour du mont Liban, à Bamako, en Afrique noire, en Chine, à Port-au-Prince ou au Brésil. D'un pays à l'autre, un même désir d'étreindre le monde, une même soif de découvertes, une même propension à se penser soi-même comme un autre. Un carnet de voyages, au coeur du monde, à travers soi.
"Où sont passés
les livres
lus
les montagnes
grimpées
les étoiles
contemplées
les villes
parcourues
les fleuves longés
et traversés
par toi
tout au long de ta vie"
Né à Tréguier en 1953, installé à Lannion, Yvon Le Men est la figure de proue de la poésie aujourd'hui écrite en Bretagne. Depuis son premier livre, Vie, écrire et dire sont les seuls métiers de ce poète qui fait partager sa passion au plus grand nombre dans des spectacles ou au festival Étonnants Voyageurs de Saint-Malo. Après Sous le plafond des phrases et En fin de droits, il confie aux Éditions Bruno Doucey la publication d'une trilogie, dont Un cri fendu en mille est le troisième volume. -
Le poids d'un nuage ; les continents sont des radeaux perdus, 2
Yvon Le Men
- Bruno Doucey
- SOLEIL NOIR
- 25 November 2019
- 9782362292613
Un an après la publication d'Une île en terre, Yvon Le Men nous offre le second volume de sa trilogie, Le poids d'un nuage. L'heure n'est plus à l'espace clos de l'enfance, aux parents, aux voisins, mais aux fenêtres que l'on ouvre, aux portes que l'on pousse. L'oiseau ne chante plus sur son arbre généalogique, il vole désormais à la rencontre du monde. « On granditOn s'ouvre au dehors », écrit le poète dans les premières lignes du livre. Et de raconter cette ouverture qui passe par les paysages : ceux que dessinent le ciel et la mer de Bretagne, les rivières, les visages ; plus encore peut-être, ceux que les peintres ont imagés ou rêvés, que les écrivains ont nommés et animés. « Comme si notre oeil pressentait que regarder c'est toujours regarder une première fois, pour la dernière fois.»
Ne a Treguier en 1953, installe a Lannion, Yvon Le Men est la figure de proue de la poesie aujourd'hui ecrite en Bretagne. Depuis son premier livre, Vie, ecrire et dire sont les seuls metiers de ce poete qui fait partager sa passion au plus grand nombre, dans des spectacles ou au festival Etonnants Voyageurs. Apres Sous le plafond des phrases et En fin de droits, il confie aux Éditions Bruno Doucey la publication d'une trilogie, dont Le poids d'un nuage est le second volume. -
Une île en terre ; les continents sont des radeaux perdus
Yvon Le Men
- Bruno Doucey
- SOLEIL NOIR
- 25 November 2019
- 9782362292576
Cette île en terre, qu'elle est-elle ? Pour Yvon Le Men, qui nous livre ici le premier recueil d'une trilogie, l'île est d'abord le hameau où se déroule une enfance en noir et blanc, aux lisières de la pauvreté, un lieu où des vies minuscules se sont attaché à tracer le sillon de leur humanité. Celle d'un père trop tôt parti, d'une mère chevillée au réel, d'un voisin, l'inénarrable Jean-Claude, auquel le poète consacre un texte épatant et que chacun pourrait avoir rencontré « dans la banlieue de sa vie ». Cette île est aussi celle que l'enfant s'invente pour grandir : des premières lectures une pile électrique sous les draps, aux rêves qui traversent la fenêtre comme des oiseaux blancs, il laisse à la poésie le soin de gouverner son coeur. La première étape d'une traversée des apparences.
"Il était un pays notre pays.
Je montais. Le pays de l'enfance devenait plus petit
et j'oubliais mon rêve si grand. Jusqu'à ce jour de juin
où j'allais atterrir sur la carte de mes songes
où vivaient les cygnes et brillaient les lucarnes."
Né à Tréguier en 1953, installé à Lannion, Yvon Le Men est la figure de proue de la poésie aujourd'hui écrite en Bretagne. Depuis son premier livre, Vie, écrire et dire sont les seuls métiers de ce poète qui fait partager sa passion au plus grand nombre, dans des spectacles ou au festival Étonnants Voyageurs où il programme des poètes du monde entier. Après Sous le plafond des phrases et En fin de droits, il confie à Bruno Doucey une trilogie dont le premier volume s'intitule Une île en terre. -
Une rose des vents : Une conversation avec Christian Bobin suivi de «Des îles par où s'évader»
Yvon Le Men
- FeniXX réédition numérique (Paroles d'aube)
- 12 November 2015
- 9782402029186
Si vous voulez connaître un homme, regardez le marcher, regardez son allure quand il s'approche de vous. Yvon Le Men s'avance les bras ouverts, les mains légèrement posées sur les épaules de ceux qu'il a un jour aimés. Pas un seul. Il n'en a pas oublié un seul et sa solitude est faite de cette mémoire-là, éblouie. Et voici maintenant qu'il parle - je veux dire : qu'il écrit, car parler, écrire, aimer, perdre sont chez lui consanguins. Il appelle chaque parcelle du monde par le nom qui lui est dû. Elle vient vers lui. Il la recueille au creux de ses mains et la donne à manger à ses morts. À présent il se tourne vers les vivants et leur offre le plus rouge de sa langue - la beauté immédiate d'un silence. Puis tous s'en vont ensemble, ceux du passé, ceux du présent, et la page tremble d'une vie à venir, inoubliable. Écoutez-la, écoutez-le, mangez le livre. Christian Bobin. L'aube, c'est l'instant où se lève la parole - et avec elle toute lumière. Dehors il fait froid. On ouvre la fenêtre, on jette du sel aux anges, quelques questions aux écrivains. Ils y répondent avec cette voix qui n'est plus celle de la vie courante, pas encore celle de l'écriture, avec cette voix faible - courante sous la cendre, tremblante sous la page.
-
Quand la rivière se souvient de la source
Yvon Le Men
- Jean Picollec (réédition numérique FeniXX)
- Bibliothèque celtique
- 2 October 2020
- 9782864775447
Yvon Le Men, né à Tréguier en 1953, se consacre exclusivement à la poésie. Il est l'auteur de six recueils dont : Vie, Le pays derrière le chagrin, A l'entrée du jour.
Il vit à Lannion, en Bretagne.
« Mais les fleuves ne passent-ils pas par les rocs Toujours vont vers la mer
vers le lieu où ils ne sont plus
et deviennent l'océan. »
Bien connu du public pour ses spectacles de poésie, Yvon Le Men nous offre ici un nouveau recueil de poèmes, véritable invitation à laisser résonner en nous une nature oubliée ; genèse d'une poésie, poésie d'une genèse, où chacun viendra puiser force et sérénité. -
Existence marginale mais ne trouble pas l'ordre public
Yvon Le Men
- Flammarion
- 17 October 2012
- 9782081292246
Vous êtes dans le poème ? demande-t-on à l'auteur. Oui, répond celui-ci au fil des histoires, mais je ne veux pas finir dans un roman. C'est pourtant ce qui va lui arriver pour le pire ou le meilleur ?
Dans ce recueil de nouvelles, on ne peut s'empêcher de sourire aux aventures du narrateur à la vie qui boite, à la langue bien pendue, aux amours qui avancent coeur baissé dans le mur, aux rencontres inattendues et toujours heureuses, à la fin des fins. Le conteur passe du coq à l'âne, saute de flaques de lumière en taches d'encre, du sourire d'un enfant au regard bouleversant d'un vagabond.
Même dans les situations les plus prosaïques, le poème surgit pour nous empêcher de tomber dans les failles de nos jours et de nos nuits.
Yvon Le Men a prêté ses poèmes au héros du dernier livre de Bjrn Larsson, Les poètes morts n'écrivent pas de romans policiers. -
Dans son Histoire de la poésie française, Robert Sabatier dit de la poésie d'Yvon Le Men : « Elle est claire comme le jour car il sait rendre par de subtiles unions les mots plus propres, plus neufs, et les chants généreux [...]. La phrase coule, serpente, harmonieuse et pure comme une rivière de montagne. Des images discrètement sensuelles la traversent [...]. Xavier Grall l'a dit cousin de Dylan Thomas. Douceur, passion, tendresse, il y a quelque chose de frais dans cette poésie d'espérance et de foi en la vie par-delà toutes les révoltes. »
-
Jean Malrieu, la parole donnée
Pierre Dhainaut, Yvon Le Men
- FeniXX réédition numérique (Paroles d'aube)
- Inventaire
- 23 April 2016
- 9782402112352
C'est chaque jour que Jean Malrieu (1915-1976) découvrait la route du prodige : tout requérait sa vigilance, son émoi, « pour que le temps vacille », pour que tombent les limites qui séparent le quotidien du fabuleux, le visible de l'invisible. Le poète de La Vallée des Rois et des Maisons de feuillages eut ainsi sans cesse « l'âge du premier amour ». Ses mots ne lui semblaient jamais assez vibrants, assez accueillants. Un souffle les porte, exceptionnellement généreux.