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guy gavriel kay
-
La tapisserie de Fionavar Tome 1 : L'arbre de l'été
Guy Gavriel Kay
- L'Atalante
- La Tapisserie de Fionavar
- 20 March 2025
- 9782367936536
La Terre n'est qu'un écho d'un cri lointain, bien plus vif, puissant, étincelant : le monde de Fionavar.
C'est la bouleversante découverte que vont faire cinq étudiants invoqués par le mage Loren Mantel dans le Grand Royaume du Brennin. Tous les indices de la fin d'un Âge sont là : la disparition de divinités, des armées qui s'amassent et, dans l'ombre, le retour d'un dieu déchu au-devant de la scène.
Hommage au Seigneur des anneaux, « La Tapisserie de Fionavar » est la première série de romans du maître ès fantasy, Guy Gavriel Kay, entamée lors de son travail sur l'édition posthume du Silmarillion de J.R.R. Tolkien, avec lequel il partage une certaine mélancolie face à ce qui se perd et une tendresse bienveillante envers ceux qui espèrent.
« Un roman passionnant, d'excellente qualité, probablement le meilleur de ceux qui se réclament à juste titre de Tolkien. » - Science-Fiction Magazine -
« En ces temps et ces lieux où voyagent les personnages de notre récit, il y avait un monde entre vivre sur la côte ou dans les terres. »
C'est l'histoire d'un duo de gens de mer, Rafel et Lenia, associés au gré de divers transports de marchandises et de contrats parfois douteux. Tous deux sont habités par un chagrin immense qui leur a fait vivre l'exil.
Quand ils décident, à l'appel du patriarche religieux de l'Occident, de participer à la folle équipée qui a pour but de venger la prise de Sarance par le grand calife du Levant, se mêlent fierté de pouvoir faire construire un splendide trois-mâts et vengeances intimes...
Au XVe siècle, coeur de la Renaissance italienne, sur la mer du Milieu qui divise autant qu'elle relie, les décisions prises sur terre font qu'on la longe ou la traverse, la sillonne dans toutes les directions.
Et comme toujours dans les romans de Guy Gavriel Kay, qu'importe le rang, l'intensité des passions et les effets dominos engendrés par les bifurcations de la vie sont les mêmes.
Traduit de l'anglais par Mikael Cabon. -
« J'ai connu jadis une femme qui avait l'éclat du diamant et deux hommes que je n'oublierai jamais. J'ai joué un rôle dans une histoire en des temps féroces, sauvages, venteux. C'est à moi. Pour toujours. Je suis ici et ces souvenirs seront miens aussi longtemps qu'il me sera accordé de vivre. »
Séresse, Acorsi, Macera, Avègne, Remigio, Firente... Dans un monde inspiré de l'Italie de la Renaissance et des condottieres, soit à la frontière des XIVe et XVe siècles, Guy Gavriel Kay parsème une intrigue romanesque foisonnante de réflexions émouvantes sur la nature de la mémoire, les choix opérés au fil de l'existence et le rôle joué par la roue de la fortune.
« Un univers foisonnant inspiré de l'Italie de la Renaissance avec un soupçon de fantasy et une écriture travaillée qui créent un roman envoûtant dans la même veine que ceux de Jean-Philippe Jaworski. » - Librairie Un moment chez Mémé
« Ambition, pouvoir et liberté jaillissent à chaque page. Guy Gavriel Kay signe une oeuvre flamboyante, disons-le : magistrale ! » - Librairie L'Atalante -
Une épopée dans le sud d'une Angleterre inspirée par les sagas nordiques, les chroniques anglo-saxonnes et les contes gallois.
Dans les contrées septentrionales du monde, au climat rude, au sol peu fertile, les Erlings du Vinmark luttent au quotidien pour leur survie.
Aussi, depuis des générations, s'embarquent-ils sur leurs bateaux-dragons et bravent-ils la mer pour lancer des raids sanglants sur les terres des Anglcyns et de leurs ennemis de toujours, les Cyngaëls.
Mais le changement arrive peu à peu dans les terres du Nord.
Thorkell le Rouge, Alun ab Owyn et le roi Ældred en sont à la fois témoins, acteurs et victimes, alors que la mort prélève son dû, que les alliances se font et se défont, que les vieilles traditions et croyances disparaissent face à l'arrivée de la religion au dieu unique qui fait vaciller le royaume féerique.
Des chefs de ces trois nations humaines que tout oppose, seul Ældred a la conscience aiguë qu'aucune ne peut survivre sans les deux autres, tant leurs destins sont inextricablement liés. -
On donne à un homme un coursier de Sardie pour le récompenser immensément. On lui en donne quatre ou cinq pour l'élever au-dessus de ses pairs, lui faire tutoyer l'élite - et lui valoir la jalousie, parfois mortelle, de ceux qui montent les chevaux des steppes.
L'impératrice consort du Tagur venait de lui accorder deux cent cinquante chevaux célestes. À lui, Shen Tai, fils cadet du général Shen Gao, en reconnaissance de son courage, de sa dévotion et de l'honneur rendu aux morts de la bataille du Kuala Nor.
« On me tuera pour s'en emparer. On me réduira en charpie pour mettre la main sur ces chevaux avant même que j'aie regagné la capitale. »
Deux cent cinquante sardiens, introduits par son entremise dans un empire qui éprouvait pour ces montures un désir insatiable, qui gravait à leur image des blocs de jade et d'ivoire, qui associait les mots de ses poètes au tonnerre de leurs sabots mythiques.
Le monde vous offre parfois du poison dans une coupe incrustée de pierreries, ou alors des présents stupéfiants. Il n'est pas toujours facile de distinguer l'un de l'autre.
Il est une forme de fantasy dont le Canadien Guy Gavriel Kay est le maître incontesté. Entre la Provence médiévale de La Chanson d'Arbonne, l'Espagne de la Reconquista des Lions d'AI-Rassan, l'empire byzantin de La Mosaïque de Sarance, il revisite l'histoire sous une coloration fantastique et l'imprègne de son lyrisme mélancolique si particulier.
Les Chevaux célestes s'inspire de la Chine du VIle siècle sous la dynastie des Tang. -
La mosaïque sarantine Tome 1 ; voile vers Sarance
Guy Gavriel Kay
- L'Atalante
- La Mosaïque sarantine
- 26 March 2020
- 9782367935294
Dire de quelqu'un qu'« il fait voile vers Sarance », c'est dire que sa vie s'apprête à basculer ; s'envoler vers la lumière et la fortune ou s'abîmer dans un précipice sans retour.
Le triomphe ou le malheur.
Et c'est vers Sarance, joyau du monde et coeur d'un empire, que ses pas mènent le mosaïste Crispin de Varène.
L'empereur Valerius a entrepris d'y élever le sanctuaire de la Sainte-Sagesse, le plus somptueux que le monde ait jamais connu, à la gloire de son règne autant que du dieu unique, et il lui faut l'artiste qui enrichira de mosaïques sa nef et sa gigantesque coupole.
Le défi serait immense à lui seul, mais le monde n'est pas si simple où Crispin s'aventure : les schismes guettent, le paganisme rampe, la guerre menace, le surnaturel jaillit au détour d'un chemin.
Et, comme toujours, le mouvement de l'histoire emporte le destin des « enfants de la terre et du ciel ».
C'est cela que Guy Gavriel Kay n'a de cesse d'explorer avec une douloureuse bienveillance.
Cette fois, c'est de la Constantinople de Justinien au VIe siècle de notre ère, capitale de l'Empire romain d'Orient, qu'il s'est inspiré pour composer le diptyque de « La mosaïque sarantine », dont Voile vers Sarance est le premier volet.
L'épopée byzantine de Guy Gavriel Kay dans une nouvelle traduction de Mikael Cabon. -
Au pays d'Arbonne le soleil mûrit les vignes et fait éclore les chansons des troubadours qui célèbrent l'amour courtois. Au Gorhaut, terre austère du Nord où l'on adore le dieu mâle Corannos, règne le brutal Adémar, sous l'influence du primat fanatique du clergé. « Jusqu'à ce que meure le soleil et que tombent les lunes, l'Arbonne et le Gorhaut ne vivront pas en harmonie côte à côte. » Gouvernée par une femme, minée par la rivalité sanglante de ses deux seigneurs les plus puissants, l'Arbonne n'est-elle pas une proie tentante pour une guerre de conquête et de croisade du Gorhaut, d'autant - ignominie ! - qu'on y vénère une déesse ? Mais c'est en Arbonne que Blaise du Gorhaut s'est engagé comme mercenaire au service d'un baronnet, après avoir fui son pays et son père. Il découvre en chemin les guerres et les intrigues d'un monde où les marionnettistes politiques parlent de l'avenir au présent, mais où l'amour, toujours, pèse plus fort que tout autre sentiment. Qui est-il vraiment, ce Blaise du Nord, et quel destin l'attend qu'il ignore lui-même ? Seule le sait peut-être Béatrice, la grande prêtresse aveugle de Rian au hibou sur l'épaule.
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La mosaïque sarantine Tome 2 ; le seigneur des empereurs
Guy Gavriel Kay
- L'Atalante
- La Mosaïque sarantine
- 15 April 2021
- 9782367935485
L'artiste ne peut-il donc se soustraire aux exigences de la politique et aux manoeuvres des puissants ? Crispin se le demande, venu de Varène à la requête de l'empereur Valerius pour orner de mosaïques son grandiose sanctuaire de la Sainte-Sagesse à la coupole vertigineuse. Pris dans les filets du couple impérial de Sarance, il est aussi soumis aux réquisitions de sa souveraine batiare, la jeune reine Gisèle en exil. C'est que de grands bouleversements sont en gésine et que nul n'échappe à la marche inexorable de l'Histoire, fût-il cet honnête mosaïste que seul anime le goût de la beauté.
Fût-il de même cet honnête médecin du Levant, Rustem de Kerakek, qui vient d'apprendre que sauver la vie du roi des rois de Bassanie ne suffit pas à assurer la fortune d'un homme : le voici envoyé vers Sarance en mission d'espionnage. Lui aussi, que seul anime le soin de ses patients, devra faire des choix, saisi dans le tourbillon des événements qui se précipitent.
Le Seigneur des empereurs est le second volet de « La mosaïque sarantine ». Méditation sur l'art et le pouvoir, sur la place des humbles comme des puissants dans la marche du monde, c'est d'abord un formidable roman de moeurs et d'aventures où les courses du grand hippodrome de la Cité rythment la ferveur populaire.
L'épopée byzantine de Guy Gavriel Kay dans une nouvelle traduction. -
Restaurons la gloire passée de la Kitai,
Reprenons nos fleuves et nos montagnes
Et offrons-les en tribut loyal à notre auguste empereur.
Voici l'histoire de Ren Daiyan, le fils d'un obscur archiviste d'une lointaine province de la Kitai. Il rêve de victoires et d'exploits ; il rêve de restituer à l'empire les Quatorze Préfectures tombées aux mains des barbares. Un long cheminement l'attend, mais vers quel destin ? Car la glorieuse Kitai d'antan n'est plus et les cavaliers des steppes du Nord menacent son intégrité, sous le gouvernement de l'empereur Wenzong, mélancolique esthète, et d'une cour déchirée par des factions en conflit permanent que seule unit la crainte d'un coup d'État militaire. C'est aussi l'histoire de Lin Shan, l'enfant unique d'un gentilhomme de la cour, cultivée plus qu'il n'est convenable à une femme. Si elle scandalise les bien-pensants, elle charme l'empereur par ses talents de poétesse. Farouchement indépendante mais bridée par sa condition, elle est l'image même d'une civilisation suprêmement raffinée mais en crise. Je ne puis empêcher les feuilles de tomber.
Car c'est enfin l'histoire d'un monde qui s'apprête à basculer sous les étoiles du Fleuve céleste. Après la Chine des Tang dans Les Chevaux célestes, c'est de la fin des Song du Nord, trois siècles et demi plus tard, que s'inspire Guy Gavriel Kay dans Le Fleuve céleste. -
Je voulais écrire un livre sur les territoires frontaliers en un temps d'affrontement de grande ampleur entre des empires et des religions, mais avec des personnages qui ne soient pas des figures politiques ou militaires dominantes du conflit. Ce seraient plutôt des hommes et des femmes s'efforçant de façonner, voire de contrôler, leur propre existence en traversant ce conflit ou en cheminant à ses marges.
Ces territoires, ce sont les Balkans de la fin du XVe siècle, vingt-trois ans après la chute de Sarance (Constantinople), le monde méditerranéen entre la République de Séresse (Venise) et Asharias (la désormais ottomane Istanbul).
Il y a là Danica Gradek, fougueuse amazone de la cité pirate de Senjan ; Pero Villani, jeune artiste séressinien dépêché en Asharias pour y peindre le portrait du conquérant ; Marin Djivo, cadet d'une grande famille marchande de Dubrava ; Leonora Valeri, fille reniée de la noblesse batiare en mission d'espionnage ; et celui qu'on nomme Damaz, futur djanni dans l'infanterie d'élite du calife.
Cinq personnages parmi tant d'autres, en quête de leur destinée. Leurs parcours vont se croiser, s'entrelacer, saisis dans le grand mouvement de la politique, des rivalités économiques, de la guerre et du choc des religions. Entre le hasard des rencontres et la nécessité du courant tumultueux de l'histoire, les êtres humains n'en sont que plus poignants.
Nous sommes les enfants de la terre et du ciel.
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PRIX AURORA
Après des millénaires enfermés dans une montagne, Rakoth Maugrim est finalement libre. Sa vengeance ? Un froid intense couvre peu à peu tout Fionavar. Personne n'y échappe. Ni les humains, ni les mages, ni les nains.
Les cinq aventuriers, retournés sur Terre à la fin de L'Arbre de l'été, découvrent la malédiction du Dévastateur et vont devoir parcourir les mondes de la Tapisserie pour trouver les alliés dont ils ont impérativement besoin pour vaincre le dieu déchu.
« La remarquable trilogie best-seller de fantasy de Kay tire sa force non pas de ses prouesses d'imagination ou de construction du monde (bien qu'il y ait des quantités impressionnantes de ces deux éléments), mais de son enracinement dans la réalité des émotions et des relations humaines. » - The Globe and Mail -
L'empire d'Al-Rassan a fait de ses conquérants asharites, venus des sables du désert, un peuple d'artistes et de savants ; l'assassinat du dernier calife a entraîné son éclatement en cités-États rivales. Seul peut-être le roi Almalik de Cartada saura lui rendre sa puissance et son unité, avec le soutien du légendaire Ammar ibn Khairan, poète, diplomate et soldat.
Car une autre menace pèse sur l'Al-Rassan, celle des royaumes jaddites du nord de la péninsule, divisés, certes, mais avides de reconquérir le pays dont ils s'estiment dépossédés. Rodrigo Belmonte est le plus prestigieux de leurs chefs de guerre.
C'est dans l'exquise cité de Ragosa que se rencontreront Ammar et Rodrigo, pour un temps exilés au service du même monarque. Entre eux, la figure exceptionnelle de Jehane bet Ishake, fille du peuple Kindath et brillant médecin.
Guy Gavriel Kay crée des mondes imaginaires librement inspirés de l'histoire médiévale. Les Lions d'Al-Rassan trouve son origine dans l'Espagne du Cid et de la Reconquista, après la chute du califat de Cordoue au XIe siècle.
Fantasy épique, roman d'aventures humaines et politiques à l'échelle d'un monde, ce livre porte l'oeuvre romanesque de l'auteur au plus haut de sa quête ambitieuse. -
« Mon troisième verre de la soirée est bleu, dit Alessan. Je bois toujours du vin bleu au troisième verre. En mémoire de quelque chose que j'ai perdu. De crainte qu'une nuit j'oublie ce pour quoi j'existe. »
La bataille de la Deisa - où le prince Valentin a disparu, défait par l'armée et la sorcellerie du roi conquérant Brandin d'Ygrath - a scellé le sort de la péninsule de la Palme. Longtemps déchirée par les querelles intestines de ses provinces États, la voici sous la férule partagée de Brandin et d'Alberico de Barbadior, tyrans et maîtres sorciers.
La résistance renaîtra d'une poignée d'hommes et de femmes conduits par le prince héritier Alessan, sous le masque de ménestrels et de marchands itinérants.
Une longue et dangereuse croisade les attend, pour libérer la Palme et ramener au jour le nom même du pays de Tigane et l'éclat de son histoire, éradiqués de toutes les mémoires par la vengeance du roi sorcier.
Dans ce monde inspiré de l'Italie de la Renaissance, Guy Gavriel Kay compose une épopée fantastique d'une puissance et d'une originalité rare. Les passions humaines et politiques y vibrent à la mesure d'un grand roman d'aventures pathétique, qui se lit aussi comme une métaphore de l'impérialisme, de l'occupation, de l'exil en son propre pays et de la lutte de libération.