Lady Anna-Lisa, épouse comblée du colonel George Schipper, s'apprêtait à passer une excellente soirée dans son hôtel particulier de Mayfair, le quartier le plus chic et le plus aristocratique de Londres. Elle était seule, le colonel était absent, et le maître d'hôtel avait demandé deux jours de congé. En déshabillé de soie rose, pieds nus, les cheveux dénoués, elle s'offrit un dîner arrosé largement de whiskey irlandais, qu'elle savoura comme une gourmandise interdite. De plus en plus gaie, elle se mit au piano... Un peu ivre, chantonnante, rieuse, lady Anna-Lisa n'entendit pas la mort venir. Frappé avec une violence inouïe, son crâne explosa.
De plus en plus folle de honte, je me sentis en effet fouettée de main de maître pendant un temps qui me parut interminable. Je pleurais, je criais, je me tortillais pour tâcher d'éviter cette vigoureuse main qui n'en claquait pas moins à chaque fois.
Je soulève les reins. Je me cambre. L'orgasme est là. Il se déclenche. Des vagues de feu m'écartèlent.
Jusqu'au bout du plaisir, des femmes jouent avec le feu et osent tout vous révéler. Elle écarta les cuisses, offrant ses lèvres roses au baiser du domestique dont le contact de la bouche fit courir sur sa peau un frisson de désir.
Monique me fait signe de la suivre, l'air très excitée. Du bout des ongles, elle tire délicatement un rouleau de carton et un orifice se dessine dans la cloison. La jeune femme y plaque son oeil, et sa respiration s'accélère instantanément. Elle vibre de la tête aux pieds. La vue de l'homme, de son sexe en pleine action la galvanise, et une folle envie de participer me prend. Je cherche autour de moi un objet assez gros pour calmer cette fièvre qui peu à peu me creuse les reins.
Eliane se sait prisonnière de nous quatre, qui l'entourons et la pressons dans nos bras. A la fois troublée et excitée, je saisis le beau sexe rigide de mon mari, que je guide vers la chaude intimité de la jeune fille, tandis que Jacques et sa femme la caressent et la sucent avidement.
Vanille voulait voir du pays et rêvait de l'Afrique. Mais elle n'a pas choisi vraiment la bonne manière de s'y rendre. Seule, au coeur d'une jungle hostile, elle va y perdre son latin après y avoir perdu plus d'une fois sa culotte.
Jusqu'à ce jour, seuls quelques amateurs éclairés avaient accès aux textes érotiques de qualité. Ces "Erotiques" vont enfin permettre à tous ceux qui goûtent ce délassement d'accéder à ces textes protégés longtemps par le secret. J'ai sélectionné les meilleurs parmi des centaines de livres, souvent clandestins. Ils vont de l'érotisme "hard" à la pornographie la plus flamboyante. Ils ne sont évidemment pas à mettre entre toutes les mains mais ceux qui les liront ne le regretteront pas.
Elle est belle. Jamais elle n'a été aussi belle. Grande, avec des nichons orgueilleux, un cul à faire trembler les mains des mecs, des jambes interminables... Et puis cette chevelure luxuriante, ces lèvres de fellatrice, ce visage aux traits- parfaits, ce regard améthyste, ces paupières de soie...
Eva se débattait, la douleur la tordait sur les cuisses de la belle femme, mais celle-ci était trop forte pour ses faibles moyens. Elle pleurait, piaillait... jusqu'au moment où, matée, elle s'abandonnait à cette brûlure intolérable qui dévorait son fondement.
Tout en parlant, elle lui massa le mont de Vénus au travers du slip, elle lui pinça méchamment une cuisse pour l'obliger à s'ouvrir. Béatrice, vaincue, humiliée, ne se défendit plus.
Le sentiment de ma puissance m'a mise en chaleur. M'installant devant la glace, cuisses écartées, ouvrant l'échancrure de ma culotte afin de mieux voir ma chatte, je me masturbe avec une application frénétique.
D'un geste timide elle a obéi, retroussant sa courte jupe sur son ventre. J'ai découvert son petit slip blanc, dont l'entrejambe était gonflé par sa vulve apparemment charnue et peu poilue.
J'ai eu un orgasme si puissant que je n'ai pu me retenir de hurler mon plaisir. J'étais électrifiée, pétrifiée par la jouissance.
« Détache-moi, Marité... Je veux te tripoter, et toucher les couilles de ce vieux... Lui mettre un doigt dans le cul... Je suis dingue... Je vais jouir... Aaahhh ! »
Jusqu'à ce jour, seuls quelques amateurs éclairés avaient accès aux textes érotiques de qualité. Ces "Erotiques" vont enfin permettre à tous ceux qui goûtent ce délassement d'accéder à ces textes protégés longtemps par le secret. J'ai sélectionné les meilleurs parmi des des centaines de livres, souvent clandestins. Ils vont de l'érotisme "hard" à la pornographie la plus flamboyante. Ils ne sont évidemment pas à mettre entre toutes les mains mais ceux qui les liront ne le regretteront pas. Gérard de Villiers
Jusqu'à ce jour, seuls quelques amateurs éclairés avaient accès aux textes érotiques de qualité. Ces "Erotiques" vont enfin permettre à tous ceux qui goûtent ce délassement d'accéder à ces textes protégés longtemps par le secret. J'ai sélectionné les meilleurs parmi des centaines de livres, souvent clandestins. Ils vont de l'érotisme "hard" à la pornographie la plus flamboyante. Ils ne sont évidemment pas à mettre entre toutes les mains mais ceux qui les liront ne le regretteront pas. Gérard de Villiers
Une main frôleuse enserrait ses reins, glissait sur ses épaules, caressait le creux de sa nuque, près des mèches blondes, puis éparpillait sa chevelure en une mer d'or aux reflets changeants.
Claudine jeta la brosse sur sa coiffeuse sans se soucier des dégâts qu'elle pouvait occasionner en arrivant au milieu des flacons qui embarrassaient le petit meuble. Ses mains devenues disponibles se posèrent sur sa poitrine. Les doigts se refermèrent sur les globes qu'ils malaxèrent voluptueusement.
La petite se prosterna. Ses longs cheveux balayèrent le pied blanc de sa maîtresse... Puis ses lèvres et sa langue baisèrent et caressèrent les orteils minces et nerveux de celle qu'elle adorait.
Coquetteries Aline B. Les râles de Germaine se firent plus rapprochés, elle ouvrit un oeil et vit que le bas de son ventre était couvert par un débordement de cheveux blonds doucement agités tandis qu'une merveilleuse sensation d'éclatement lui partait du con et venait s'épanouir à la pointe de ses seins.
Tout au bord du podium, déchaînée, jambes écartées, elle se laissa emporter par le rythme torride de la salsa. Ondulant de tout son corps, elle imposait sa sensualité aux yeux de tous. Parfois ses mains glissaient le long de ses cuisses, remontant vers ses hanches nues, suivant la courbe de sa taille, puis se perdant sur ses seins frémissants.
Je profitai de l'abandon passager de Béatrice pour écarter jusqu'à la taille sa chemise de nuit, remplissant aussitôt mes mains de ses deux seins brûlants et frémissants. Sensible à mes caresses, la blonde commençait à s'échauffer. Moi-même, je savais que je ne pourrais retenir plus longtemps la montée de mon désir.
Je me suis installée à l'arrière de la voiture avec lui. Tout de suite, je l'ai aguiché en laissant ma jupe remonter tout en haut de mes cuisses. Une main insinuée dans mon slip, je me suis caressée sous son regard ébahi. Il a été plus stupéfait encore quand j'ai posé mon autre main sur son pantalon...