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boris vian
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« Le plus poignant des romans d'amour contemporain.» Raymond Queneau« L'écume des jours, c'est Roméo et Juliette sans confl its familiaux, Tristan et Yseut qui n'ont pas besoin de philtre, Paul et Virginie à Saint-Germain-des-Prés, une Dame dont les Camélias sont remplacés par un Nénuphar, Héloïse sans castrer Abélard. Voilà un tournant : le moment, après la guerre, où le roman français se dit que ce qui importe, c'est de faire bouger le lecteur sur un air de be-bop. Boris Vian en a marre des académismes, il veut faire rire et swinguer la langue, il veut obtenir les larmes, il veut aussi faire rêver et proposer davantage qu'une romance: une fenêtre ouverte sur le merveilleux.» Frédéric Beigbeder
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Si vous le lisez avec l'espoir de trouver dans J'irai cracher sur vos tombes quelque chose capable de mettre vos sens en feu, vous allez drôlement être déçu.
Si vous le lisez pour y retrouver la petite musique de Vian, vous l'y trouverez. Il n'y a pas beaucoup d'écrits de Vian dont il ne suffise de lire trois lignes anonymes pour dire tout de suite : «Tiens, c'est du Vian !» Ils ne sont pas nombreux, les écrivains dont on puisse en dire autant. Ce sont généralement ces écrivains-là qui ont les lecteurs les plus fidèles, les plus passionnés, parce que, en les lisant, on les entend parler. Lire Vian, lire Léautaud, lire la correspondance de Flaubert, c'est vraiment être avec eux. Ils ne truquent pas, ils ne se déguisent pas. Ils sont tout entiers dans ce qu'ils écrivent. Ça ne se pardonne pas, ça. Vian a été condamné. Flaubert a été condamné... Delfeil de Ton. -
28 août
Le sentier longeait la falaise. Il était bordé de calamines en fleur et de brouillouses un peu passées dont les pétales noircis jonchaient le sol. Des insectes pointus avaient creusé le sol de mille petits trous ; sous les pieds, c'était comme de l'éponge morte de froid.
Jacquemort avançait sans se presser et regardait les calamines dont le coeur rouge sombre battait au soleil. A chaque pulsation, un nuage de pollen s'élevait, puis retombait sur les feuilles agitées d'un lent tremblement. Distraites, des abeilles vaquaient. -
Le cycle du  : Intégrale Tomes 1 à 3
A. E. Van Vogt
- J'ai Lu
- Imaginaire
- 15 January 2025
- 9782290422403
XXVI siècle.
En prenant part aux jeux de la machine dans l'espoir de gagner une place sous le soleil de Vénus, Gilbert Gosseyn découvre qu'il n'est pas l'homme qu'il a toujours cru être. Ses souvenirs ne sont pas les siens, son épouse, qu'il croyait décédée, ne l'est pas, et ce n'est d'ailleurs pas sa femme ! Gilbert comprend vite qu'il n'est qu'un pion au sein d'un vaste complot. -
Paru pour la première fois en 1948, Et on tuera tous les affreux est le troisième ouvrage de Boris Vian écrit sous le pseudonyme de Vernon Sullivan.Sexe, sang, anticipation scientifique, suspense, espionnage et froide rigolade y sont superbement dosés.
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Ça m'apprendra à dire des conneries
Boris Vian
- Fayard/Mille et une nuits
- La Petite Collection
- 17 June 2020
- 9782755507898
Mille et une facéties, pensées et humeurs de Boris Vian, mille et une merveilleuses conneries que l'écrivain, chanteur, inventeur, musicien, poète, trompettiste a dites ou écrites, directement ou au travers de ses personnages.
Une lecture jubilatoire et inépuisable, où s'expriment aussi bien la fantaisie que la sagacité de Boris Vian. -
« Il y aura beaucoup de gens, en Exopotamie, parce que c'est le désert. Les gens aiment à se rassembler dans le désert, car il y a de la place. Ils essayent d'y refaire les choses qu'ils faisaient partout ailleurs, et qui, là, leur paraissent neuves ; car le désert constitue un décor sur lequel tout ressort bien, surtout si le soleil est doué, par hypothèse, de propriétés spéciales. »Comme tous les matins, Amadis Dudu souhaite prendre l'autobus 975 afin de se rendre à son bureau. Mais d'étranges péripéties l'entraîneront malgré lui jusqu'en Exopotamie. Il décide alors de s'installer dans cette région désertique et entreprend la construction d'un chemin de fer. Ce projet insensé attire une foule de personnages et de situations burlesques qui vont s'entrecroiser. Boris Vian composa L'automne à Pékin en 1946, année fructueuse durant laquelle il écrivit également L'Écume des jours et J'irai cracher sur vos tombes. Dans ce roman aux cheminements multiples, Boris Vian déploie toute sa verve créatrice en explorant plus que jamais les limites du langage et l'absurdité des réalisations humaines.
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Romancier, poète, parolier, dramaturge, Boris Vian fut aussi chroniqueur de presse. C'est cette dernière facette, sans doute la plus méconnue, d'un écrivain prodigieusement fécond et divers, que l'on découvrira dans ce recueil.
Automobile, beaux - arts, littérature, variétés, mais aussi économie, sciences ou loisirs : les passions d'un homme curieux de tout sont représentées dans ces pages. Comme toujours, Vian joue ici avec brio des diverses dimensions du rire, de la satire, de la fantaisie, de l'absurde. Mais qu'on ne s'y trompe pas : si l'auteur de L 'Ecume des jours n'accepta jamais de se draper dans le sérieux, cette apparente légèreté va de pair avec un regard aigu et lucide sur son temps.Et ses jugements esthétiques - en particulier sur la chanson, où il salue à leurs débuts Brassens, Brel, Devos ou Gainsbourg-témoignent d'un goût aussi perspicace que rebelle à tous les conformistes. -
Les onze récits de ce recueil ont été rassemblés par Boris Vian lui-même; leurs nombreuses rééditions ont apporté la preuve de l'importance de cet ouvrage dans son oeuvre.
Onze récits où se conjuguent l'émotion, la verve, la fantaisie, la tendresse et la saine insolence de Vian. -
Les morts ont tous la même peau
Boris Vian
- Le Livre de Poche
- Littérature
- 10 September 1997
- 9782253168997
Videur dans une boîte de nuit, Dan ne vit que pour Sheila, sa femme, et l'enfant qu'il a eu avec elle. Un enfant que la société acceptera parce que sa peau est blanche. Dan, lui, est noir, d'origine, sinon de peau... Toute son existence repose sur ce secret. L'irruption de Richard, son frère, qui menace de tout révéler, en même temps que sa subite attirance pour une prostituée noire, vont bouleverser la vie de Dan. Lui qui, non sans remords, a tant voulu être un Blanc, ne serait-il au fond de lui-même qu'un «nègre» ? Boris Vian - alias Vernon Sullivan - nous donne ici, à la manière de Chandler ou Hadley Chase, bien plus qu'une dénonciation du racisme. Ces pages qui firent scandale, où la violence et l'érotisme se donnent libre cours, nous conduisent au plus profond de la folie d'un être qui ne se reconnaît plus, que la pression sociale a irrémédiablement dissocié de lui-même. Une sorte d'explosion intérieure qui le poussera au meurtre...
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« Sexuellement, c'est-à-dire avec mon âme », écrivit un jour Boris Vian.
Si le bouleversant roman d'amour de L'Écume des jours peut apparaître comme l'expression d'une forme de romantisme moderne, l'auteur des Cantilènes en gelée sait aussi explorer sans tartufferie les dimensions charnelles de l'amour, les ombres et les lumières du fantasme et les éclats de rire de la plaisanterie gauloise. On le découvrira ici avec ces petits chefs-d'oeuvre intitulés « La Messe en Jean Mineur », « La Marche du concombre » ou « Liberté »... C'est bien ce dernier mot, d'ailleurs, qui résume le mieux l'état d'esprit et l'idéal que traduit ici l'écrivain. La liberté d'aimer sous toutes ses formes, et de le dire face à la « conspiration des nuisibles », justement dénoncée dans « Utilité d'une littérature érotique ». -
L'écume des jours
Boris Vian, Gaëtan Brizzi
- Éditions Futuropolis
- Albums Futuropolis
- 4 March 2020
- 9782754829113
On ne présente plus le célèbre roman de Boris Vian. Le récit amoureux de Colin, Chloé, Chick et Alice est devenu un classique incontournable de la littérature, étudié à lécole.
À loccasion du centenaire de la naissance de Boris Vian, après avoir adapté en bande dessinée LAutomne à Pékin, Paul et Gaëtan Brizzi se lancent dans une version somptueusement illustrée du roman. Connus pour leurs travaux de réalisateurs dans lanimation, ils mettent à nouveau ici leur fantaisie au service de luvre de Vian. -
Elles se rendent pas compte paraît pour la première fois en 1950 sous le nom de Vernon Sullivan, traduit par Boris Vian. " D'abord, ça devrait être interdit, les bals costumés. Ça assomme tout le monde et au vingtième siècle, on n'est tout de même plus d'âge à s'habiller en bandit sicilien ou en grand air de la Tosca juste pour avoir le droit d'entrer chez des gens dont on fréquente la fille... ".
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Sans doute composés entre 1939 et 1943, ces poèmes sont la première oeuvre de Boris Vian. Il devait beaucoup plus tard les reprendre, corrigeant ou supprimant certaines pièces, preuve de l'importance qu'il leur attachait.
Impertinence, humour, sens de la dérision et du pastiche: tels sont les traits les plus caractéristiques de ce poète de vingt ans. Et aussi un goût immodéré pour la rime, le calembour, le jeu verbal et prosodique - où se profile déjà le futur auteur de chansons.
Par-delà les tristesses et les émotions intérieures d'un jeune écrivain décidément surdoué, on perçoit en bien des pages les hardiesses et les amusements d'un Boris Vian résolument décidé à vivre. -
Cantilènes en gelée : je voudrais pas crever
Boris Vian
- Le Livre de Poche
- Littérature
- 8 October 1997
- 9782253168478
Poète, Boris Vian le fut dans bien des domaines, roman, chanson, théâtre... Mais s'il aima par-dessus tout confronter son génie propre à toutes les formes d'expression - comme le révèlent les Cent Sonnets composés durant ses études -, il livra parfois le plus intime de lui-même dans des poèmes parfaitement libres, écrits au hasard des jours pour son propre plaisir. En témoignent ces deux recueils publiés de son vivant - Cantilènes en gelée et Barnum's Digest - auxquels s'ajoutent une vingtaine de textes dits « posthumes ». L'humour noir, la provocation, la tendresse, la fantaisie verbale, la mélancolie aussi : l'auteur de L'Écume des jours se retrouve ici tel qu'en lui-même, drôle et secrètement tragique, formidablement attachant, éternellement jeune.
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C'est en 1950 que Boris Vian conçut le projet du Traité de civisme, qu'il ne cessa de modifier et d'enrichir jusqu'à sa mort, faisant dire à son biographe que ce texte peut être considéré comme son « testament intellectuel » (Noël Arnaud, Les Vies parallèles de Boris Vian). Sous des formes hétéroclites (aphorismes, notes, chroniques, etc.), l'auteur traite des grands thèmes sociaux et politiques de son siècle et propose des solutions pour un avenir meilleur. Le progrès technique, l'aliénation du travail, l'accroissement des inégalités, la guerre et les totalitarismes... Cette oeuvre, qui n'a rien perdu de son actualité, permet de découvrir sous un jour nouveau l'un des plus grands artistes du XXe siècle.
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Trouble dans les andains
Boris Vian, Nicole Bertolt, Penograf
- Fayard
- Fayard Graffik
- 17 January 2024
- 9782213728957
Lors d'une soirée chez la baronne de Pyssenlied, accompagné de son ami Sérafinio Alvaraide, le comte Adelphin de Beaumashin se fait dérober son barbarin fourchu. Avec l'aide du Major Loostalo, ils se lancent dans une enquête cocasse à la recherche du mystérieux objet.
Conçu durant l'hiver 1942-1943, publié à titre posthume en 1966, Trouble dans les andains est le premier roman de Boris Vian.
Penograf a su retranscrire cette aventure rocambolesque et cet univers déjanté par ses illustrations colorées et percutantes.
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" Il était amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n'entendait, ne s'exprimait qu'en jazz... " Ainsi Henri Salvador évoque-t-il son ami Boris Vian.
Dans ce recueil de plus de trois cents chroniques, parues dans Jazz Hot, Combat, Art, Jazz News, l'auteur de L'Écume des jours témoigne de cette passion née dès l'adolescence, alors qu'il allait applaudir Benny Carter ou Duke Ellington, et qui le conduisit à devenir lui-même trompettiste dans l'orchestre de Claude Abadie, puis au " Tabou ".
Il explore au fil de ces écrits tous les univers du jazz, inconditionnel des grands classiques en même temps qu'attentif à l'innovation, pourfendant plagiaires ou suiveurs avec une verve inégalable. Aucune dimension ne lui est étrangère : technique musicale, coulisses du spectacle et de la production, signification d'une musique qui, après avoir été l'expression majeure des Noirs américains, porte les aspirations et la révolte de la jeunesse française.
En même temps qu'une clef essentielle de sa personnalité et de son oeuvre, ce livre demeure une somme irremplaçable pour tous les amateurs de jazz. -
Elles se rendent pas compte
Patricio Angel Delpeche
- Glénat BD
- Vernon Sullivan / Boris Vian
- 16 September 2020
- 9782331049521
Quand Boris Vian signe un polar.Ce soir, Francis Deacon enfile des collants, rehausse ses cils de mascara et souligne ses yeux de noir. Mais n'allez pas croire qu'il soit de ce bord-là ! C'est que ce soir, Gaya, son amie - et parfois amante - organise une soirée costumée. L'occasion pour elle de s'envoyer au 7e ciel à coup de piquouzes certainement pas fournies sur ordonnance. Francis, il déteste les drogués. Alors quand il découvre que sa Gaya elle a pris l'autoroute de la défonce sur conseil du futur mari (un futur mari ? Francis était pas au courant !) et que ce mari, il a pas l'air particulièrement tourné vers les charmes délicats de la féminité, il se dit qu'il y a quelque chose de l'espèce de l'anguille sous roche. Quand il sort pas pour un bal costumé, il fait pas dans la dentelle Francis. Alors en démêlant le noeud de l'affaire Gaya, il se retrouve vite avec la gueule fracassée et 10 000 dollars de dettes. Heureusement, il a son frangin Ritchie, médecin de métier. Avec lui, s'il s'agit de trancher entre le vice et le serment d'Hippocrate, il réfléchit pas. Surtout si c'est pour sortir le petit frère de la panade.
Déluge d'humour, d'hyper violence et de sexe dans Elles se rendent pas compte, troisième roman de la série des romans noirs de Boris Vian signés sous le pseudonyme Vernon Sullivan. -
En 1948, Boris Vian est choisi par une radio de New York pour présenter aux auditeurs " amerlauds " le jazz tel qu'il se crée à Paris depuis les années trente. Pendant près de deux ans, il prend plaisir à enchaîner les disques des jazzmen français ou des groupes franco-américains enregistrés en France. Il le fait dans un anglais bien à lui, avec son élan habituel _ variations comiques et stylistiques, jeux de mots bilingues, fantaisie et humour _, mais aussi avec le sérieux du connaisseur pédagogue.Voici donc en édition bilingue un (ultime?) complément indispensable aux quelque 1 200 pages de chroniques de jazz déjà publiées du vice-président du Hot Club de Paris. Il se révèle toujours, même dans des textes d'une forme convenue, un instructeur aimable et un écrivain brillamment original que chaque titre de jazz peut faire glisser vers les régions fécondes de l'imaginaire.Gilbert Pestureau
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Les morts ont tous la meme peau de boris vian
German Erramouspe, Mauro Vargas
- Glénat BD
- Vernon Sullivan / Boris Vian
- 11 March 2020
- 9782331046575
« Entre donner les coups et les recevoir, je préférais les donner. »Dan est un sang-mêlé. Autrement dit, un noir à peau blanche. Videur dans un bar de nuit à New York, il ne vit que pour Sheila, sa femme, et l'enfant qu'il a eu avec elle. Un enfant que la société acceptera parce que sa peau est blanche, contrairement à Dan, pour qui le secret de ses origines plane tel une épée de Damoclès. Alors qu'il s'entiche subitement d'une prostituée noire et que l'irruption de son frère, Richard, menace de tout révéler, Dan voit sa vie basculer. Lui qui, non sans remords, a tant voulu être un Blanc, ne serait-il au fond de lui-même qu'un « nègre » ?À la manière de Chandler ou Hadley Chase, Boris Vian - alias Vernon Sullivan - donne libre cours à la violence et l'érotisme pour explorer la folie intérieure d'un homme qui ne se reconnaît plus.
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Cette nuit-là, Denis, le paisible loup du bois de Fausses-Reposes, s'aperçoit avec stupeur qu'il s'est transformé en homme. C'est une nuit de pleine lune, et il va vivre dans Paris des aventures singulières... Tout l'art de Boris Vian consiste à retourner ou subvertir toutes les conventions - celles de la société, celles de la littérature -, que ce soit par l'humour, la farce ou le fantastique. Ainsi, il suffit qu'un mystérieux brouillard s'abatte sur une ville (L'amour est aveugle) et ses habitants, dans l'impossibilité de se voir ou de se reconnaître, vont libérer leurs instincts sexuels au point de ne plus vouloir jamais recouvrer la vue... Mais le jeu avec l'imaginaire et le réel peut aussi déboucher sur des pulsions morbides ou homicides, ainsi qu'on le voit dans Les Chiens, le Désir et la Mort, signé «Vernon Sullivan». De la gouaille à l'absurde, de la féerie à la noirceur, le romancier de L'Ecume des jours joue ici sur toute la gamme, en treize récits brefs dédiés à l'imprévisible.
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LAutomne à Pékin ou l histoire dun homme qui, ayant manqué son autobus, construit une ligne de chemin de fer, en plein désert. Les frères Brizzi adaptent LAutomne à Pékin, roman de Vian réputé difficile. Leur dessin révèle labsurde et le comique de lécriture de Vian, et son talent pour écrire des histoires damour.
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Mademoiselle Bonsoir ; la reine des garces
Boris Vian
- Le Livre de Poche
- Littérature
- 28 October 2009
- 9782253175292
La vie s'égrène mollement dans la rédaction du magazine Coeur Maître, jusqu'au jour où le responsable du courrier du coeur lance une idée géniale : trouver une demoiselle capable d'aller endormir les célibataires... la belle est trouvée, et très vite toute l'équipe tombe sous son charme ainsi que tous ceux qu'elle approche, dont un tueur en série insomniaque... Ballets, choeurs, chorégraphies de clochards, danse des robots... Mademoiselle Bonsoir est une comédie à la fois tendre et virevoltante, digne de Broadway ! overlord Mauser mène une vie de star jusqu'au mariage de sa fille qui, pour une raison fort cocasse et inattendue, décide de se venger de son père en devenant... la Reine des garces ! Qu'elles soient « reine de coeur » ou « dame de pique », les héroïnes de ces deux comédies musicales inédites font revivre le génie fantaisiste, satirique et visionnaire de Boris vian.