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Éditions De Courberon
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L'Attente est un récit « calme et parfois triste » (Christian Bobin) sur le temps qui passe, sur le feu de vivre qui ne laisse souvent que des cendres, sur les guirlandes que l'on dispose dans sa vie pour décorer le vide, sur les chaines que l'on met partout et qui finissent invariablement par se briser. Sur un enfant et un homme aussi, qui sont à la mauvaise place au bon moment, qui font tout ce qu'il faut faire sans savoir le faire et, surtout, qui attendent. Qui attendent quoi ?
Que quelque chose arrive, mais sans savoir quelle est cette chose.
Une histoire sans noms, sans visages, que des ombres et une lumière diffuse pour les faire apparaître. Une lecture qui porte en silence, qui touche à l'humain dans ce qu'il a de plus fort et, paradoxalement, de plus fragile. « Ce n'est plus un roman, c'est un poème » (Jean Marcel). -
Tant qu'il y aura des rivières
Hélène Custeau
- Éditions De Courberon
- Lueurs
- 26 October 2011
- 9782922930399
Dans ce récit fragmenté, le lecteur entre dans l'univers de douze personnages à la personnalité singulière surpris à un moment décisif de leur vie. Douze destins qui se recoupent et s'éclairent mutuellement à travers des histoires : d'amour, de peine, de joie. Douze histoires indépendantes, mais qui se révèlent, au fil des chapitres, autant de pièces d'un casse-tête qui forment un grand tout, un portrait de famille qui rend compte de combats humains pour le bonheur, la survie et l'amour.
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Agnès est peintre. Elle peint inlassablement les chemins de traverse de son existence : une mère morte à sa naissance ; un père, marin, qui l'a déposée à l'orphelinat ; un silence terrible que lui ont laissé Joshua, son fils, et le bruit des pas de son grand frère Charles, le danseur étoile ; Henri, finalement, l'époux déchu qui attend le pardon derrière son journal. Toile trop sombre. Elle y rajoute de l'or, une étoile et là... il se met à briller. Il n'a pas de prénom. Pas de regard. C'est un peintre... Le peintre de nuages. Entre eux, il n'y a rien. Juste quelques ombrages étonnants, des lueurs mystiques, des bleus outremer et des ors féeriques pour les verres de champagne... L'histoire d'Agnès est une histoire comme bien d'autres, un tout petit sentier qu'elle essaye de peindre encore et encore pour arriver chez elle. Un chemin que nous cherchons tous.
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La plume vive de Jean Marcel sied parfaitement à ce qu'il nomme ses fractions. Dans ces carnets faits de petits bonds littéraires, d'éclairs historiques et de flammèches réflexives, Jean Marcel a sans contredit trouvé son genre.
Ce sixième tome entraîne de nouveau ses lecteurs dans une épopée faite d'idées et de concepts parfois intellectuels et parfois drôles, mais toujours avec ce ton juste et cet esprit aiguisé qui font apprécier son talent d'essayiste à la grandeur de la francophonie. -
Dans ces carnets, le lecteur découvre une pensée libre comme on n'en voit peu aujourd'hui, et enveloppée dans une prose à la fois fine et cinglante : « Ce livre n'est pas un objet de mode consommable que l'on feuillette sur une plage un cocktail en main. Il a été écrit au fil des jours, en réponse à une absurdité de l'actualité, sur le vif d'une émotion ou à partir d'une réflexion sur la condition humaine. Je l'ai rédigé parfois en riant, souvent pour ne pas crier et quelquefois pour ne pas pleurer.
On dit qu'il y a au moins sept façons de livrer une même idée. Pour ma part, je n'en connais que deux : avec des fleurs ou avec un revolver. Si j'ai écrit précédemment en parfumant ma pensée, la plupart de ces pages ont plutôt des odeurs de poudre. Il serait inutile de m'en tenir rigueur : je plaide la légitime défense. » -
Une lecture des Fractions est une véritable croisière autour du monde. Dans ce cinquième tome, Jean Marcel entraîne à nouveau son lecteur sur une mer de culture, d'amour des arts et de la littérature, de musique, de politique et d'histoire. Inlassable curieux, il fait goûter à son univers vaste qui touche tant au cinéma iranien qu'à Shakespeare, à la méditation bouddhiste qu'à l'Histoire du Siam, à son amour de Racine qu'à des anecdotes fascinantes tirées de ses observations ou de sa vie personnelle. Souvent riches, parfois comiques, mais toujours passionnantes, ces Fractions sont de petits trésors qu'il fait bon découvrir et déguster.
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Les années cinquante, soixante. Une ville ouvrière du Saguenay. Un maelstrom de sentiments, un enchevêtrement de personnages, une atmosphère délicieusement surannée. Un destin, une vie, celle de Clara. À l'exemple de sa grand-mère autrefois, Clara remonte le temps explorant son passé pour raconter des histoires à ses enfants et petits-enfants : « Car ne découvre-t-on pas des réponses essentielles en suivant le fil du temps ? » Des réponses et des questions. Surtout des questions, peut-être. Sur la vie, la mort, la fatalité, la solitude, le désir, le destin, la transmission. À travers des récits teintés des couleurs sombres et lumineuses d'une époque marquante du Québec, "L'air du temps" nous invite à voyager dans notre enfance, puisque « l'enfant en nous ne meurt pas. »
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« Il dort, mais il ne sait pas qu'il dort ». C'est sur le ton de la douce ironie que Guy D'Amours nous livre sa dernière création, Un réveil agité d'histoires. À la lecture de ce texte, le lecteur se trouve légèrement désorienté, car l'oeuvre est difficilement classable dans les genres connus en littérature. Concrètement, il s'agit d'un conte philosophique entrecoupé de très courtes histoires qui se rapportent de par leur thématique au thème principal qui sera traité dans la partie du conte qui suit. L'histoire, car il y en a une, relate les diverses rencontres de Zigma, qui se réveille d'un très long sommeil. Le personnage ira de rencontre en rencontre, croisant tour à tour, femme, enfant, serpent, soleil et autres. Le récit ne se veut pas réaliste, mais concourt railleusement à nous faire sentir l'inspiration qui a donné naissance aux différents sujets abordés. Ainsi l'auteur nous met-il en garde dès le départ : «Ceux qui aimeraient une histoire structurée, avec un héros hollywoodien qui cherche à résoudre une intrigue solide établie entre un mégot de cigarette oublié sur un tapis et une belle et ambitieuse danseuse nue, je les renvoie à d'autres que moi. Dans mon histoire, pas de temps ni de lieu où s'accrocher, qu'un désir d'entraîner le lecteur sur des sentiers singuliers ». Des passages singuliers, l'auteur nous en laisse goûter plusieurs, souvent satiriques, parfois même caustiques, comme dans l'extrait suivant : « J'ai vu déjà dans mes songes leur crémation ; j'ai senti l'odeur de leurs corps putréfiés qui se calcinent : ils sont morts mais ne le savent pas. Et ce ne sont pas des hommes que je vois lutter, mais une danse morbide de squelettes décharnés qui ne peuvent s'arrêter. »
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Lauréate du concours « Pleins yeux sur la nouvelle » (Des pas dans la neige, 2008), Valérie Forgues présente ici une nouvelle émouvante où, dans le hasard des jours, la tragédie amoureuse surgit de l'éternelle
humanité. Sa plume, habile et colorée, entraîne le lecteur avec une lucidité et une sensibilité qui laissent présager un bel avenir d'écriture. À l'automne 2007, paraissait son premier recueil de poèmes, L'autre saison (Éditions du Sablier). Elle a également publié nouvelles et poèmes dans diverses revues et collectifs. -
"Bang Bang" est une nouvelle crue, sans enjolivures, sans dissimulation. Avec un style qui va errer du côté de Bukowski, Cristina Moscini offre ici une histoire dure et par moments cynique qui n'a rien d'un conte pour enfants. Sous l'omniprésence de la violence, de la misère et du désespoir, se dessine un récit empreint d'un réalisme gênant que l'on voudrait occulter.
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Miniatures ; carnets d'un inquisiteur
Gilles Leclerc
- Éditions De Courberon
- 21 June 2012
- 9782922930498
Journal intime et enflammé "Miniatures" est un livre de feu. Dans ce qu'il appelait au quotidien ses « carnets noirs », Gilles Leclerc se livre tout entier : on y découvre la pensée en mouvement d'un écrivain. De la réflexion sur le corps à celle sur l'âme, en passant par la critique sociale virulente et l'introspection fiévreuse, il expose son intelligence curieuse, son âme angoissée et sa lucidité incisive, voire caustique. Ces textes rédigés entre 1954 et 1956, en plus de livrer un portrait sévère mais riche
d'une époque tourmentée du Québec, présentent une réflexion intéressante sur l'écriture, l'art, la religion au Québec
et de nombreux autres sujets qui sont toujours d'actualité.
Préfacé par André Major, Miniatures - titre que l'auteur avait suggéré lui-même pour ses carnets - est le premier d'une série de trois livres qui embrassera les dix-sept carnets qu'a légués l'auteur qui écrivait avant tout non pas « pour être beau, faire beau, mais pour être compris ». -
Chaque homme a son secret. Pour le narrateur de cette nouvelle, le poids du silence est trop lourd à porter. Sa révélation est-elle celle d'un fou ? D'un génie ? À vous de juger. Dans ce texte aux parfums anciens, Vincent Thibault présente une histoire qui mêle subtilement l'art à l'ésotérisme et entraîne le lecteur malgré lui dans une narration troublante.
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Charlotte est hantée par le souvenir de sa soeur Marguerite, confidente et amie, morte trop jeune, la laissant seule avec une vie qui l'embarrasse. Une vie qu'elle passe sans pouvoir s'empêcher de chercher en vain le regard de la disparue dans les yeux des femmes qu'elle croise. Jusqu'au jour où elle voit Adèle, qui, sans trop savoir pourquoi, lui rappelle sa soeur. Charlotte a retrouvé sa confidente, son amie, sa soeur. Mais, avec Adèle, le nuage qui entoure Charlotte est soufflé par des vents puissants : amitié, liberté, vagabondage, mais aussi jalousie, colère, folie... Et dans l'intensité de cette relation se trame une fatalité.
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Dans « Le fardeau de l'infamie », un homme est rattrapé par un secret qu'il garde depuis des années. Ce roman policier relate l'histoire du Docteur Mark Côté, élevé dans un quartier difficile. D'une mauvaise fréquentation de jeunesse naîtra une aventure enlevante qui entraîne un homme ordinaire dans des aventures sombres et extraordinaires. Meurtres, tromperies et suspense au menu.