Quelle chance, le cirque vient d'arriver sur la place ! Il faut y aller, bien sûr, rien de tel pour oublier ses soucis ! Soudain, Ernest se souvient qu'il a été clown autrefois, et ressort d'une vieille malle son costume de pitre. En piste ! On va bien s'amuser, même si le plus drôle des clowns n'est pas forcément là où on l'attend...
Ernest, qui espérait obtenir une place de gardien de musée tout en emmenant Célestine avec lui, se voit refuser le poste pour cette raison. Grand seigneur, le directeur leur offre l'entrée au musée. Mais Célestine s'ennuie vite devant cette interminable galerie de tableaux immobiles. Ernest, quant à lui, ne l'entend pas se plaindre tant il est captivé par les merveilles qu'il découvre. Jusqu'à ce qu'il prenne subitement conscience que Célestine n'est plus à ses côtés. Panique à bord, nos deux amis courent dans tous les sens, avec la complicité des gardiens, et enfin se retrouvent. Mais Célestine a eu peur, très peur, d'avoir perdu Ernest, elle a peur de le perdre vraiment !
Au cours d'une promenade, Célestine perd Siméon, son précieux petit pingouin de tissu. Quelle tristesse ! Ernest a beau apporter tous les doudous du monde, Célestine n'aime que Siméon. Une histoire délicate et tendre, à la fois poignante et joyeuse sur un sujet souvent traité par cet auteur : la perte et l'abandon.
Ernest est préoccupé : il faut faire réparer les fissures du toit avant l'hiver...et il n'y a plus d'argent ! Comment faire ? C'est Célestine qui trouve l'idée : et si Ernest ressortait son violon, pour aller glaner quelques pièces dans la rue ? Après bien des atermoiements, Ernest se résout finalement à donner l'aubade aux passants du quartier.
Célestine saute de joie : Ernest vient de lui annoncer que demain, il s'en iront pique-niquer ! Toute une grande journée ! Aussi la déception est-elle vive, le lendemain, lorsque Ernest, désolé, annonce à Célestine qu'il faut renoncer : il pleut ! Un vrai drame pour Célestine. Alors, pour ne pas rester sur ce dépit, Ernest a une idée lumineuse : et si on jouait à faire semblant qu'il ne pleut pas ? Et voilà comment ils se retrouvent dehors, à pique-niquer sous une pluie battante...
Ernest et Célestine sont invités à un mariage. Célestine doit être "la petite demoiselle d'honneur". Les voici partis pour prendre le train. Ernest se dépêche ... et fait une mauvaise chute. Heureusement, Célestine va intervenir avec beaucoup de sang-froid !
Dans la rue, Ernest entend une chanson.
« Ce n'est pas une chanson, Ernest, c'est du violon ! » corrige Célestine. Mais la musique plonge Ernest dans un émoi inattendu. Les notes résonnent, les larmes coulent et les souvenirs reviennent.
Ernest est bouleversé et Célestine ne comprend pas. Comment lui expliquer les chansons d'un autre pays, les chansons du passé, celles d'une autre vie ? Comment partager sa joie et sa nostalgie ?
Une histoire très touchante sur l'origine, les souvenirs et l'héritage familial.
Un jour, alors qu'Ernest est sorti faire des courses, Célestine fouille dans le tiroir où sont rangées ses vieilles photos. Comme c'est drôle : il y a des photos d'Ernest bébé, il est trop mignon ! Mais en parcourant tous ces clichés, Célestine découvre aussi des images d'Ernest en compagnie de petites souris qu'elle n'avait jamais vues. Et, plus grave : il n'y a aucune image d'elle ! Comment Ernest va-t-il bien pouvoir expliquer ça à Célestine?
Vite, il faut s'activer : Tante Joséphine arrive dans huit jours... et rien n'est prêt ! Où la loger ? Il y a bien le grenier, mais... le toit est plein de trous et la pièce est vide : pas de lit, pas de matelas, pas d'armoire, rien ! Heureusement, il y a l'ingénieux Ernest et son sens de la ressource : lui est persuadé qu'avec quelques parapluies et un peu de matériel de récupération, on devrait pouvoir préparer une chambre très acceptable ! Et voilà comment Ernest et Célestine s'en vont cheminer au fil des décharges et des poubelles, en quête des trésors qu'on y a abandonnés...
Cinq des meilleures histoires du gros ours et de la petite souris dans un nouveau recueil à mettre au pied du sapin ! La maison, la musique, la rue, la nature, l'enfance... des thèmes essentiels de l'univers d'Ernest et Célestine, racontés tout en douceur et en poésie.
- Ernest et Célestine ont perdu Siméon
- Ernest et Célestine La cabane
- Ernest et Célestine au musée
- Un caprice de Célestine
- Ernest et Célestine musiciens des rues
Voici quelque chose de très inhabituel : Ernest n'est pas venu réveiller Célestine ce matin. Et rien n'est prêt en bas à la cuisine pour le petit déjeuner... Quelques heures plus tard, tout s'éclaire : Ernest est malade ! Et c'est Célestine, très déterminée, qui se décrète garde-malade !
Dans cette histoire, Célestine s'improvise infirmière, cuisinière, animatrice... Et quel régal de voir les rôles s'inverser entre le gros ours et la petite souris !
« Écouter tes secrets... et promettre de ne pas les répéter. » « S'endormir n'importe où... ou bien au chaud dans ton cou. » « Lancer une tempête de polochons... et rire à la folie sans raison »...
Sur chaque double page se répondent en vis-à-vis des tableaux qui reflètent avec une infinie délicatesse les petits bonheurs de l'enfance ; tous ces moments à la fois simples et si particuliers qui unissent un petit et un grand qui s'aiment.
Ce sont des instants précieux du quotidien entre Ernest et sa toute petite Célestine, disséminés dans chaque album de la série, qui sont rassemblés dans ce tendre imagier.
Un merveilleux moment de lecture à partager !
C'est bientôt Noël... Célestine rêve de faire une belle fête avec tous ses amis, Ernest avait promis... mais comment faire quand on n'a pas de sous ? C'est sans compter sur leur inventivité... Sapin, décorations, gâteaux et guirlandes sont dressés avec enthousiasme pour un Noël plein d'émotions !
Une fois de plus, Ernest fait plaisir à Célestine. Une fois de plus, en rechignant un peu : construire avec elle une cabane en bois. Célestine, enthousiaste, fait des projets d'amélioration... Mais que se passe-t-il ? La cabane est occupée ! Qui donc a osé s'introduire de la sorte chez eux ? Dépit, colère, jusqu'à ce qu'Ernest lui explique les raisons de la présence de ce visiteur non désiré...
Alors que Noël approche, Célestine a repéré, dans le grand parc enneigé, un tout petit sapin solitaire et un peu tordu, qui lui plaît beaucoup. Et lorsqu'Ernest, tout fier, lui annonce que cette année, elle peut avoir tout ce qu'elle désire pour le réveillon de Noël, Célestine choisit... un vrai Noël dans la neige, dehors, auprès du petit sapin qui lui plaît tant.
Ernest et Célestine se promènent. Soudain, Ernest entend un air joué au violon, il dresse l'oreille et semble tout retourné. Après avoir échanger quelques paroles avec le violoniste, Ernest plongera dans une rêverie nostalgique. Il promène Célestine et lui raconte tout...
Ernest est très malheureux. Il ne peut plus jouer car il a perdu un bouton de son accordéon. Mélusine en est certaine : c'est la souris verte qui l'a volé ! Alors Célestine part à la recherche de cette mystérieuse souris...
Branle-bas de combat chez Ernest et Célestine : il faut accueillir Pétula, la tante d'Amérique, qui vient tout juste de s'annoncer au dernier moment ! Pas si simple dans leur modeste logis, mais Ernest est ravi : il va remuer ciel et terre pour recevoir la visiteuse avec faste. Ce qui n'est pourtant pas du goût de la petite Célestine : pourquoi se donner tant de peine, on se le demande, pour quelqu'un qui n'apporte jamais le moindre cadeau ? Mais évidemment, rien ne se passera comme on aurait pu se l'imaginer...
Saperlipopef ! La grand-mère d'Ernest vient dîner, et le gros ours est très angoissé : c'est une dâme agée qui aime les ours très bien éduqués... Armée d'un livre de bonnes manières, Célestine prend les choses en main...
L'hiver est là, et bientôt, Ernest devra hiberner. Avant que son grand ami ne s'endorme, Célestine veut s'assurer qu'il ait le ventre plein. Seulement les placards sont vides, et le blizzard souffle de plus en plus fort... N'écoutant que son courage, la petite souris sort à la recherche de provisions...
Trop pauvres, Ernest et Célestine, pour organiser un bon réveillon de Noël ? Allons donc ! ils compenseront le manque de moyens par une foule d'idées originales, et surtout par la chaleur d'une amitié dont, heureusement, ils ne sont vraiment pas dépourvus ! La nouvelle édition d'un classique de Gabrielle Vincent. Une fois encore, son inimitable touche poétique fait merveille !
Ernest et Célestine vont pique-niquer, mais au moment de partir, Augustin arrive en courant : « Attention ! L'île est hantée par un monstre terrible ! » Il en faut plus pour affoler le gros ours et la petite souris, qui embarquent Augustin pour une visite guidée...
Ernest est embauché par M. Martin : il doit tourner la manivelle d'un piano mécanique pour faire de la musique. Ernest est contrarié, massacrer la musique avec cet engin, il n'en est pas question ! Mais Célestine et Boléro ont une chouette idée pour lui rendre le sourire...
Mme Tulipe, la voisine d'Ernest et Célestine, ne peut s'empêcher de commenter tout ce qu'ils font. Fatigués de ses indiscrétions, les deux amis lui jouent un tour. Mais oh, oh, la farce prend des proportions inattendues...