Moscou, années 1930, le stalinisme est tout puissant, l'austérité ronge la vie et les âmes, les artistes sont devenus serviles et l'athéisme est proclamé par l'État. C'est dans ce contexte que le diable décide d'apparaître et de semer la pagaille bouleversant les notions de bien, de mal, de vrai, de faux, jusqu'à rendre fou ceux qu'il croise.
Chef-d'oeuvre de la littérature russe, livre culte à travers le monde, Le Maître et Marguerite dénonce dans un rire féroce les pouvoirs autoritaires, les veules qui s'en accommodent, les artistes complaisants, l'absence imbécile de doute.
André Markowicz, qui en retraduisant les oeuvres de Fiodor Dostoïevski leur a rendu toute leur force, s'attaque à un monument littéraire et nous restitue sa cruauté première, son souffle romanesque, son universalité.
Roman complet et flamboyant, Les Frères Karamazov rassemble une intrigue policière, plusieurs histoires d'amour, des exposés théologiques et métaphysiques éblouissants et des personnages inoubliables déchirés par leurs conflits intérieurs. Sans doute le chef-d'oeuvre de Dostoïevski.
Avec cette publication se conclut également l'immense entreprise de retraduction des romans de Dostoïevski entamée il y a plus de dix ans par André Markowicz.
Roman complet et flamboyant, Les Frères Karamazov rassemble une intrigue policière, plusieurs histoires d'amour, des exposés théologiques et métaphysiques éblouissants et des personnages inoubliables déchirés par leurs conflits intérieurs. Sans doute le chef-d'oeuvre de Dostoïevski.
Avec cette publication se conclut également l'immense entreprise de retraduction des romans de Dostoïevski entamée il y a plus de dix ans par André Markowicz.
"Premier des romanciers modernes, Fiodor Dostoïevski est parmi les plus grands écrivains russes du XIXe siècle. Dans « Les Carnets du sous-sol », il fait le récit d'un homme reclus qui depuis son sous-sol observe le monde en contre-plongée. Le narrateur crache ses mots avec aigreur, son refus obstiné du bonheur, déverse ses angoisses et sa haine envers l'humanité. Ecrit en 1864, on y retrouve un condensé de la fureur barbare qui fait l'oeuvre de l'auteur et les bases des grands romans à venir : « Crimes et châtiments », « Le Joueur », ou « Les Frères Karamazov ». Produit par Mâya Heuse des Éditions Thélème, Hubert-Félix Thiéfaine, avec sa diction émue et mordante, à la fois constante et solennelle, arrive à transmettre à l'auditeur toute la mélancolie, la sincérité et la violence du roman. Il met à nue toute la poésie de cette oeuvre que l'on se prêterait à qualifier de proto-punk, par sa désillusion, sa vision désenchantée du monde et qui comme l'indiquait l'auteur, se voulait le récit « d'une génération en survie".
Patrick FRÉMEAUX
Un destin détruit et illuminé par l'amour d'une femme.
Premier volume de la tragédie nouant les destins de Mychkine, Rogojine et Nastassia Filippovna.
Second volume de la tragédie nouant les destins de Mychkine, Rogojine et Nastassia Filippovna.
A son retour de Paris Lioubov Andreïevna se rend à l'évidence : elle doit vendre le domaine familial, et avec lui la cerisaie qui en fait le raffinement et la beauté. Un tableau bouffon et tragique de l'aristocratie russe.
L'insupportable quotidien de deux hommes qui se déchirent. 5 hommes, 4 femmes / durée : 1 h 30.
Les convulsions d'une société secrète dans la Russie du XIXe siècle, à travers l'effrayant destin de Stavroguine.
Les convulsions d'une société secrète dans la Russie du XIXe siècle, à travers l'effrayant destin de Stavroguine.
Les convulsions d'une société secrète dans la Russie du XIXe siècle, à travers l'effrayant destin de Stavroguine.
Sans le sou, l'étudiant Raskolnikov assassine une usurière dans un immeuble de Saint-Pétersbourg. Ainsi commence Crime et châtiment, l'un des plus grands romans de la littérature universelle. Publié il y a 150 ans, alors que Gustave Courbet peint L'Origine du monde, et que Tchaikovksy met la dernière main à sa Première Symphonie, "Rêves d'hiver", composée dans l'étau infernal de l'été pétersbourgeois, celui-là même où se débat l'âme torturée de Raskolnikov, ce sommet indiscutable de ce que nous appelons aujourd'hui le roman noir n'a rien perdu de sa force. Pour fêter ses dix ans, la collection "Actes noirs" en publie une nouvelle édition dans la traduction magistrale d'André Markowicz.
La fuite du héros dostoïevskien vers le mysticisme.
A l'instar du Joueur ou des Carnets du sous-sol, un "petit" récit important où l'on retrouve toutes les obsessions de l'écrivain : le malheur, la folie, le destin.
Un roman réaliste et tourmenté dans lequel l'écrivain raconte son expérience du bagne sibérien.
Le premier roman de Dostoïevski, qui lui assura une célébrité immédiate, propose déjà une étonnante galerie de personnages.
A propos d'une sinistre histoire d'adultère, une variation sur le remords et le souvenir.
Ecrites pour la plupart en 1888 et 1889, ces courtes pièces sont des modèles de finesse, de légèreté et de densité. Le recueil contient : Sur la grand-route, Calchas ou le chant du cygne, Tatiana Répina, Des méfaits du tabac, L'Ours, La Demande en mariage, Le Tragédien malgré lui, La Noce, Le Jubilé, Mise au point nécessaire, La Nuit avant le procès.
Après l'Idiot et Crime et châtiment, une autre pièce maîtresse de l'oeuvre du grand écrivain russe, dans la nouvelle traduction d'André Markowicz.
Cette première grande oeuvre pleine de rebondissements inattendus fut écrite par Dostoïevski à son retour du bagne sibérien.
Un grand chef de l'administration veut prouver son libéralisme en s'invitant à la noce d'un modeste employé... Cette farce annonce la révolution en dénonçant une communication impossible entre dominants et dominés.
L'un des chefs-d'oeuvre de Dostoïevski dans une nouvelle traduction qui rend au grand écrivain russe la voix violente, passionnée, illumlinée qui été réellement la sienne.
C'est une belle et solide amitié qui unit Arkadi et Vassia et c'est également un bel amour qui s'épanouit entre Lizanka et Vassia. Trop beau peut-être. Par culpabilité face à tant de bonheur et par angoisse de ne pas être à la hauteur, Vassia va glisser doucement vers la folie...