Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Longtemps avant l'arrivée des Espagnols, le peuple maya, les Aztèques, le dieu Quetzalcoalt, l'oiseau Kou fondèrent sans le savoir le Mexique. Depuis, d'autres merveilleux stratagèmes furent inventés pour résister au conquérant espagnol. Plus tard, c'est la fabuleuse victoire de Zapatta et de Pancho Villa emmenés par la Cucaracha. Robert Escarpit nous conte la grâce légendaire d'un pays dont les symboles sont l'aigle et le serpent.
Noûm aurait voulu devenir un grand chasseur. Comme la plupart des hommes de sa tribu semi-nomade, il rêve de bisons et de rennes. Mais, à cause d'une cheville brisée et d'un talent certain pour le dessin, c'est sur les parois de la Caverne Sacrée dominant la Rivière Rouge qu'il verra passer les plus beaux troupeaux. Initié par le Sage Vieillard Abaho, Noûm deviendra sorcier, guérisseur, dresseur de loup, et ouvrira sur un monde en mutation le regard de la tribu des Madaï. Les trois volumes de la trilogie préhistorique de Claude Cénac ferment un magnifique hymne au courage et à l'esprit d'aventure, et les paysages d'un Périgord encore sauvage ont ici des allures de paradis pour conquérants de l'impossible, Les Cavernes de la Rivière Rouge ont gardé ce souffle épique qui rend les romans d'aventures aussi intemporels que leurs héros d'une ère lointaine.
Gaboche trouve une très jolie fleur, mais il ne connaît pas son nom.
Quelle est donc cette fleur ?
Et à qui appartient-elle ?
À partir de 6 ans.
Nicolas, 3 ans et demi, a bien des soucis avec ses quintuplés de frères et soeurs, qu'il doit surveiller en attendant l'arrivée de la voisine.
Il a beau compter et recompter les bambins, il en trouve une fois 10, une fois 6... mais jamais 5 !
Alors, il tente de lire le nom sur les bracelets, qu'ils portent au poignet mais cela ne l'avance guère...
C'est une aventure qui ne se résume pas... Dès les premières pages, on est emporté par elle, sur la frégate des Corsaires de Brouage, qui fait claquer ses voiles à tous les vents de la fortune. La Fortune !... Elle a choisi le Lucas de chez les Gaud de Planasse, au temps du Roi Louis XIV, et elle le mènera jusqu'au coeur de l'Afrique, où un Arbre sera son ami. Cet arbre, c'est l'Arbre des Licornes. Marlow l'a connu, a rêvé sous son ombre, face au mont des génies, couronné de neige. Marlow avait peut-être deviné le secret de cet arbre qui, dans le soir, dressait ses deux bras ouverts, et semblait marcher sur les savanes, avec cette grâce des filles noires revenant de la fontaine. Car cet arbre, c'est la figure d'une femme, celle de la légende, celle dont la voix n'est pas morte et répond en écho à celle d'un frère aimé, quand l'amour passe et appelle avec sa voix enchantée, en face de la montagne. Il y a dans cette légende des Licornes, le récit profondément émouvant des plus belles amours d'enfant qu'on puisse rêver. Et on ne sait ce qu'on doit admirer le plus, les images réelles que Marlow nous donne ou l'imagination de l'auteur, qui jamais ne nous a tant émus, rien qu'à écouter battre un beau coeur d'enfant et... celui d'un arbre. Légende !... Quelqu'un les inventa bien, dans tous les temps... Et on rêve, en lisant, de ces troubadours qui allaient de château en château, et dans la grande salle, à genoux devant la Dame, sur la jonchée verte, disaient le beau conte, en s'accompagnant sur la viole d'amour.
Un charmant village de contes de fées est blotti depuis le Haut Moyen Âge entre la capricieuse rivière et les énormes rochers truffés de grottes. Tout en haut, le château dresse sa silhouette hautaine que les siècles ont à peine altérée. Les tours de guet, le clocher pointu de la chapelle se découpent sur le ciel mauve avec la netteté d'un décor de théâtre. On dirait le château de la Belle au bois dormant. « Quel dommage qu'il n'y ait plus de fées ! » soupira Sylvie. Mais qui sait ce qui peut arriver en une nuit, surtout lorsque c'est la veillée de Noël et qu'on la passe en compagnie de l'être le plus étrange qui soit ?
La belle époque romantique ; Lyon avec ses collines, ses deux rivières, ses escaliers, ses cours, ses rues innombrables et Rémy, le petit porteur de hotte, un peu effaré, un peu perdu dans la grande ville où tout lui semble hostile. On a commis un vol dans la vieille maison noire. Qui est le coupable ? C'est ce que Rémy s'efforcera de découvrir et nous le suivrons de rue en rue, d'aventure en aventure, de mystère en mystère jusqu'à ce que... mais chut ! ouvrez le livre, l'histoire commence.
C'est une aventure qui ne se résume pas... Dès les premières pages, on est emporté par elle, sur la frégate des Corsaires de Brouage, qui fait claquer ses voiles à tous les vents de la fortune. La Fortune !... Elle a choisi le Lucas de chez les Gaud de Planasse, au temps du Roi Louis XIV, et elle le mènera jusqu'au coeur de l'Afrique, où un Arbre sera son ami. Cet arbre, c'est l'Arbre des Licornes. Marlow l'a connu, a rêvé sous son ombre, face au mont des génies, couronné de neige. Marlow avait peut-être deviné le secret de cet arbre qui, dans le soir, dressait ses deux bras ouverts, et semblait marcher sur les savanes, avec cette grâce des filles noires revenant de la fontaine. Car cet arbre, c'est la figure d'une femme, celle de la légende, celle dont la voix n'est pas morte et répond en écho à celle d'un frère aimé, quand l'amour passe et appelle avec sa voix enchantée, en face de la montagne. Il y a dans cette légende des Licornes, le récit profondément émouvant des plus belles amours d'enfant qu'on puisse rêver. Et on ne sait ce qu'on doit admirer le plus, les images réelles que Marlow nous donne ou l'imagination de l'auteur, qui jamais ne nous a tant émus, rien qu'à écouter battre un beau coeur d'enfant et... celui d'un arbre. Légende !... Quelqu'un les inventa bien, dans tous les temps... Et on rêve, en lisant, de ces troubadours qui allaient de château en château, et dans la grande salle, à genoux devant la Dame, sur la jonchée verte, disaient le beau conte, en s'accompagnant sur la viole d'amour.
La belle époque romantique ; Lyon avec ses collines, ses deux rivières, ses escaliers, ses cours, ses rues innombrables et Rémy, le petit porteur de hotte, un peu effaré, un peu perdu dans la grande ville où tout lui semble hostile. On a commis un vol dans la vieille maison noire. Qui est le coupable ? C'est ce que Rémy s'efforcera de découvrir et nous le suivrons de rue en rue, d'aventure en aventure, de mystère en mystère jusqu'à ce que... mais chut ! ouvrez le livre, l'histoire commence.
Un charmant village de contes de fées est blotti depuis le Haut Moyen Âge entre la capricieuse rivière et les énormes rochers truffés de grottes. Tout en haut, le château dresse sa silhouette hautaine que les siècles ont à peine altérée. Les tours de guet, le clocher pointu de la chapelle se découpent sur le ciel mauve avec la netteté d'un décor de théâtre. On dirait le château de la Belle au bois dormant. « Quel dommage qu'il n'y ait plus de fées ! » soupira Sylvie. Mais qui sait ce qui peut arriver en une nuit, surtout lorsque c'est la veillée de Noël et qu'on la passe en compagnie de l'être le plus étrange qui soit ?
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Avec des accents tantôt familiers, tantôt émouvants, et toujours empreints d'une exquise poésie, l'auteur évoque un immense pays aux steppes sans bornes, aux forêts mystérieuses, dans lequel vivait un peuple de paysans simples et bons, à l'accueil chaleureux, à la piété fervente et naïve. Il y eut une époque, pas très éloignée de nous, où toutes les forces de la nature, les animaux, les végétaux - et même les pierres - prenaient figure humaine dans l'imagination de ces braves gens et peuplaient leur solitude de tout un monde de démons, de « baba-yegas » ou sorcières, de fantômes et de lutins. C'est ce monde, que le talent de Mme Vido-Merpert a ressuscité, en une série de tableaux colorés et que Mme Olga Bernatsky a matérialisé devant nos yeux par des illustrations pleines de sensibilité.
Avec des accents tantôt familiers, tantôt émouvants, et toujours empreints d'une exquise poésie, l'auteur évoque un immense pays aux steppes sans bornes, aux forêts mystérieuses, dans lequel vivait un peuple de paysans simples et bons, à l'accueil chaleureux, à la piété fervente et naïve. Il y eut une époque, pas très éloignée de nous, où toutes les forces de la nature, les animaux, les végétaux - et même les pierres - prenaient figure humaine dans l'imagination de ces braves gens et peuplaient leur solitude de tout un monde de démons, de « baba-yegas » ou sorcières, de fantômes et de lutins. C'est ce monde, que le talent de Mme Vido-Merpert a ressuscité, en une série de tableaux colorés et que Mme Olga Bernatsky a matérialisé devant nos yeux par des illustrations pleines de sensibilité.
Le château de Castel Carabignac est-il vraiment hanté comme il en a la réputation ?... À la suite d'un violent orage, François et Françoise y pénètrent avec leurs parents pour y passer la nuit. S'agit-il de vrais fantômes... ou d'une machination du sieur Gamelle, aubergiste concurrent ? Comment les deux enfants aideront à résoudre l'énigme... et à découvrir un trésor ? Nos jeunes lecteurs l'apprendront en lisant cet ouvrage qui les tiendra en haleine de la première page à la dernière.
Mamadi est un petit enfant de Guinée, que la curiosité pousse à monter clandestinement dans un avion prêt à s'envoler pour le pays des hommes blancs. Le pauvre enfant ne se doute pas des aventures qui l'attendent... Recueilli par un orphelinat où il est malheureux, il tentera de s'enfuir. Placé ensuite chez de frustes villageois, il ira à l'école et l'affection d'une fillette de son âge lui fera paraître moins rude l'hiver des pays froids. Hélas ! Isabelle, sa petite camarade, quitte le village et il cherche à la rejoindre avec l'aide d'un vieux chemineau... Tout finira bien. Mamadi retrouvera Isabelle et pourra repartir sur les ailes d'un « grand oiseau » vers son pays natal.