Al Kenner serait un adolescent ordinaire s'il ne mesurait pas près de 2,20 mètres et si son QI n'était pas supérieur à celui d'Einstein. Sa vie bascule par hasard le jour de l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy. Plus jamais il ne sera le même. Désormais, il entre en lutte contre ses mauvaises pensées. Observateur intransigeant d'une époque qui lui échappe, il mène seul un combat désespéré contre le mal qui l'habite. Inspiré d'un personnage réel, Avenue des Géants, récit du cheminement intérieur d'un tueur hors du commun, est aussi un hymne à la route, aux grands espaces, aux mouvements hippies, dans cette société américaine des années 60 en plein bouleversement, où le pacifisme s'illusionne dans les décombres de la guerre du Vietnam.
L'interprétation magistrale de Bernard Métraux révèle la froide détermination et la noirceur clinique d'Al Kenner. Sa lecture troublante et percutante ne laisse pas indemne...
Les têtes de nains tranchées ont beau s'accumuler sur le parvis de Castral-Roc, celle de Tyrion, meurtrier présumé de Tywin Lannister, son père, semble toujours solidement juchée sur ses deux épaules. Sa soeur Cersei, désormais régente, ne sait plus qui elle doit haïr le plus : lui ou la petite reine, Margaery, intriguante de basse-cour qui est parvenue à lui ravir le coeur du futur roi, son fils. Ses manoeuvres ont beau être cousues de fil blanc, son joli minois et ses nombreux alliés font d'elle une rivale avec qui il faut compter. Pour autant, Cersei a encore quelques vilains tours dans son sac : ce n'est pas aux vieilles lionnes que l'on apprend à mordre...
Le roi Robert Baratheon est mort, son ami Eddard Stark a été exécuté. La dynastie Baratheon n'aura duré qu'une génération et la paix plusieurs fois centenaire qui régissait le royaume des sept couronnes a volé en éclats.
Joffrey, le bâtard illégitime, se terre dans sa capitale, les frères de Robert rallient des troupes à leurs bannières, le fils de Ned a levé son armée et crie vengeance, des pirates razzient les côtes et des brigands pillent les campagnes.
Il y a quatre rois désormais et chacun forge des alliances pour entraîner le royaume dans la tourmente de la guerre. Maintenant c'est l'acier qui va hurler son chant de mort.
Bernard Métraux prête sa voix à une multitude de personnages qui tissent à travers leurs forces, leurs faiblesses, leurs accès de rage et leurs rêves, l'histoire du royaume et de ses intrigues imprévisibles.
En ces temps-là nimbés de brume, où la belle saison pouvait durer des années, et la mauvaise toute une vie, se multiplièrent un jour des présages alarmants. Au nord du Mur colossal qui protégeait le royaume, se massèrent soudain des forces obscures. Au sud, l'ordre établi chancela. Le meurtre et la corruption, la lâcheté et le mensonge enserrèrent inexorablement le trône convoité...
Le Trône de fer plonge le lecteur dans un tourbillon d'aventures sanguinaires, peuplé de créatures surnaturelles, de barbares et de traîtres. Un monde où parfois cependant l'amour et la tendresse triomphent.
Bernard Métraux prête sa voix à une multitude de personnages qui tissent à travers leurs forces, leurs faiblesses, leur accès de rage et leurs rêves, l'histoire du royaume et de ses intrigues imprévisibles.