> En un seul ouvrage, toutes les matières principales des BAC PRO Tertiaires & Industriels :FrançaisHistoire Géographie et enseignement moral et civique (EMC)MathématiquesPhysique-ChimieEconomie-DroitEconomie-GestionPrévention Santé EnvironnementAnglais
> Pour chaque matière :Un cours structuré et illustré d'exemples concretsDes exercices corrigésDes entraînements de type Bac Pro suivis de corrigés détaillésDes enrichissements numériques variés (vidéos, cartes, presse, etc) disponibles sur FoucherConnect pour approfondir ses connaissances et enrichir sa culture personnelleDes cartes mentales qui proposent une autre manière d'acquérir les connaissancesUn livret dédié au Chef d'oeuvre (oral)
De Galien de Pergame, héritier d'Hippocrate, à Victor Frankl, père de la « logothérapie », en passant par Freud ou Ostad Elahi, une question court à travers les âges : celle d'une santé, et donc d'une médecine et d'une thérapie, qui prendraient en vue l'homme tout entier, « corps et âme ». Ainsi, quels sont les facteurs psychologiques et spirituels du bien être et de la longévité ? Qu'est-ce qu'une « maladie de l'âme » ? Telles sont quelques-unes des questions sur lesquelles se penchent ensemble les intervenants de cette journée.
TOP'FICHES
Tout ce qu'il faut savoir et retenir et des schémas pour mémoriser.
Chefs de partie, argentiers, lingères, et fleuristes s'activent chaque jour autour de Bernard Vaussion, chef qui depuis plus de 40 ans orchestre les diners du Président de la République. Du général De Gaulle à François Hollande, il nous fait partager 50 recettes servies lors de dîners d'état historiques. À travers ces dîners, c'est aussi l'histoire de la gastronomie de la seconde moitié du XXe siècle qui se déroule sous nos yeux. Anecdotes et petits secrets sur les goûts de nos présidents jalonnent aussi ce livre très illustré.
Fées, princes charmants, ogres, géants, loups ou sorcières, se souvient-on des contes de notre enfance ? Sait-on encore les raconter ? Laissez-vous prendre aux mailles de la nostalgie, et revenez au temps où Cendrillon, Hansel et Gretel, Peter Pan ou Barbe Bleue vous ravissaient, le charme ne s'est pas rompu. Pimenté d'anecdotes, foisonnant d'illustrations sauvées des malles à trésors de nos grands-mères, « Fées et princes charmants » délivre pour nous tous les secrets de l'enchantement.
De l'aventure, de la vraie. Avec des crocodiles dangereu sans x ou dangereuxx avec des x, des savants à l'air louche et lâche, des enfants - ces héros ! - qui font ami-ami avec les animaux sauvages et qui ridiculisent un multi-milliardaire capricieux et, enfin, une vieille conteuse mélancolique... Des aventures drôles, émouvantes ou terrifiantes qui vous emporteront dans la savane et la forêt africaines au gré de la fantaisie d'un illustrateur et de quatre jeunes auteurs... les lauréats du grand concours « Plume en herbe » !
Ici, les textes tentent, chacun à leur manière, de détricoter des mythes, de troubler les grands récits et de sonder les figures héroïques qui font la trame de notre histoire. Qu'annonçaient ces oeuvres, ces mouvements, ces grandes idées et ces personnages qu'on a érigés au rang d'idéal, placés en surplomb de la société ? Qu'est-ce que leur traversée du temps dit de nous, aujourd'hui ?
Mais pourquoi, demanderez-vous, personnaliser cette question, en parlant de « déroute des héros » comme on déboulonne des statues ? N'a-t-on pas déjà renoncé à quelque chose lorsqu'on chasse le spectre de ceux et celles (surtout ceux, car nous avons la mémoire bien sélective) qui nous ont si longtemps inspirés ? La « déroute des héros » désigne en fait un phénomène plus vaste. Quelque chose comme un déplacement ; une tentative d'éclairer les angles morts qui, peut-être, nous ont longtemps empêchés de voir que ce que nous tenions pour extraordinaire travaillait en fait contre nous, contre le rêve de justice et de liberté pour le plus grand nombre possible. Il ne s'agit pas de répudier un héritage ni d'affirmer que nous ne croyons plus à rien, que rien dans notre passé ne mérite d'être défendu. Cela témoigne plutôt de la fin de la naïveté.
Nous proposons qu'il soit encore possible de faire autre chose que danser autour du brasier. Réfléchissons ensemble, rassemblons-nous, écrivons pour échapper à la déprime des temps, à sa terrible uniformisation ; faisons preuve d'imagination et de courage politique, et tentons l'impossible, puisqu'il y a devant nous un défi immense, ce que nous rappellent
les adolescents qui descendent dans la rue les vendredis. La déroute des héros désigne l'urgence de retrouver l'essentiel : cette impulsion qui se passe d'héroïsme, qui ne mise pas sur la grandeur des individus ou des mythes, mais sur la mise en commun des espérances.