Raymond Denis
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Divisée en cinq tomes, la fresque des "Vorlames" débute avec l'intriguante découverte du professeur Turbat, archéologue de profession. C'est au coeur de la forêt que Violaine, enterrée depuis des siècles, s'éveille à nouveau à la vie. Revenant millénaire ou démon passager, l'équipe du professeur Stannel ainsi que le commissaire Mellaud vont devoir déterminer si Violaine est bel et bien un esprit vengeur revenu discuter des torts qu'elle a subis...
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On pensait que Violaine avait disparu dans l'incendie de la ferme en Sologne, mais Mellaud retrouve son mode opératoire dans un nouveau crime. Est-elle revenue ?
Qui a pu la ramener d'entre les morts ? Les adeptes de la secte « les amis de Violaine » ont-ils réussi au cours d'une de leurs cérémonies, véritables messes noires, à ranimer le monstre ?
N'est-ce pas plutôt une imitatrice ? Ou sa soeur ?
Une fois de plus, le professeur Stannel est confronté à l'inconnu. -
Six nouvelles de voyages dans le temps, six voyages qui ne sont pas toujours imaginaires Dans la première, « La mère » Stéphanie est éveillée un jour, une nuit plutôt, par une bien curieuse visite, mais elle n'en est pas vraiment étonnée. Les trois nouvelles suivantes nous content l'histoire d'un futur qui n'est pas nécessairement sans espoir. « La visiteuse » nous vient d'un autre monde qui est peut-être notre futur. « La fuite » nous permet d'en savoir un peu plus sur cette jeune fille et nous laisse espérer en l'avenir. « Les Hors-temps » nous fournit la clé de ces voyages et nous ouvre les portes d'une « Préhistoire du futur » qui est peut-être la suite de ces trois récits. « Le journal d'un homme bien ordonné » nous propose l'aventure d'un homme dans son passé et ce qu'il en advint. « 55 minutes d'avance » c'est qui arrive à Laurent. Mais que faire quand on a près d'une heure d'avance sur le reste de l'humanité ? En profiter pour s'enrichir ? Mais comment ?
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Le deuxième épisode des "Vorlames" est l'occasion de découvrir l'autre versant de l'histoire. Emmenés par un professeur Mellaud fuligineux, les protagonistes de l'affaire Violaine vont devoir choisir entre le noir et le blanc, sans trop savoir si ce qu'ils voient reflète la réalité...
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JEU Revue de théâtre. No. 152, 2014.3
Patricia Belzil, Michel Vais, Martine Beaulne, Yves Jubinville, Michelle Chanonat, Marcel Pomerlo, Raymond Bertin, Deni
- Cahiers de théâtre Jeu inc.
- Jeu
- 27 October 2014
- 9782924356074
Dirigé par Michelle Chanonat, le dossier de ce numéro est consacré à la représentation de la mort au théâtre. Indicible, inénarrable et irreprésentable, la qualifiait le philosophe Vladimir Jankélévitch. La mort est un des tabous les plus forts des temps modernes. Le théâtre serait-il le dernier endroit où l'on en parle, où on la représente, où on la figure? Sont notamment abordées les démarches de Marcel Pomerlo, Denis Lavalou, Rabih Mroué, Lina Saneh, Denise Guilbault, Michel Nadeau et Pier-Luc Lasalle. Hors dossier, on trouve entre autres un récit de voyage signé Annick Lefebvre et Olivier Sylvestre, une entrevue avec Akram Khan et un portrait de Ivan Viripaev.
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Histoires d'un drôle du Pont Neu
Raymond Louis Denis Delphin Tireau
- FeniXX réédition numérique (JPB)
- 24 September 2021
- 9782307223153
Raymond Tireau vous invite à partager ses souvenirs. Il se souvient d'un passé où les hommes, bien moins pressés qu'aujourd'hui, prenaient leur temps et savouraient les joies simples qui font les petits plaisirs de la vie : « J'appris vite à goûter le privilège de cet atelier, qui fut le carrefour des quartiers frères de Montbernage et du Pont Neuf, et dont les histoires firent ma joie auprès des gens simples, typiques de leur quartier, et dont l'humour naturel trouvait son épanouissement dans cette époque où les individus éprouvaient le besoin de se rapprocher, voire de s'entraider, de s'informer et de se faire rire... Pas de radio, pas de télé, peu de voitures ; l'époque des assemblées, des petites fêtes de quartier, des petits théâtres en plein air, des réunions de famille, des veillées. Chacun était disponible, le temps donné ne comptait pas, ou si peu. Le quartier s'animait le dimanche pour les matchs de rugby ; le tram avec sa remorque pleine à craquer, avec des gens sur les tampons ou les marchepieds, amenaient de la ville la foule des sportifs. Les cafés se remplissaient. Le père Poupard, installé devant son petit magasin devant le stade, débitait des brioches et des frangipanes et servait de la limonade. »