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Philippe de Villiers
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« Alors que j'achevais la rédaction de ce livre, la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques est venue raviver le feu de ma plume : la France est la victime d'un mémoricide. Une ablation de sa mémoire. Une spoliation, une péremption de ses souvenirs. L'Esprit français a été immolé.
Toute ma vie, je me suis battu. Contre un progressisme en quête incessante des figures nouvelles de l' insolite et du fantasque. Mais surtout pour renouer le fil avec la mémoire commune qui nous a façonnés, en chérissant les trésors d'un patrimoine envié par le monde entier, et pour rappeler le pacte vingt fois séculaire entre la grandeur de la France et la liberté du monde.
Ce combat, je le mènerai jusqu' à mon dernier souffle et je sais que d'autres le mèneront après moi.
Même s'ils sont hélas destinés à devenir minoritaires, il restera toujours des réfractaires. Je voudrais leur dire de ne pas perdre espoir, c'est d'eux seuls que la France pourra renaître. »
Avec une verve sans pareille et dans une plainte mêlée de nostalgie, Philippe de Villiers dresse un constat accablant de l'état de la France. Il évoque ses souvenirs d'enfance, de créateur du Puy du Fou et livre des confidences sur l'homme politique qu'il a été. Philippe de Villiers se refuse à abandonner toute espérance, et son amour de la France éternelle demeure plus vivant que jamais. -
" Un roi qui perd son fils de sang a-t-il le droit de pleurer comme un être de chair ? Si je cède à l'éploration, on va me suspecter de me distraire du malheur du peuple. Et si j'ai les yeux trop secs, on va me réputer insensible au malheur de ma famille. Tant pis. Je m'abandonne à mon chagrin qui emporte mon royaume, mon État, ma charge, ma vie. Je pleure comme un petit enfant du Bon Dieu qui ne comprend pas l'amputation si soudaine, si cruelle. Je pleure comme un père qui va mettre en terre une part de ses affections, comme un roi qui voit sa lignée brisée même s'il sait que dans le mot "souffrance', il y a encore le mot "France'. "
Avec le style et le panache qui ont fait ses succès littéraires, Philippe de Villiers brosse un portrait unique, époustouflant, du Roi-Soleil, monarque qui n'eut d'autre ambition que de hisser la France au pinacle des nations. -
L'un des maîtres du roman historique nous offre une plongée spectaculaire dans la France de l'après-Révolution et de l'Empire.Tout commence le 8 août 1808. L'Empereur s'arrête aux Quatre Chemins de l'Oie. Il passe en revue les Vendéens. À chacun, il pose la question :
-; Que faisiez-vous pendant la Grand'Guerre ?
-; Sire, j'étais neutre, lui répond le maire Jean Rogronille, qui est aussi un luthier réputé.
L'Empereur le foudroie :
-; Vous n'étiez qu'un jean-foutre !
Alors le destin de celui qu'on n'appelle plus désormais que " le Jean-Foutre " bascule dans l'errance. Contraint de s'engager dans la Grande Armée, il participe à la retraite de Russie.
Sur le chemin de son retour en France, il fait une incroyable rencontre, celle du jeune Frédéric Chopin. Leur destin sera désormais lié, pour le meilleur et pour le pire. Alors qu'il est convoqué par le roi, Jean Rogronille pense sa dernière heure arrivée quand, à sa grande surprise, il va être sauvé... par la magie d'une valse. -
Pour rendre à Jeanne, au-delà de la place qu’elle occupe dans l’Histoire, un peu son humanité et de sa fragilité, Philippe de Villiers est parti sur ses traces : il a visité et revisité Domrémy, Chinon, Orléans et Compiègne, Le Crotoy et Rouen. Il a longé la Loire, refait la route du Sacre et celle de la capture. Il s’est imprégné de l’air qu’elle a respiré, a renoué avec sa langue, son univers, les saisons de son enfance. Il a relu les dernières minutes du procès et s’est laissé habiter par la force unique de cette guerrière.Avec le style et le panache qui ont fait le succès du Roman de Charette et du Roman de Saint Louis, Philippe de Villiers dessine ici le portrait d’une Jeanne loin des stéréotypes, celui d’une âme simple et portée par la grâce, tout entière vouée à la sincérité de son combat – à l’amour de son pays, la France.
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Les gaulois réfractaires demandent des comptes au nouveau monde
Philippe de Villiers
- Fayard
- Documents
- 10 June 2020
- 9782213719153
Ce livre se lit d'une traite, à bride abattue.
Il porte la rage des « Gaulois réfractaires » et la met en récit pour la rendre intelligible à ceux qui la ressentent.
C'est la chronique glaçante d'une histoire terrifiante : on y découvre le chemin des aveuglements qui a conduit à cette débâcle, l'engrenage des mensonges, la révélation hallucinante des alertes des militaires, les ignorances savantes du biopouvoir liberticide ; sans oublier un morceau d'anthologie : la rencontre du Puy du Fou, quand Emmanuel Macron s'enivrait encore de l'Ancien Monde.
La plume de Philippe de Villiers est inspirée. On se laisse emporter par l'expression aboutie, dense, littéraire et cinglante de la colère qui gronde partout aujourd'hui contre le Nouveau Monde, mort du coronavirus. -
« Ce que nous avons vécu a déjà été joué. À New-York. Lors d'une réunion ou plutôt d'un exercice de simulation d'une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019 ; tout a été filmé et se trouve sur internet.
Cela s'est passé plusieurs mois avant la survenance du virus. En réalité, les participants - les géants du capitalisme de surveillance - anticipaient ainsi la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d'un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s'y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir.
Quand elle survint, ils la saluèrent comme « une fenêtre d'opportunité ».
Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d'essai l'idée d'une « société disciplinaire ».
Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d'après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total. »
Ayant entre les mains des éléments d'information fiables, recoupés, glaçants, Philippe de Villiers a décidé de prendre la plume pour alerter les Français, en espérant contribuer ainsi à l'insurrection des consciences. -
J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu
Philippe de Villiers
- Fayard
- Documents
- 6 March 2019
- 9782213714011
À la fin d'une conversation qui roulait sur la « construction européenne », l'ancien ministre des Affaires étrangères du général De Gaulle, qui savait tout sur tout le monde, laissa tomber d'un air entendu : « Philippe, il vous suffira de tirer sur le fil du Mensonge et tout viendra... »
Des décennies plus tard, en y consacrant un temps discret et beaucoup d'ardeur, bénéficiant par ailleurs de complicités au plus haut niveau des arcanes de l'Europe, Philippe de Villiers décide de tirer sur le fil.
Alors tout est venu.
Il a mené ses recherches jusqu'au bout du monde, à Stanford, à Berlin, à Moscou et partout où pouvaient se trouver des documents confidentiels récemment déclassifiés. Et les archives ont parlé. Elles ont livré des secrets dérangeants.
L'envers de l'Europe est apparu. Ce n'est pas du tout ce qu'on nous avait dit.
De ce travail d'enquête, Philippe de Villiers a fait un livre de révélations sur le grand Mensonge. Il a résolu de publier les preuves. Elles sont accablantes. Tout y passe : les Mémoires apocryphes, les dollars, la CIA, les agents, le passé qu'on efface, les allégeances qu'on dissimule, les hautes trahisons.
Le récit est parfois glaçant. Mené au rythme d'une enquête haletante, il se lit comme un polar. On n'en ressort pas indemne. C'est la fin d'un mythe : ils travaillaient pour d'autres et savaient ce qu'ils faisaient, ils voulaient une Europe sans corps, sans tête et sans racines. Elle est sous nos yeux. -
« Je rêvais de retrouver la trace et l'image d'un Saint Louis à l'humanité sensible, un Saint Louis de chair, à figure humaine. Le temps, en l'élevant au-dessus de nos natures, lui a peut-être rendu un mauvais service. Il m'a imposé d'aller puiser aux sources les plus authentiques. Là où repose le trésor des paroles vivantes, laissées par les premiers témoins. Ceux qui ont vraiment connu le roi Louis IX, qui l'ont approché, accompagné depuis l'enfance jusqu'au trépas. J'ai remonté le filet d'eau vive. Je n'ai rien inventé. Ni les événements, ni les personnages, ni même l'insolite. Il m'a fallu plonger dans l'époque, en étudier la vie quotidienne dans ses moindres détails, sentir battre les passions, pour faire revivre un Saint Louis de notre temps. »
Philippe de Villiers -
Les cloches sonneront-elles encore demain ?
Philippe de Villiers
- Albin Michel
- 12 October 2016
- 9782226421562
La France est meurtrie par le terrorisme. Mais il y a plus grave : elle est en train de perdre son identité. Si l'on ne fait rien, selon Philippe de Villiers, la voix du muezzin couvrira le son des cloches de nos terroirs.
L'auteur a eu accès à de nombreuses informations qu'il divulgue ici pour que les Français sachent et prennent conscience de l'extrême gravité de la situation.
à travers une mise en perspective vertigineuse, il rappelle comment, depuis les années 1980, notre pays a été lentement mais surement « islamisé ». Rien n'a été fait pour répondre aux vagues migratoires et au plan secret de l'Europe. Pire, ce projet d'un « Eurislam », révélé ici au grand jour, a été encouragé par les élites françaises.
Il faut renouer avec notre pays. Philippe de Villiers propose d'inventer un nouveau roman national qui soit un roman d'amour. Pour que chaque Français puisse partir dans la vie avec un bagage imaginaire qui porte ses rêves. -
Dans une évocation gorgée de couleurs fortes et de furieuses sonorités, Philippe de Villiers fait revivre Clovis et lui donne la parole. Le roi fondateur dévoile les épisodes les plus intimes, les plus secrets, de ses enfances, de ses amours, de ses chevauchées.Ce livre éclaire d'un jour nouveau le mystère de sa conversion, rétablit la vérité sur la date de son baptême et renouvelle ainsi la perspective symbolique de tout notre passé, de notre destin. Au fil d'un récit haletant, affleurent parfois des correspondances troublantes entre les tribulations du monde de Clovis et les commotions de notre temps : le va-et-vient des peuples en errance, les barbares, les invasions, les fiertés évanescentes, les civilisations qui s'affaissent... Une restitution spectaculaire, passionnante, inattendue, qui nous fait revivre comme jamais les temps mérovingiens et les origines de la France.
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« Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais » : la vie de François-Athanase Charette de la Contrie est à l’image de sa devise. Vendéen comme lui, Philippe de Villiers nourrit depuis longtemps un attachement tout particulier pour ce héros dont le destin fait écho à sa propre histoire familiale. Au point de s’identifier à lui et de ressusciter, sous forme de mémoires imaginaires, la vie aventureuse de cet homme aussi séduisant qu’intrépide, fidèle envers et contre tout à une cause : « la Patrie, la Foi, le Roi ».De sa brillante carrière dans la Marine royale, intégrée à l’âge de quatorze ans, à ce jour de 1793 où, à la tête d’une troupe de paysans du Marais breton, Charette part à l’assaut de la République, Philippe de Villiers ressuscite la flamboyante épopée d’un homme dont l’audace et le courage, la personnalité singulièrement libre et moderne, n’ont pas fini de fasciner.
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Le moment est venu de dire ce que j'ai vu
Philippe de Villiers
- Albin Michel
- 1 October 2015
- 9782226384065
« J'ai été un homme politique. Je ne le suis plus. Ma parole est libre. Je suis entré en politique par effraction. Et j'en suis sorti avec le dégoût.Le désastre ne peut plus être maquillé. Partout monte, chez les Français, le sentiment de dépossession. Nous sommes entrés dans le temps où l'imposture n'a plus ni ressource ni réserve. La classe politique va connaître le chaos. Il n'y a plus ni précaution à prendre ni personne à ménager. Il faut que les Français sachent. En conscience, j'ai jugé que le moment était venu de dire ce que j'ai vu. »Philippe de Villiers
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Sur une petite colline abandonnée des hommes, enfouie dans l'oubli, un jeune homme dépose son rêve d'enfance.Très vite, il se heurte à des difficultés qui paraissent insurmontables. Toutes les conditions sont réunies pour l'échec.Le 16 juin 1978, la colline va s'embraser. La Cinéscénie du Puy du Fou est née. Puis le Grand Parc de l'Histoire de France, la Cité Nocturne, etc...Le Puy du Fou va devenir un fleuron français, un haut-lieu de la mémoire vivante.Au fil d'un récit haletant, Philippe de Villiers révèle comment les obstacles furent avalés. Il raconte la genèse d'un succès foudroyant qui a porté, en quelques décennies, le Puy du Fou sur le toit du monde.Aujourd'hui, depuis Los Angeles, les oscars et récompenses pleuvent. De nombreux pays, de l'Espagne à la Chine, sollicitent le Puy du Fou pour mettre en valeur leur culture, leurs racines. « Chacun veut son Puy du Fou».C'est toute cette histoire improbable que raconte Philippe de Villiers. Et il s'interroge en conclusion : « Pourquoi donc le Puy du Fou connait-il une telle longévité ? Pour trois raisons : l'Idée ne s'est pas affadie, le feu créatif ne s'est pas éteint et nous avons gardé nos ferveurs ».Le Puy du Fou est une oeuvre humaine, fragile, qui n'est pas tout à fait dans la main des hommes.
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La France paralysée ? Roissy, Orly, Le Bourget, hors service, sous contrôle étranger ? Des attentats visant des cibles stratégiques, préparés chez nos voisins de palier, dans les sous-sols de nos caves ?
Ce scénario-catastrophe n'est pas une fiction. Car, malgré les discours et les plans de toutes sortes, nous sommes devenus vulnérables. C'est ce que montre, dans ce document-choc, Philippe de Villiers, en nous révélant des rapports confidentiels inédits et des notes d'alerte destinées aux plus hautes autorités de l'État.
On découvre ainsi à travers cette enquête, preuves à l'appui, que des islamistes sont parvenus à infiltrer les services de sécurité des grands aéroports et à prendre le contrôle de zones entières où transitent bagages et passagers.
Ce noyautage discret qui inquiète les services de renseignements - apparemment plus que la classe politique - prolonge le prosélytisme qui sévit depuis des années dans l'enseignement et dans de nombreuses cités, où prospèrent censure politico-religieuse et coutumes d'un autre âge (polygamie, excision...), faisant peu à peu reculer les valeurs de la République. L'islamisation avance sans bruit mais avec un indéniable esprit de conquête. -
Le Colisée de Rome, ses gladiateurs et ses courses de chars ; en plein bocage vendéen… La plus vaste scène du monde animée chaque soir par 1 200 comédiens bénévoles et 120 cavaliers, un époustouflant ballet aérien de 150 oiseaux, la plus grande écurie de spectacles d’Europe, des effets spéciaux dignes d’un Spielberg, des jeux d’eau et des pyrotechnies inédits et grandioses… Le Puy du fou fait revivre dans ses spectacles démesurés deux mille ans d’Histoire de France.
Philippe de Villiers révèle pour la première fois les secrets de ce site magique qui l’a envoûté un soir de l’été 1977 alors qu’il n’était que ruines. Il a réalisé son rêve d’en faire un lieu de spectacle à nul autre pareil : élu « plus beau parc thématique du monde » en 2012 par un jury international de professionnels, le Puy du Fou attire chaque année plus de 1,5 million de spectateurs émerveillés. -
L'aventure du Puy du Fou commence, un jour du printemps 1977, par la découverte d'un château en ruine perdu en plein coeur du bocage. Séduit par le site, Philippe de Villiers décide aussitôt de mettre sur pied son projet : c'est ici que l'histoire de la Vendée sera ressuscitée, mise en son et en lumière, rejouée par une armée d'acteurs amateurs. Depuis, vingt ans ont passé, et le Puy du Fou attire chaque année un nombre croissant de spectateurs.
Au fil de cet entretien, Philippe de Villiers retrace l'étonnante saga du Puy du Fou, les difficultés qu'il a du surmonter, toute la persuasion qu'il lui a fallu mettre en oeuvre pour convaincre les sceptiques, pour triompher des tracasseries et des accusations de chouannerie venues de tous bords. Des débuts du projet dont on lui prédisait l'échec à l'extraordinaire succès d'aujourd'hui, toute l'histoire de cette réussite de spectacle populaire nous est ici contée par un homme de panache et de volonté, qui a su trouver les moyens et mobiliser les énergies pour que s'accomplisse son rêve grandiose et magnifique. -
Avant le trait d'Amsterdam, la Constitution tait la loi suprme du peuple franais. Elle n'est l'est plus.
Les comptences dlgues devaient, d'aprs notre Constitution, tre prcises et limites. Elles ne le sont plus.
La souverainet nationale reposait sur la matrise du territoire. Ce principe n'existe plus.
La politique trangre devait tre dcide librement. Ce n'est plus le cas.
Le peuple franais tait seul matre de son destin. Il ne le sera plus.
La prochaine ratification la sauvette, sans rfrendum, du trait d'Amsterdam, scandalise Philippe de Villiers qui n'a pas l'habitude de mcher ses mots. Il dmonte ici le mensonge d'tat, la machination, que reprsente selon lui un trait qui abolit la souverainet nationale et lgitime l'activisme totalitaire de Bruxelles.
Une France assujettie au diktat eurocratique , soumise au super-tat bruxellois, voil ce qui nous attend. Oui, avec Amsterdam, tout immigration, scurit, vie quotidienne, etc. sera dcid ailleurs. Et ce dmnagement clandestin se prpare dans la plus grande tranquillit... Le pronostic du prsident du Mouvement pour la France est-il svre ?
Je le suis infiniment moins, rpond l'auteur, que ne le sera l'Histoire avec nos responsables politiques, que ne le sera le peuple franais quand il nous demandera : qu'avez-vous fait de la France ? -
Vous avez aimé les farines animales, vous adorerez l'euro
Philippe de Villiers
- Albin Michel
- 1 June 2016
- 9782226378811
Né le 5 décembre 1360 à Compiègne, condamné à mort le 10 décembre 1991 à Maastricht, le franc va être exécuté le 1er janvier 2002. Pour lui succéder, l'euro. Il suscite scepticisme et réticences.
Il en faudrait plus pour troubler ceux que Philippe de Villiers appelle " les Pol Pot de la monnaie unique ". Ils envoient commerçants et PME en première ligne, les condamnant non seulement aux 35 heures mais aussi aux doubles caisses et aux surcharges, pour des motifs simplement idéologiques. Après l'Europe des "villes-États ", puis des "États- nations ", voici venu le temps de la " Banque-État ".
Avec le brio du pamphlétaire et la documentation du responsable politique, Philippe de Villiers dévoile les écueils vers lesquels nous voguons et dénonce la propagande répandue. -
La societe de connivence ou comment faire avaler des serpents a sonnettes
Villiers Philippe
- Albin Michel
- 1 January 2016
- 9782226331755
Pour la majorité issue des élections de mars 1993, l'heure de vérité vient de sonner. L'état de grâce dont bénéficiait le gouvernement d'Edouard Balladur s'est achevé et le Premier ministre n'est plus épargné par ses pairs de la droite. Philippe de Villiers marque avec éclat sa différence et dresse un premier bilan, sévère, de l'expérience en cours.
« Faut-il que la France meure pour que les Français vivent ? » nous demande le député de Vendée. De traités de Maastricht en accords du GATT, il s'inquiète de voir « l'ordre expert » supplanter « l'ordre démocratique ».
Une société de connivence s'est mise en place qui regroupe les hauts fonctionnaires et les stratèges des milieux économiques dans le culte de la nouvelle idéologie dominante : le libre-échangisme mondial.
A leur corps défendant, les entreprises, grandes ou petites, se trouvent prises dans un engrenage effroyable :délocaliser pour survivre et donc créer du chômage en France. Dans la société de connivence, le peuple perd à la fois le droit au travail et le droit au contrôle du monde politique.
Après les brillants succès de La Chienne qui miaule et de sa Lettre ouverte aux coupeurs de têtes et aux menteurs du bicentenaire, Philippe de Villiers se dresse avec énergie contre cette abdication du politique. -
Lettre ouverte aux coupeurs de tetes et aux menteurs du bicentenaire
Villiers Philippe
- Albin Michel
- 1 September 2018
- 9782226378675
Il est décidément très difficile aux célébrateurs du Bicentenaire d'échapper au syndrome « Potemkine », du nom de ce Premier Ministre de l'impératrice Catherine II de Russie, qui avait imaginé de montrer à sa souveraine la Crimée et la Tauride en lui faisant admirer les maisons des villages et des bourgs qui n'étaient que des façades de bois décorées en trompe-l'oeil.
Ils nous cachent, dans la Révolution, tout ce qui ne rutile pas, multipliant les jeux des miroirs et les effets d'optique. La technique de présentation du Bicentenaire est une technique d'Ancien Régime.
Le Bicentenaire aurait du être l'occasion d'un acte de fierté, au sens de la commémoration de la Déclaraiton des droits de l'homme, mais aussi d'un acte de vérité, au sens d'une remémoration de la Terreur, qui démonte les mécanismes de cette machine infernale, qui deviendra la matrice des grands massacres du XXe siècle. Ce n'était pourtant pas des « points de détail ».
Le premier des droits de l'homme, c'est le droit à la vérité... Y compris sur la Terreur et le « populicide » de la Vendée. Philippe de Villiers, 40 ans, président du Conseil général de la Vendée, est le député le mieux élu des provinces françaises après avoir été secrétaire d'État à la Culture dans le gouvernement Chirac. Il a créé en 1978 le célèbre spectacle du Puy-du-Fou, en 1982 Radio-Alouette F.M., et en 1984 l'école « Sciences-Com ». -
Un vieil instituteur du Pays Bigouden me confiait récemment : « Ce qui se passe à l?Est me rappelle une parabole de mon enfance.
La ?chienne du Monde?, c?était, jadis, en Bretagne, la Misère. Elle s?abattait sur vous et ne vous lâchait plus jusqu?à la mort.
Et puis, voilà qu?un beau soir, alors qu?elle paraissait devoir nous quitter, on entendit un cri bizarre, le miaulement sinistre d?une bête à tête de chien. La ?chienne du Monde? qu?on croyait morte avait mué : elle renaissait sous la forme hideuse d?un croisement raté mais viable, la ?chienne qui miaule?.
Vos enfants vivront ce que j?ai vécu dans mon enfance. Vous aurez des hybrides génétiques : le Marché plus le Plan? ou encore le ?socialisme de marché?, l?alchimie des contraires, la ?chienne qui miaule?, le zébre idéologique.
Après le socialisme réel, vous aurez la social-démocratie ; après l?internationalisme prolétarien, le mondialisme ; après le matérialisme historique, le matérialisme sous vide.
Bien sur, il y a loin de la ?chienne du Monde? à la ?chienne miauleuse? : la social-démocratie n?est pas mortelle. Simplement elle vous laisse des plaies galeuses. En faisant mine de s?attaquer à tout le monde, elle multiplie ce qu?on appelle les ?petites misères? et dépenaille les plus pauvres? » Tard venu au pouvoir, François Mitterrand s?est fait de la France une certaine idée de la Suède, là est son drame. Au moment où l?histoire se remet en mouvement et qu?il faudrait quitter les charentaises, il propose aux Français une politique de géronte blasé.
Et pourtant, chacun sent bien que l?avenir est ailleurs, que nous avons d?abord besoin de morale, de racines et d?identité, de valeurs, de vérité et d?espérance.
Il ne faudrait pas que, demain, aux limites de l?infini, l?homme devienne un produit fini. Philippe de Villiers -
Dictionnaire du politiquement correct a la francaise
Villiers Philippe
- Albin Michel
- 1 February 2017
- 9782226378750
Les mots ne suivent plus, en France, une carrière normale. Ils sont gonflés aux anabolisants de la société médiatique et prennent du volume à mesure qu?ils perdent leur sens. Les charlatans de la sémiotique vendent du bonheur et de la compassion à une société en émoi, orpheline de dialectique et de vérité.
Contre cette dépression nimbée d?optimisme planétaire qui nous vient des États-Unis, le pays multiculturel du « politically correct », Philippe de Villiers s?insurge. Il ridiculise le code, le lexique et le système de signes imposé par les intellectuels progressistes qui, en décidant des mots à prononcer et des expressions à bannir, imposent un nouvel ordre politique et médiatique. Selon que vous êtes correct ou incorrect, vous serez promu, choyé, reconnu ou vous serez jeté aux chiens, désigné à la vindicte.
Face à cette police des idées, avec la liberté de ton et le talent d?observateur dont il avait fait montre dans La Chienne qui miaule et La Société de connivence, Philippe de Villiers répertorie les termes détournés (crise, famille?), les formules imposées par les adeptes de la pensée unique (couple franco-allemand?) et les mots interdits (valeurs, immigration?).
Contre les nouveaux conformistes, un exercice aussi brillant que salutaire, pour décrypter notre vocabulaire piégé. -
Trois millions de chômeurs, est-ce une fatalité ? On finirait par le croire, à écouter beaucoup d'hommes politiques : « C'est la rançon de la productivité », dit l'un ; « Nous ne pouvons faire mieux que du traitement social », dit l'autre.
Philippe de Villiers ne partage pas la résignation qui s'est emparée des responsables du pays comme de ses administrateurs. Encore faudrait-il, pour mettre un terme à l'augmentation continue du chômage, en finir avec un certain nombre d'idées fausses qui ont contaminé jusqu'aux libéraux.
Dans la foulée de la campagne qui s'est engagée, au nom de « Combat pour les valeurs », contre le traité de Maastricht, Philippe de Villiers dénonce avec la même force de conviction l'aveuglement des technocrates de Bruxelles et du GATT, et le triomphe de l'idéologie du libre-échangisme simpliste qui, en abandonnant la « préférence communautaire », condamne nos industries à se « délocaliser » dans les pays à la main-d'oeuvre bon marché. Un livre essentiel, à lire avant qu'il ne soit trop tard. -
« Européen, ami de l'Amérique, j'observe que nous sommes aujourd'hui à front renversé : les Européens des nations ne veulent pas d'une Europe soumise, au moment où les Européens labellisés s'activent pour faire de l'Europe un comptoir franchisé de l'Amérique.
Cette Europe à la dérive n'est plus qu'un concours de lâcheté. Elle est de moins en moins européenne, de plus en plus atlantique et bientôt elle sera eurasiatique.
À vingt-cinq pays, l'Union européenne n'a plus aucune chance face à l'Amérique d'installer une puissance de contrepoids ; elle sera, demain plus qu'hier encore, une puissance additionnelle, supplétive, la 51ème étoile du drapeau américain. »
P. de V.