Renvoyée à sa plume après une fulgurante et torride liaison, une femme écrit à son amant. " Le coeur tendre, le ventre désoeuvré ", elle effeuille l'album de leurs souvenirs, de leurs folies. Avec les vrais mots de l'impudeur, elle invite le lecteur éberlué à la suivre dans un voyage mouvementé au bout de la sensualité... De son compagnon, nous ne connaîtrons que deux couleurs : le jaune de ses yeux et le vert de son pull... Mais nous découvrirons vite ses caprices et ses fantasmes auxquels elle se soumet, tout en laissant parler son propre corp
Le croisement de trois récits autour de la troublante thématique de la marginalité
Une femme, auteure de livres érotiques, croise dans la rue deux marginaux à l'aspect inquiétant. Elle ne les repousse pas, ils se révèlent simplement humains. Tous les trois vont dans une chambre d'hôtel pour faire l'amour et se quittent. Une autre femme retourne dans la maison familiale aban donnée pour enterrer sa mère. Un homme s'y cache, fuyant on ne sait quelle police. Il est nerveux et impudique. Elle ne le repousse pas. Ne s'inquiète pas de sa présence. Ils font l'amour et c'est une révélation. Mais qui sont ces trois marginaux ? Et quels liens les unissent ? Françoise Rey nous entraîne dans de nouvelles variations sur cette thématique très riche de la marginalité. Les récits se trament et l'on voit apparaître une composition originale où le sexe crée du sens et du lien dans des vies détruites.
Deux crashs. Deux avions d'Air India. 48 victimes en 1950. 117 victimes en 1966. Presque au même endroit, dans des circonstances aussi floues. Aucun rescapé. Débris et corps dérivent encore à ce jour dans les glaces du Mont-Blanc qui en « libèrent » des éléments chaque été. Vingt-quatre ans après la sortie de son premier livre « Crash au Mont-Blanc, les Fantômes du Malabar Princess » (Ed.Glénat) et suite à la mystérieuse découverte de pierres précieuses qui défraya la chronique en 2013, Françoise Rey poursuit l'enquête ! Les catastrophes aériennes sont des machines à fantasmes. Surtout quand elles surviennent dans des lieux inaccessibles. Reste que les faits eux-mêmes sont parfois « un peu forts ».
Le crash de 1950 est inscrit dans l'histoire locale et même nationale. Une rumeur circulait : le Malabar Princess transportait de l'or...
Bien que plus meurtrier, le deuxième accident a été oublié presque aussitôt. Il y avait pourtant à bord le père du programme nucléaire de l'Inde...C'est au cours de son enquête pour raconter l'histoire du Malabar Princess en 1990, que Françoise Rey eut connaissance de ce deuxième accident. Avait-on caché quelque chose au public ? L'hypothèse de la collision avec un avion militaire de l'Otan était relancée.On se passionna d'autant plus pour les mystères du Mont-Blanc qu'une « valise diplomatique » était trouvée sur un glacier en 2012 et que l'année suivante, encore plus incroyable, apparaissait une cassette pleine de pierres précieuses. L'info a fait le tour du monde, passionné le public. Les autorités déclaraient se mettre en quête des propriétaires originels de ce trésor...
Interrogée par la presse, Françoise Rey a donné une piste pour retrouver les ayants droit, une lettre figurant dans le dossier d'instruction, qui a disparu...
Nous faisant souffrir sur les pentes du mont Blanc et voyager dans le temps sur trois continents, Françoise Rey tente inlassablement de révéler les secrets de ces crashs qui continuent d'alimenter la chronique et les convoitises à Chamonix. L'enquête qu'elle poursuit depuis vingt-cinq ans est aussi un hommage aux victimes dont les corps hantent encore les glaciers du Mont-Blanc au pied desquels elle vit.
Métamorphoses, que Françoise Rey sous-titre : « Le Sexe est un grand maître », est la réunion de textes auxquels Françoise Rey attache une importance toute particulière, comme sils représentaient des instants clés dans sa carrière décrivain. Textes inédits ou déjà publiés, ils dessinent les contours et les grandes étapes dune ½uvre dédiée à la description précise et inventive des plaisirs de lamour. Des premiers émois dun adolescent patineur qui « rêve des filles », à son vibrant hommage à la fellation, tous ces textes décrivent des univers où les sens règnent en maître. Du grand Françoise Rey.
Une version moderne des Liaisons dangereuses
Cherchant à renouer avec la grande tradition du roman épistolaire et avec celle du jeu littéraire, un éditeur demande à deux auteurs qui ne se connaissent pas d'entamer une correspondance érotique sans jamais révéler l'un à l'autre leur identité. Ils s'écrivent sans se connaître, se découvrent fous d'amour, se rendent malades de jalousie, se fuient. Ils ne s'épargnent aucun détail de leurs jeux érotiques, se provoquent, se déchirent par fantasmes interposés...
Elle croise par hasard Piotr, un ancien éditeur qui l'a lâchement oubliée depuis des années. Fidèle au souvenir qu'elle en avait, il enchaîne compliments et protestations d'amitié et l'implore presque de lui envoyer un manuscrit. Elle accepte, à condition qu'il lui fasse au préalable un signe : coup de téléphone, courrier, peu importe. Ce signe ne viendra jamais. Décidément, se dit-elle, cet homme n'a jamais eu de parole ni d'audace. Pas de couilles. Au sens symbolique du terme, s'entend. De souvenirs en séquences oniriques, de réflexions en fantasmes, elle se promène au gré de ses mémoires et fantaisie sur ce thème sensible des attributs virils dont on pense généralement qu'ils signent l'homme et son tempérament. Ici, le héros, ce n'est pas Piotr, mais son scrotum mystérieux, planqué, traqué, remis en question et débusqué enfin, mais à quel prix !
Françoise REY, après une enfance et une adolescence grenobloises, suit des études de lettres, puis enseigne deux ans en Vendée avant de s'établir, en 1976, dans la région beaujolaise. Mariée, mère de trois enfants, elle a été professeur dans un collège de campagne. elle devient célèbre grâce à la littérature érotique (plus de 30 livres publiés à ce jour). nombreux sont ceux qui la considèrent comme la "grande dame de l'érotisme contemporain".
Dix nouvelles brûlantes et échevelées composent ce recueil où les amateurs retrouveront la fougue de Françoise Rey comme dans Nuits d'encre, Métamorphoses, ses recueils vendus en poche à plusieurs milliers d'exemplaires.Très inspirée par Noël, Françoise Rey continue l'exploration érotique de cette fête en plongeant ses personnages dans des aventures sulfureuses et cocasses.
Toutes les femmes de ces Aventures délirantes sont toutes obsédées d'amour ou de désir, toutes fragiles et fortes, de cette force que donne le sexe par son élan vital, rédempteur ou destructeur.Un traumatisme ancien, un génie précoce, une passion dévorante les a fait basculer dans la folie des corps, de leur corps. Elles sont toutes folles, à leur façon, hors les lois ordinaires de la logique et des codes. Ce qu'elles osent ou qu'elles rêvent de fabuleuses obscénités, ce qu'elles observent d'étranges et indécents rites, ce qu'elles commettent de troublantes transgressions, c'est leur esprit malade et leurs sens déréglés qui le soufflent aux héroïnes de ces nouvelles, inspirées pour la plupart de faits réels. Car les archives, comme l'actualité, sont pleines de ces brûlantes « cinglées », de ces fascinantes égarées qui donnent une signification et une richesse particulières à « l'amour fou ».
Pour son 25 ème livre, Françoise Rey plonge dans l'univers délirant des femmes qui aiment s'adonner sans réserve à la folie des corps et revient ainsi à son écriture favorite, celle d'un érotisme torride, débridé et joyeux.
Elle est femme de lettres, il est postier. Pour Marcel, la porte de Françoise est toujours ouverte. Oubliées sa gaucherie et sa silhouette boiteuse, le jeune homme la trouble par son innocence, sa pudeur, son air rêveur. Marcel a un « coeur gros comme ça », mais pas seulement le coeur. Et tandis que les femmes du village fantasment sur l'opulence de son sexe, lors de leurs rencontres secrètes, Françoise le provoque, l'affole de mots et d'images obscènes. Affectueuse et dévergondée, elle transforme le timide préposé au courrier en étalon insatiable. Leurs jeux et leurs récits amoureux tournent vite à l'obsession. Dans ce domaine du plaisir physique, Françoise Rey est souveraine, unique dans l'art de marier la tendresse et le désir, l'érotisme le plus cru et l'émotion...
Lorsqu'au milieu d'une nuit, Vick, jeune auto-stoppeuse, embarque à bord du camion de Marc et Tristan, loin de découvrir deux rustauds machos, dragueurs impénitents des madones de l'asphalte, elle se retrouve encadrée par un couple d'homosexuels. « Ils étaient beaux. Plus que beaux. Super rayonnants, presque irréels à force de splendeur. Ils aimaient la bière, le vin, l'alcool, les fumées à mirage, la route et la sueur, la fatigue vaincue, les horizons lointains, l'eau, la terre, le feu, les épices et la vie, et par-dessus tout, la musique et la danse. Ils étaient grands. Plus que grands. Géants, archi-musclés, hyper virils. Et pédés... » Les quelques kilomètres du départ dureront deux années, le temps d'une vie à trois chargée de désirs et de combinaisons amoureuses hors du commun...
Ca plane pour moi Une femme raconte ses rêves érotiques à son médecin.
Une professeur d'espagnol soigne et s'offre à un torero blessé.
Une femme séduite par un cordonnier s'offre à lui.
Retiens la nuitQuand Johnny Halliday devient objet de fantasme érotique...
Il y a chez Freud un travail très particulier de la nomination. Ce travail donne à voir comment se dégage peu à peu la notion de matériau - essentielle pour l'ensemble du corpus freudien. Le matériau est ce qui est à observer, à élaborer, à décrire. À la recherche d'un objet que rien ne laissait prévoir, la démarche freudienne se règle sur l'usage du langage et constitue de la sorte le matériau de sa pratique clinique et théorique. Dès lors, la question du matériau porte à s'interroger sur la traduction et la transmission de l'oeuvre de Freud. Ce livre de Jean-Michel Rey nous entraîne à nous demander en quel sens on peut dire que Freud fait l'histoire. Il s'agit, de même, de réfléchir aujourd'hui sur l'incidence de la psychanalyse sur la culture philosophique et littéraire contemporaine. P. P
Elle a choisi la ville. Il a choisi le lieu. Ils vont célébrer leurs noces dans un palace de Bruges. Lentement, inéluctablement, ils se révèlent l'un à l'autre, font tomber les barrières, abolissent les tabous. L'aube les trouvera changés. Il en sera ainsi pour tous ceux qui décident d'aller au bout de leurs désirs, au-delà de leurs fantasmes. L'étudiante qui s'offre à un routier la nuit de Noël ; la jeune femme qui jette son dévolu sur un « guerrier viking ».
Ces gens comme les autres que rien n'avait préparé à de telles rencontres, à de telles folies connaîtront la métamorphose d'une nuit unique, extravagante, inoubliable.
Un superbe recueil de nouvelles qui mêle avec bonheur un érotisme débridé et un regard tendre sur l'amour.
Considérée comme la « grande dame de l'érotisme français », Françoise Rey a publié plus d'une vingtaine de livres. Elle fut la première femme à revendiquer son goût pour la littérature érotique et à défendre ses écrits, sans pseudonyme, ouvrant ainsi la voie de l'écriture à de nombreuses femmes.
Son drame, son chagrin, c'est de n'être ni sa femme ni même une de ces passades qui donnent le vertige. Elle est la maîtresse, la favorite, celle qu'on trompe avec la première venue. Elle devrait le quitter mais cet homme, ce "gourgandin" trop léger, diabolique et rieur, lui procure un bonheur érotique sans égal.
Par vengeance, dépit ou perversité, elle décide de révéler par écrit à l'épouse légitime l'enfer et le paradis de leurs folies sensuelles, jusqu'à l'obscénité.
26 ans après son grand succès - La femme de papier - elle avoue qu'elle ne saurait plus en écrire les passages exaltés. Pour autant, il lui reste l'envie du verbe, et de la chair que ce verbe invente. Or, quoi de plus charnu et de plus charnel que le cochon ? Pour Françoise Rey, le cochon, le petit cochon, c'est la version adoucie, amusante, fantaisiste, inventive, victorieuse, de la sexualité. Françoise Rey se revendique donc ici non pas écrivain érotique, mais écrivain cochon. C'est peut-être restrictif, mais ça lui plaît. Pas d'emphase, pas de déception possible de lecteurs non avertis, pas de choc en leur esprit égaré par des critiques trop peu explicites. Elle a eu envie, dans ce roman, de rassembler tous les cochons qui habitent sa mémoire, sa culture et son imaginaire. Elle les a convoqués en leur adressant ce message : « Venez petits cochons, gros cochons, vieux cochons et tous les autres ! Votre écrivain vous attend. »
Françoise REY après une enfance et une adolescence grenobloises, suit des études de lettres, puis enseigne deux ans en Vendée avant de s'établir, en 1976, dans la région beaujolaise. Mariée, mère de trois enfants, elle a été professeur dans un collège de campagne. Elle devient célèbre grâce à la littérature érotique (plus de 30 livres publiés à ce jour). Nombreux sont ceux qui la considèrent comme la "grande dame de l'érotisme contemporain".
Douze nouvelles échevelées composent ce recueil où les amateurs retrouveront la plume fougueuse de Françoise Rey et son érotisme joyeux et enlevé comme dans Nuits d'encre, sont recueil vendu à plusieurs milliers d'exemplaires.
Les joyeux Noëls de Françoise Rey sont d'inoubliables fêtes de l'amour et des sens. On entend des bruissements dans les étables, les bonshommes de neige brûlent de désir et les sapins multicolores s'ornent d'objets inattendus et de guirlandes fort suspectes.
Dans ces décors scintillants, l'auteur de La Femme de papier imagine les rendez-vous les plus lestes, les célébrations les plus profanes et des nuits qui exaucent les attentes les plus inavouables.
Au-delà de la bienséance, avec polissonnerie et amusement, Françoise Rey ose tout. Elle détient les plus affolants secrets du langage érotique, de la parole du sexe, des mots nus qui troublent, envoûtent, provoquent fièvre, bonheur et volupté.
Un train qui s'engouffre dans un tunnel, la nuit... Dans une luxueuse cabine de l'Orient-Express, trois inconnus se rencontrent, se racontent et se dévoilent. Philippe, l'insatiable coureur de femmes, Christophe, prêtre défroqué, et Gina, madone des sleepings aux cuisses d'amazone. Voyageurs en quête de nouvelles sensations, ils partagent le même goût de la chair, de l'exploit amoureux, des flambées de désir. Ils connaissent la jouissance des découvertes sensuelles poussées à l'extrême limite, l'infini des plaisirs soumis aux variations les plus expertes. Acteurs ou voyeurs, c'est le récit de leurs passions et expériences diverses qu'ils livrent au cours de cette nuit. Avec quelques mises en pratique...
Elle avait gagné un savoir-faire diabolique, une maîtrise étonnante et les jeux de l'amour lui plaisaient tous. Henry ne redoutait plus de s'enfoncer dans sa gorge hospitalière. [...] Lui-même la bouffait à pleine bouche, comme une tranche de pastèque, et elle lui tenait la tête à deux mains, pour mieux le guider dans son plaisir.
[...] Personne, mieux que lui, Miller, ne pouvait s'enorgueillir de cette belle éducation à l'amour. Il était son maître indubitable, et, s'il lui devait tout, elle lui devait au moins ça, l'apprentissage de la volupté et de la jouissance. "Pas la jouissance, corrigeait-elle. L'Extase! Toi, tu jouis, de moi, de la vie, de tout. Moi, je veux l'extase!""
Ce nouveau roman de Françoise Rey s'inspire des amours tumultueuses d'Anaïs Nin et d'Henry Miller.
L'objectif de l'ouvrage qui apporte témoignage et analyse de dispositifs et de pratiques d'enseignement dans un lycée et collège public expérimental est, au vu d'une expérience réussie, de convaincre les parents, les enseignants et les pouvoirs publics de l'intérêt qu'il y aurait à multiplier en France des écoles « différentes ». Des élèves et des enseignants qui réussissent et qui sont heureux de travailler ensemble, ce n'est pas un rêve impossible ! Françoise Rey est agrégée de lettres classiques (Hérouville), André Sirota est professeur de psychopathologie sociale à l'Université d'Angers.
Lorsqu'au milieu d'une nuit, Vick, jeune auto-stoppeuse, embarque à bord du camion de Marc et Tristan, loin de découvrir deux rustauds machos, dragueurs impénitents des madones de l'asphalte, elle se retrouve encadrée par un couple d'homosexuels. « Ils étaient beaux. Plus que beaux. Super rayonnants, presque irréels à force de splendeur. Ils aimaient la bière, le vin, l'alcool, les fumées à mirage, la route et la sueur, la fatigue vaincue, les horizons lointains, l'eau, la terre, le feu, les épices et la vie, et par-dessus tout, la musique et la danse. Ils étaient grands. Plus que grands. Géants, archi-musclés, hyper virils. Et pédés... » Les quelques kilomètres du départ dureront deux années, le temps d'une vie à trois chargée de désirs et de combinaisons amoureuses hors du commun...
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.