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Wilkie Collins
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Une nuit, Walter Hartright, jeune professeur de dessin, porte secours à une mystérieuse " dame en blanc " que semble poursuivre une obscure menace. La jeune femme, parmi des propos incohérents, laisse entendre qu'elle est familière d'un lieu où il doit prochainement se rendre - le manoir de Limmeridge, perdu dans les brumes du Nord - pour enseigner la peinture aux deux pupilles de Mr Fairlie, Marian Halcombe et Laura Fairlie.Une fois sur place, à sa grande stupeur, Walter se rend compte que Laura ressemble étrangement à cette mystérieuse créature fantomatique, tout droit échappée d'un asile... Fervent défenseur de la cause féminine, il sent alors se nouer autour de lui un implacable complot : des mariages arrangés, voire meurtriers ; des hospitalisations de force par d'honorables familles soucieuses d'écarter des témoins gênants ; une société secrète qui fait poignarder les traîtres à sa cause...Tiré de l'histoire vraie de sa rencontre avec la femme qu'il aima jusqu'à la fin de ses jours - Caroline Graves, séquestrée avec son enfant par un mari à moitié fou -, Collins fait de la " dame en blanc " l'héroïne de ce roman angoissant plein de pièges et de terreurs intimes...
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It usually takes somebody already familiar with the piece or its author, or perhaps a bride-to-be who went a little too deep down the Google rabbit hole, to whip up much attention for a title like "The Woman in White". Yet that's not to say that those that let themselves be spirited away to the hot summer nights of 1850s Cumberland, North West England, aren't in for a treat.
A young artist has secured a position as a private teacher for a pair of fair ladies in the countryside, but on the night of his departure from London, a secretive and distressed woman clad all in white(!) crosses his path. He later discovers that she's an escaped mental patient and thus a gothic mystery of love, marriage, murder and greed unfolds.
But don't just take our word for it - a lot of people thought this book was the proverbial bomb, including the author himself, who figured he'd never write anything better. Hence "The Woman in White" has been adapted for radio twice, for theatre a total of 5 times, for film and television 13 times and even became a computer game in 2010.
Novelist, playwright, genre pioneer, opium addict, magnificently bearded individual - dead Englishman Wilkie Collins (1824-1889) has many titles to his name. Having a knack for mystery and unconventional characters, Collins' biggest contribution to world literature comes in the forms of "A Women in White" (1859) and "The Moonstone" (1868), with the former being mentioned on his headstone while the latter is widely considered the first modern detective novel. -
Joaquin Phoenix won an Oscar for playing the Joker, capturing the psychologically dark personality of a villain. Critics were stunned - just as how the villainous character of Lydia Gwilt in "Armadale" stunned critics of the time. "Armadale" might give us the Victorian answer to the Joker, but it's not only a psychological thriller. This novel is also a feat of classic Victorian themes of the supernatural, detectives, and romance.
Inheriting his mother's family estate in Norfolk, Allan Armadale is brought into contact with the spine-chilling Lydia who is jealous of his love interest. Meanwhile, Allan's friend, Ozias Midwinter, receives a letter written years before by a man on his deathbed - also named Allan Armadale. The letter reveals a shocking secret that connects the past of Allan and Ozias.
Discovering this secret, Lydia "the Joker" Gwilt uses it to plot against Allan in a dramatic tale of stolen identity and family inheritance.
London-born Wilke Collins (1824-1889) became known in Victorian England for his novels and plays, sometimes writing together with Charles Dickens. His most famous works, "The Woman in White" (1859) and "The Moonstone" (1868), are examples of the first modern detective novels. -
1845 : On donne un bal à la mairie de Londres pour célébrer le départ de deux navires vers le pôle Arctique, lancés à la recherche du mythique passage du Nord-Ouest et menés par sir John Franklin. 1854 : L'Angleterre est sous le choc. Une enquête vient de révéler le sort de l'équipage dépêché neuf ans plus tôt par-delà le Groenland. Que s'est-il passé ? Est-il possible que des gentlemen anglais, grands civilisateurs du genre humain. Se soit abaissés au cannibalisme ?
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A giant diamond stolen from India; a rakish rogue; a naive teenager and a drug-fueled scandal.
These are the leading parts that combine to make one of the greatest detective novels of all time.
'The Moonstone' by Wilkie Collins laid many of the foundations for the detective genre.
At heart, though, it is a great story.
Rachel Verinder inherits a large Indian diamond on her 18th birthday. It turns out to have been stolen from India by her corrupt uncle and is of immense religious significance.
When the diamond goes missing at Rachel's birthday party, it sparks a mystery that involves Indian jugglers, Hindu priests, an unlikely love story, betrayal, intrigue - and twists and turns to the final page.
Collins was a close friend of Charles Dickens, who serialised 'The Moonstone' in his magazine 'All the Year Round'.
In 2016 it was made into a five-part BBC TV series, starring John Thomson.
It is an example of an epistolary novel: one written as a series of documents, including letters and diary entries. Other famous examples include Mary Shelley's 'Frankenstein' and Bram Stoker's 'Dracula'.
William Wilkie Collins (1824-1889) was an English novelist and playwright. His most popular novels are 'The Woman in White' - adapted for stage in 2004 by Andrew Lloyd Webber and for BBC TV in 2018, starring Ben Hardy and Jessie Buckley - and 'The Moonstone'.
Collins was initially a tea merchant before his first novel 'Antonina' was published. Soon afterwards, his life was transformed by meeting and becoming friends with Charles Dickens. The great novelist became a mentor and helped him with his two classic novels. -
Pour les médecins accourus à son chevet, pour les experts des assurances-vie venus enquêter sur place, la mort soudaine de lord Montbarry dans un palais vénitien, peu de temps après son mariage, n'a rien de suspect. " Sa Seigneurie " a succombé à une pneumonie aiguë. Sa femme et son beau-frère n'ont rien pu faire.Les circonstances de cette mort, pourtant, soulèvent bien des questions. Pourquoi lord Montbarry avait-il délaissé la jeune Agnès et épousé l'intrigante comtesse Narona, malgré sa réputation d'aventurière ? À quoi joue exactement le baron Rivar, frère présumé de cette dernière, qui engloutit des sommes énormes dans ses expériences de chimie ? Ne serait-il pas plutôt... l'amant de la comtesse ? Enfin et surtout, qu'est devenu Ferrari, l'homme à tout faire du lord, dont on est sans nouvelle depuis le drame ?Transformé en hôtel, le palais livrera-t-il un jour ses secrets ? Wilkie Collins met à l'épreuve les nerfs du lecteur, dont il anéantit sans cesse les déductions. Quitte à semer, au fil de l'intrigue, quelques indices surprenants...
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En quête du rien
Wilkie Collins
- Les Editions du Sonneur
- La petite collection
- 25 January 2016
- 9782373850147
Comment la tranquillité peut finir par rendre fou.
William Wilkie Collins (1824-1889) n'est pas seulement l'auteur de somptueux romans victoriens et le père du roman policier britannique. Nouvelliste de talent, il est aussi journaliste à ses heures. Et fin observateur de ses contemporains. En quête du rien est le portrait primesautier, drôle et absurde d'un homme condamné à l'inactivité et au calme dans une société qui en est dépourvue. Ou comment la tranquillité peut finir par rendre fou. -
Le colonel Herncastle, officier de l'armée des Indes, connaissait la malédiction de la pierre de lune, lorsqu'il déroba ce diamant au front d'un dieu hindou. C'est pourtant ce mystérieux bijou, ayant traversé les siècles sous la protection de trois brahmanes, qu'il va offrir à sa nièce, l'impétueuse Rachel Verinder, pour ses dix-huit ans...
Lors de la soirée d'anniversaire, trois jongleurs indiens s'introduisent dans le parc. Dès le lendemain matin, on découvre que le joyau, enfermé dans un tiroir de la chambre de Rachel, a disparu. Un majordome insoupconnable, une vieille fille, un usurier, des avoués, une voleuse repentie et des médecins trop bavards... Tous donnent le change au redoutable sergent Cuff, meilleur limier de la Met, tandis que les deux cousins de Rachel s'affrontent pour obtenir sa main...
On a souvent comparé l'art du suspense de Wilkie Collins, l'un des précurseurs du roman policier, à celui d'Alfred Hitchcock. La Pierre de lune, plébiscité dès sa parution en 1868, piège le lecteur au coeur d'une toile d'hypothèses dont il ne le délivre qu'à la dernière page, une fois tous les masques arrachés. -
Dr Phil didn't invent family drama. This Victorian novel might as well be given the Dr Phil caption of "I found out my parents weren't married, and my cousin won't give me my inheritance". A suspenseful yet poignant tale of the prejudices against illegitimacy, "No Name" captures the anxieties at the time - but also love stories - surrounding marriage.
Two sisters, Magdalen and Norah Vanstone live an idyllic life in the English countryside with their wealthy parents. A tragedy upends their lives, suddenly losing their status in society. This new life brings Magdalen to York, then London, beginning her riveting tale of acting, marriage proposals, revenge, and even poison.
A thriller that would put Dr Phil out of business, "No Name" emphasises romance in the face of rigid Victorian society.
London-born Wilke Collins (1824-1889) became known in Victorian England for his novels and plays, sometimes writing together with Charles Dickens. His most famous works, "The Woman in White" (1859) and "The Moonstone" (1868), are examples of the first modern detective novels. -
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What is this Dead Secret?
Mrs. Treverton is dying. She gives to her servant Sarah a letter for her husband. Exhausted, she doesn't want to bring this Secret in the grave. Sarah can not deliver this missive to her grieving master and her only five-year-old daughter Rosamond. She hides it in one of the rooms of the house and she disappears ...
Fifteen years later, Rosamond understands that the house of her childhood hides a secret and she will do anything to find out ...
Wilkie Collins, a remarkable observer of his time, knows how to portray these tortured souls. This novel is a classic that has kept all its charm and definitely, is a brilliantly written Masterpiece. The process of unveiling this secret is strewn with pitfalls, detours and false tracks that will keep the re -
Imagine as a woman losing all your property to your husband. Sadly, such was the law for much of the Victorian times. Wilkie Collins's novel "The Woman in White" (starring Charles Dance in a recent BBC adaptation) first explored this absurdity. Now expanding on marriage law, Collins writes a protest for women's rights in "Man and Wife".
Two young women, Anne and Blanche, live together in Scotland after Anne's father abandoned her due to a legal loophole. Both women are engaged but Anne's fiancé, Geoffrey, is getting cold feet. Yet Anne knows a trick from the Scottish law books: if a man is witnessed to verbally declare a woman his wife, they are legally married.
Meanwhile, Blanche's fiancé, Arnold, is sent on Geoffrey's behalf to meet Anne. Under guise, Arnold publicly asks for his "wife", and accidentally potentially marries Anne. A fascinating tale of a wife's rights, this thriller will make you question the true impact of a marriage proposal.
London-born Wilke Collins (1824-1889) became known in Victorian England for his novels and plays, sometimes writing together with Charles Dickens. His most famous works, "The Woman in White" (1859) and "The Moonstone" (1868), are examples of the first modern detective novels. -
Madonna, the Queen of Pop, was not the first to be named in honour of the graceful Madonna in art. The focal point of this novel, Mary, is affectionately known as "Madonna" on account of her beauty. Moreover, Mary is both deaf and dumb: "Hide and Seek" is a bold and thrilling Victorian novel that reflects on disability in a positive light.
Mary was adopted from a circus by Lavinia - who also has a disability - and Valentine Blyth. That circus past becomes the central enigma of the novel when friends Zachary and Mat become involved with Mary in London. Mat is solving his own family mystery when he stumbles upon a shocking detail linked to Mary.
A tale of forbidden love, family drama, and mystery, Charles Dickens liked it so much that he declared it the "cleverest novel". (It even has a circus clown - eat your heart out Krusty the Clown.)
London-born Wilke Collins (1824-1889) became known in Victorian England for his novels and plays, sometimes writing together with Charles Dickens. His most famous works, "The Woman in White" (1859) and "The Moonstone" (1868), are examples of the first modern detective novels. -
Un amour interdit, un complot et une sombre histoire d'argent.
Le texte qui suit eut un véritable scandale lors de sa première publication.
Il y est en effet question d'un sujet hautement sulfureux pour l'époque, celui de l'émancipation d'une jeune fille de quinze ans dont les sentiments qu'elle porte à son cousin la conduisent à se marier en secret, contre l'avis de son père qui la destine à un riche ami de la famille. -
Eine skrupellose Manipulation...Eine junge Zeichenlehrer....Und eine mysterise Frau in Weiß.
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Extrait
I – La salle de bal
L’action se déroule il y a vingt ou trente ans. La scène se passe dans un port de mer en Angleterre. Il fait nuit, et l’occupation du moment est la danse.
Le maire de la ville et le conseil municipal donnent un grand bal pour célébrer le départ de deux navires, le Wanderer et le Sea-Mew, qui vont vers le pôle arctique chercher un passage au nord-ouest, et doivent prendre le large le lendemain, à la marée du matin.
Honneur au maire et au conseil municipal ! C’est un magnifique bal. L’orchestre est au complet : le salon, spacieux, communique avec un jardin d’hiver de belles dimensions, agréablement éclairé par des lanternes chinoises et délicieusement décoré d’arbustes et de fleurs. Tous les officiers de l’armée et de la marine qui sont présents ont mis leur uniforme pour la circonstance. Les toilettes des dames, sujet que les hommes ne savent pas apprécier, sont ravissantes ; la beauté de la plupart de ces dames, sujet dont les hommes sont bons juges, frappe les yeux de quelque côté qu’on se tourne.
La danse qu’on exécute en ce moment est un quadrille. L’admiration générale se porte exclusivement sur deux des danseuses qui en font partie. L’une, aux cheveux noirs, est dans la primeur de sa beauté féminine ; c’est la femme du premier lieutenant Crayford, du Wanderer. L’autre est une jeune fille pâle et délicate, vêtue d’une simple robe blanche, sans aucun ornement sur la tête, si ce n’est sa délicieuse chevelure brune c’est Miss Clara Burnham ; elle est orpheline ; elle est l’amie intime de Mrs. Crayford, et doit rester auprès d’elle pendant le voyage du lieutenant au pôle arctique. Elle danse en ce moment avec le lieutenant et a, pour vis-à-vis, Mrs. Crayford et le capitaine Helding, qui commande le Wanderer. La conversation entre le capitaine Helding et Mrs. Crayford, dans les intervalles de la danse, roule sur Miss Burnham. Le capitaine la considère avec un grand intérêt. Il admire sa beauté, mais il lui trouve l’air, pour une jeune fille, étrangement sérieux et abattu. Est-ce qu’elle est d’une santé délicate ?
Mrs. Crayford secoue la tête, soupire mystérieusement, et répond :
— D’une santé très délicate, capitaine.
— Elle est phtisique ? (tuberculose pulmonaire).
— Nullement.
— Ah ! tant mieux. C’est une charmante personne. Elle m’intéresse au dernier point. Si j’avais seulement vingt ans de moins… Mais, comme je n’ai pas vingt ans de moins, je ferais mieux de ne pas aller au bout de ma phrase. Est-il indiscret, chère madame, de vous demander quelle est sa maladie ?
— De la part d’un étranger, cela pourrait être indiscret ; mais un vieil ami comme vous peut m’adresser toute sorte de questions. Je ne demanderais pas mieux que de vous dire de quel mal est atteinte Clara. C’est un mystère pour les docteurs eux-mêmes. Dans mon humble opinion, ce qu’elle souffre provient, en partie, de la manière dont elle a été élevée.
— Ah ! Ah ! dans une mauvaise pension, je suppose.
— Très mauvaise. Mais non pas dans le sens que vous donnez à ce mot, en ce moment. Les premières années de Clara se sont écoulées dans une vieille maison isolée, au milieu des Highlands d’Écosse. Ce sont ces montagnards ignorants qui ont fait le mal dont je viens de parler. Ils ont rempli son esprit des superstitions qui passent encore pour autant de vérités dans les cantons sauvages du Nord, notamment la croyance dans ce qu’on appelle la seconde vue.
— Bon Dieu ! s’écria le capitaine, vous ne voulez pas dire qu’elle partage cette croyance, à une époque aussi éclairée que la nôtre ?
Mrs. Crayford regarda son cavalier en souriant d’un air moqueur.
— À cette époque si éclairée, capitaine, nous croyons aux tables tournantes et aux messages envoyés de l’autre monde par des esprits qui ne connaissent pas l’orthographe ! Auprès de ces superstitions, la seconde vue a quelque chose au moins de poétique, qui la recommande. Jugez, continua-t-elle sérieusement, l’effet d’un entourage comme celui dont je viens de parler sur une jeune personne aussi délicate et sensible, sur une fille d’un caractère naturellement romanesque, livrée à elle-même et qui mène une existence solitaire. Est-il surprenant qu’elle ait été atteinte de la superstition contagieuse qui régnait autour d’elle ? Est-il absolument incompréhensible que son système nerveux ait souffert en conséquence, à une époque si critique de sa vie ?
— Non, certainement, madame, non certainement, comme vous le dites. Seulement, ce qui m’étonne, moi, homme vulgaire, c’est de rencontrer dans un bal une jeune demoiselle qui croit à la seconde vue. Prétend-elle réellement qu’elle prévoit l’avenir ? Faut-il que je croie qu’elle a positivement des extases durant lesquelles elle voit des gens qui se trouvent dans des pays éloignés, et prédit ce qui doit arriver ? C’est ce qu’on appelle la seconde vue, n’est-ce pas ?
— C’est là, en effet, la seconde vue, capitaine. Et c’est là réellement et positivement ce qu’elle fait.
— La jeune dame qui nous fait vis-à-vis ?
— La jeune dame qui nous fait vis-à-vis.
Le capitaine attendit un moment pour laisser au flot d’informations qui venaient de lui être données le temps d’imprégner complètement le fond de son esprit. Quand il crut cette opération accomplie, il procéda résolument à de nouvelles découvertes.
— Puis-je vous demander, madame, si vous avez jamais vu cette jeune personne dans un de ses états d’extase, mais je dis vue… de vos propres yeux vue ?
— Ma sœur et moi l’avons vue ainsi il n’y a guère plus d’un mois, répondit Mrs. Crayford. Elle avait eu toute la matinée les nerfs agacés et irrités, et nous l’avions menée au jardin pour lui faire respirer un air frais. Tout à coup, incapables de deviner pourquoi, nous la voyons qui pâlit. Elle restait debout entre nous, insensible au toucher, insensible au bruit, immobile comme une pierre, et, en même temps, froide comme une morte. Cet état a duré quelques minutes, après lesquelles ses mains ont commencé à se mouvoir lentement, comme si elle marchait dans l’obscurité. Des mots sont sortis l’un après l’autre de sa bouche ; sa voix était lointaine et inexpressive, comme si elle parlait en dormant. Je ne puis vous dire s’il était question du passé ou de l’avenir. Seulement, j’ai compris qu’elle évoquait des personnes qui se trouvaient à l’étranger et nous étaient parfaitement inconnues, à ma sœur et à moi. Après un court laps de temps, la voilà qui devient tout à coup silencieuse. Ses couleurs un instant ont reparu sur son visage, puis elle a pâli de nouveau. Ses yeux se sont fermés, ses jambes se sont dérobées sous elle, et elle est tombée insensible dans nos bras.
— Elle est tombée insensible dans vos bras ! répéta le capitaine. C’est très extraordinaire ! Et dans cet état de santé, elle va dans des réunions, dans des bals ! C’est plus extraordinaire encore !
— Vous vous méprenez complètement, dit Mrs. Crayford. Elle n’est ici ce soir que pour me faire plaisir, et elle ne danse que pour faire plaisir à mon mari. En général, elle évite toutes les réunions. Le docteur lui recommande de se changer les idées et de se distraire. Elle ne veut pas l’écouter. Excepté quelques rares occasions comme celle-ci, elle persiste à rester au logis. -
C'était écrit
Wilkie Collins
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Lord Harry mène une vie dissolue qui va rapidement le mener à bien des déboires. Iris Henley l'aime, mais ses frasques la décide à s'éloigner de lui. Le destin croise à nouveau leurs destinées et va entraîner Iris dans bien des déconvenues. Roman de 614 000 caractères.
PoliceMania, une collection de Culture Commune.
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Je dis non !
Wilkie Collins
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Emily est orpheline, une de ses amies lui annonce qu'elle a connu son père, sans vouloir s'étendre sur le sujet. En se rendant à Londres au chevet de sa tante malade, elle découvre qu'il règne un mystère au sujet du décès de celui-ci. Elle fera tout pour connaître la vérité. Roman de 665 000 caractères.
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La piste du crime
Wilkie Collins
Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Dans le train qui la mène à Ramsgate pour son voyage de noces, Valéria pense à son mariage avec Eustache. Dans la cité balnéaire, elle rencontre fortuite la mère de ce dernier, elle lui apprend qu'elle ignore bien des choses sur le passé de son époux. Pourquoi sa belle-mère la plaint-elle ? Roman de 860 000 caractères.
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The Woman in White (illustrated) + The Moonstone + The Haunted Hotel: A Mystery of Modern Venice
Wilkie Collins
- e-artnow
- 25 October 2013
- 9788074849213
This carefully crafted ebook: "The Woman in White (illustrated) + The Moonstone + The Haunted Hotel: A Mystery of Modern Venice" contains 3 books in one volume and is formatted for your eReader with a functional and detailed table of contents.
The Woman in White is an epistolary novel written by Wilkie Collins in 1859, serialized in 1859-1860, and first published in book form in 1860. It is considered to be among the first mystery novels and is widely regarded as one of the first in the genre of 'sensation novels'. The story is sometimes considered an early example of detective fiction with the hero, Walter Hartright, employing many of the sleuthing techniques of later private detectives.
The Moonstone (1868) by Wilkie Collins is an epistolary novel, generally considered the first detective novel in the English language. The Moonstone is about the disappearance of a precious diamond called "the Moonstone", and the novel is a collection of eyewitness accounts by different characters who know something about its disappearance. The idea was for the novel itself to be like a collection of evidence so that the readers could be put in the position of the detective.
The Haunted Hotel: A Mystery of Modern Venice is a Wilkie Collins's ghost story was set in 1860 and published in book form with 'My Lady's Money'. The Haunted Hotel: a tale of a haunting - or the tale of a crime? The ghost of Lord Montberry seems to be haunting the Palace Hotel in Venice. Montberry's beautiful-yet-terrifying wife, the Countess Narona, and her erstwhile brother are the center of the terror that fills the Palace Hotel. Are their malefactions at the root of the haunting - or is there something darker, something much more unknowable at work?
William Wilkie Collins (1824 - 1889) was an English novelist, playwright, and author of short stories. His best-known works are The Woman in White, The Moonstone, Armadale, and No Name. Collins developed a new way of writing suspenseful novels: instead of having a central narrator who tells the story, Collins composed his novels as a series of first-person narratives, so the point of view in the novels is always changing. -
Verschwrungen, Komplotte, Intrigen...und eine verwirrende Liebe zwischen Iris und Lord Harry. Wilkie Collins war ein britischer Schriftsteller und Verfasser der ersten Mystery Thriller.
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Extrait : "Ce que peut supporter la patience d'une femme, ce que peuvent accomplir le courage et la constance d'un homme, cette histoire le dira."
À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN :
Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants :
o Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin.
o Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques. -
Le Classcompilé n° 92 contient 18 oeuvres de Wilkie Collins en traductions françaises.
William Wilkie Collins (8 janvier 1824 - 23 septembre 1889) est un écrivain britannique de l'époque victorienne, contemporain et ami de Charles Dickens. Très populaire de son vivant, il est l'auteur de 27 romans, plus de 50 nouvelles, au moins 15 pièces de théâtre et plus de 100 essais. (Wikip.)
Nouveautés de la version : 2.0 : PAUVRE LUCILE!, LA MORTE VIVANTE, LA CORDE À FEU, MADEMOISELLE OU MADAME, LA MER GLACIALE + Les HISTOIRES DE NOEL déjà présentes dans le volume de DICKENS (N° 8)
CONTENU DE CE VOLUME:
ROMANS
LE SECRET 1856
LA FEMME EN BLANC 1860
LA PIERRE DE LUNE 1868
MARI ET FEMME 1870
PAUVRE LUCILE ! 1872
LA MORTE VIVANTE 1873
LA PISTE DU CRIME 1875
L'HÔTEL HANTÉ 1878
JE DIS NON 1884
C'ÉTAIT ÉCRIT ! (Achevé par W. Besant) 1889
NOUVELLES
LA CORDE À FEU 1859
MADEMOISELLE OU MADAME 1872
La Mer glaciale 1874
HISTOIRES DE NOëL (Collaborations)
MAISON À LOUER 1858
LA MAISON HANTÉE 1859
UN MESSAGE DE LA MER 1860
LA TERRE DE TOM TIDDLER 1861
L'ABÎME 1867
VOIR AUSSI
LES ROMANS DE WILKIE COLLINS, par E.-D. Forgues 1855 -
Please note: This audiobook has been created using AI voice.
Man and Wife is the ninth novel by Wilkie Collins, and was published in serial form in 1870. Like many of his other novels it has a complex plot and tackles social issues, in this case the thenlax state of the marriage laws, particularly in Scotland and Ireland. As always, Collins deals carefully but frankly with human personal behavior. To avoid offending Victorian morals too greatly, much is implied rather than stated outright. Nevertheless, even dealing with such matters at all led to his novels being derided as "sensation fiction" by his critics. By today's standards, of course, they wouldn't even raise an eyebrow.
In Man and Wife, the main character Anne Silvester has fallen pregnant to a muscular and handsome, but boorish man, Geoffrey Delamayn, to whom she is not married. She is working as a governess at a house in Scotland. Anne arranges to meet Delamayn secretly at a garden party and angrily demands that he fulfill his promise to marry her, that very day. He very reluctantly agrees to a secret, private marriage, knowing that a public marriage would badly affect his inheritance prospects. How is the marriage to be arranged quickly but kept quiet? Anne has a plan based on her understanding of the looseness of the marriage laws in Scotland. Naturally, of course, things go badly wrong with this plan and many complexities arise.
Collins is deeply critical of the state of contemporary marriage laws, both in how loosely they were framed, and in how little power over their own lives they gave to women once they were married, even if married to a brutal man. He also uses this novel to denounce the worship of sporting heroes and the obsession with physical prowess rather than mental superiority as a primary indication of male virtue.
Though not as popular as his novels The Woman in White and The Moonstone, Man and Wife received a good critical reception when it was released and was a commercial success. -
« ... Car, dans les temps anciens, les saintes femmes qui croyaient en Dieu s'honoraient elles-mêmes en étant soumises à leur mari ; Sarah obéissait à Abraham et l'appelait son seigneur ; et vous serez ses filles tant que votre conduite sera droite et que vous ne vous laisserez dominer par aucune crainte. »Mon oncle Starkweather, terminant par ces paroles connues l'Office du Mariage selon le rit de l'Eglise d'Angleterre, ferma son livre, et, du haut de l'autel, fixa sur moi son regard avec toute la tendresse que pouvait exprimer sa large face colorée.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.