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Le professeur Lidenbrock trouve un document dans lequel il apprend l'existence d'un volcan éteint dont la cheminée pourrait le conduire jusqu'au centre de la Terre. Accompagné de son neveu Axel et du guide Hans, il se rend au volcan Sneffels, en Islande, et s'engouffre dans les entrailles de la Terre. Ils ne tarderont pas à faire d'étonnantes découvertes...
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Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s'indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu'elle reproche à l'accusé d'avoir fait. C'est au lendemain d'une traversée de la place de l'Hôtel-de-Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l'exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l'écriture du Dernier Jour d'un condamné qu'il achève très rapidement. Le livre est édité en février 1829 par l'éditeur Charles Gosselin mais sans nom d'auteur. Ce n'est que 3 ans plus tard (15 mars 1832) que Victor Hugo complète sa nouvelle par une longue préface qu'il signe de son nom. À la prison de Bicêtre, un condamné à mort note heure par heure les événements d'une journée dont il apprend qu'elle sera la dernière. Il rappelle les circonstances de la sentence, puis de son emprisonnement et la raison qui le fait écrire, jusqu'au moment où il lui sera physiquement impossible de continuer. Décrivant sa cellule, détaillant la progression de la journée, évoquant d'horribles souvenirs comme le ferrement des forçats, la complainte argotique d'une jeune fille, des rêves, il en arrive au transfert à la Conciergerie.... Hugo ne donne pas son nom, ne dit presque rien sur son passé, ni pourquoi cet homme est emprisonné. Peu importe ! Ce texte est un plaidoyer contre la peine de mort, contre toutes les peines de mort, il n'a pour objet que cette mort qui apparaît dans toute son horreur inouïe et impensable, dans son inhumanité intrinsèque.
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À la fin du xixe siècle, par un froid dimanche de novembre, un garçon de quinze ans, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteurs une longue maison rouge -l'école du village-, attend la venue d'Augustin que sa mère a décidé de mettre ici en pension pour qu'il suive le cours supérieur: l'arrivée du grand Meaulnes à Sainte-Agathe va bouleverser l'enfance finissante de François...
Lorsqu'en 1913 paraît le roman d'AlainFournier, bien des thèmes qu'il met en scène -saltimbanques, fêtes enfantines, domaines mystérieux- appartiennent à la littérature passée, et le lecteur songe à Nerval et à Sylvie. Mais en dépassant le réalisme du xixe siècle pour s'établir, entre aventure et nostalgie, aux frontières du merveilleux, il ouvre à un monde d'une sensibilité toujours frémissante, et qui n'a pas vieilli. -
Michel Strogoff est un roman de Jules Verne paru en 1875 écrit spécialement pour la visite du Tsar à Paris. Ce livre fut d'ailleurs approuvé par les autorités russes avant sa parution. Ce roman décrit le périple de Michel Strogoff, courrier du tsar de Russie, de Moscou à Irkoutsk, capitale de la Sibérie orientale. Sa mission est d'avertir le frère du tsar, sans nouvelles de Moscou, de l'arrivée imminente des hordes tartares menées par le traitre Ivan Ogareff pour envahir la Sibérie. Sur cette route pleine d'obstacles, il trouvera la belle Nadia, ainsi que les journalistes européens Harry Blount et Alcide Jolivet.
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Notre-Dame de Paris relève du genre du roman historique, qui est à la mode au début du XIXe siècle, de même que la période du Moyen Âge qui suscite un intérêt nouveau de la part des écrivains et des poètes à partir des années 1820, sous l'impulsion d'auteurs comme Chateaubriand ou Madame de Staël. Mais Victor Hugo ne se considère pas comme tenu de respecter la vérité historique à tout prix et n'hésite pas à modifier le détail des faits et à resserrer l'intrigue pour faire mieux ressortir le caractère de personnages historiques comme Louis XI ou pour mettre en avant sa vision de l'Histoire. Au moment de sa parution, le roman de Hugo reçoit dans la presse française des critiques en majorité élogieuses. L'avis le plus sévère est celui du romancier Honoré de Balzac, qui écrit à Berthoud le 19 mars 183115 : « Je viens de lire Notre-Dame - ce n'est pas de M. Victor Hugo auteur de quelques bonnes odes, c'est de M. Hugo auteur d'Hernani - deux belles scènes, trois mots, le tout invraisemblable, deux descriptions, la belle et la bête, et un déluge de mauvais goût - une fable sans possibilité et par-dessus tout un ouvrage ennuyeux, vide, plein de prétention architecturale - voilà où nous mène l'amour-propre excessif. » 6 janvier 1482, jour de fête des fous. Dans la grande salle du palais de justice, on représente un mystère du poète Gringoire ; sur le parvis danse la bohémienne Esméralda. Le sonneur de Notre dame, le hideux Quasimodo essaie de l'enlever sur l'ordre de l'archidiacre Claude Frollo, mais elle est sauvée par le beau capitaine Phoebus de Chateaupers ...
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Victor Hugo commence la rédaction de son ouvrage le 21 juillet 1866, à Bruxelles et le termine deux ans plus tard, le 23 août 1868 toujours à Bruxelles3. Mais c'est en exil à Guernesey qu'il en rédige la plus grande partie. L'oeuvre se présente sous la forme de quatre volumes vendus chacun 7 francs 50 de l'époque mais un contrat passé avec l'éditeur Lacroix et un certain Panis en modifie la distribution. Au lieu de distribuer les 4 volumes simultanément - ce qui est le souhait de Victor Hugo, celui-ci échelonne la distribution sur trois jours. Le livre est un échec, le public n'est pas au rendez-vous. Victor Hugo lui-même reconnaît son échec qu'il impute d'une part aux spéculations de son éditeur mais aussi à la trop grande ambition de ses objectifs : « J'ai voulu abuser du roman. J'ai voulu en faire une épopée. J'ai voulu forcer le lecteur à penser à chaque ligne. De là une sorte de colère du public contre moi » L'Angleterre a connu, cent quarante ans avant la France, une révolution, un parlement régicide, une république et une restauration fertile en règlements de comptes. Victor Hugo a choisi ce dernier épisode pour brosser un tableau épique de l'aristocratie anglaise à travers la destinée extraordinaire de Gwynplaine, l'Homme qui Rit. A la fois roman d'aventures, exposé historique et social, drame injouable et poème visionnaire, ce roman est le plus fou de tous les romans de Hugo. C'est aussi le plus riche de toutes les obsessions de son auteur.
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Lorsque Mr Earnshaw ramène d'un voyage un enfant abandonné, Heathcliff, les réactions de ses enfants évoquent les orages qui s'abattent sur le domaine des Hauts du Hurlevent. Le fils Hindley n'accepte pas cet enfant sombre et lui fait vivre un enfer. La fille, Catherine, se lie très vite à lui, d'un amour insaisissable et fusionnel. Tous trois grandissent, dans cet amas de sentiments aussi forts qu'opposés. Heathcliff devient un homme sans scrupule, qui jure de se venger des deux hommes ayant empêché le déploiement de son amour : Hindley, le frère ennemi, et Edgar, le mari de Catherine. La destruction de ces deux familles et de leurs descendances constitue alors son seul objectif. Dans les paysages sauvages et immuables des landes du Yorkshire, les déchirements sont nombreux, et cohabitent dans une passion extrême et des tourments destructeurs...
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Claude Gueux, condamné à de la prison pour le vol d'un pain, se retrouve persécuté par un gardien de prison. La seule issue que trouve Claude Gueux à cette injustice est le meurtre de cet homme... Victor Hugo s'est déjà engagé dans le combat contre la peine de mort dans un roman précédent, Les Derniers Jours d'un condamné à mort. C'est en lisant, dans la gazette des tribunaux, le procès de Claude Gueux que Victor Hugo décide d'en écrire la vie depuis son entrée en prison jusqu'à son exécution, avant de conclure par un plaidoyer contre cette société implacable avec les victimes de la misère humaine.
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La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Cette oeuvre est considérée comme le premier roman moderne de la littérature française. L'action se déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II. Mademoiselle de Chartres, jeune fille de seize ans élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, paraît pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours, un coureur de jupons. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à laquelle sa mère, Madame de Chartres la conjure de renoncer : « ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles, quelque affreux qu'ils vous paraissent d'abord : ils seront plus doux dans les suites que les malheurs d'une galanterie ». Le roman décrit avec beaucoup de minutie les étapes du sentiment amoureux chez les trois personnages, ses effets sur leur comportement et la lutte de la princesse pour ne pas trahir les préceptes maternels.
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Suite du roman De la Terre à la Lune. Michel Ardan, Nicholl et Barbicane ont survécu à la terrible déflagration qui les a envoyés dans l'espace. Malgré la frayeur causée par un astéroïde qui manque de les pulvériser, ils fêtent dignement la réussite de leur départ. Cependant, les fantaisies de l'aventurier français n'empêchent pas l'esprit pratique et scientifique de ses compagnons américains de reprendre le dessus. Nicholl et Barbicane multiplient les observations les plus intéressantes sur la température de l'espace, la gravitation ou les effets de l'apesanteur. Mais ils constatent aussi que leur course a été déviée par leur rencontre avec le corps errant et qu'ils manqueront la Lune...
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Cette nouvelle, met en scène le récit d'un homme, Philippe de Sucy, dont l'amour sans limite pour sa bien-aimée le poussera à faire l'impossible.
Seulement, quel sera le prix de cette idylle ? Faut-il toujours s'accrocher à ses idéaux, ou est-il préférable de laisser le temps panser nos plaies ?
Honoré de Balzac montre, au travers de cette nouvelle poignante et aux descriptions glaçantes de réalisme, que l'amour véritable ne disparaît jamais. Cependant, en contraste, il démontre que la dureté de la vie et l'horreur du monde peuvent briser n'importe quelle âme, nous donnant ainsi son avis sur la question.
Découvrez comment Philippe de Sucy va s'y prendre pour récupérer celle qu'il aime, mais aussi s'il est parfois préférable en amour de choisir la résignation à l'entêtement. -
Le joueur d'échecs de Maelzel est une nouvelle écrite par Edgar Allan Poe puis traduite par Charles Baudelaire en 1864. Le Turc mécanique ou l'automate joueur d'échecs est un canular célèbre construit à la fin du XVIIIe siècle : il s'agissait d'un prétendu automate doté de la faculté de jouer aux échecs. Construit et dévoilé pour la première fois en 1770 par Johann Wolfgang von Kempelen, le mécanisme semble être en mesure de jouer contre un adversaire humain, ainsi que de résoudre le problème du cavalier, un casse-tête qui exige de déplacer un cavalier afin d'occuper une fois seulement chaque case de l'échiquier. De 1770 jusqu'à sa destruction en 1854, il a été exposé par différents propriétaires en tant qu'automate, bien que le canular ait été expliqué, après bien des soupçons, au début des années 18201. Extérieurement, il avait l'apparence d'un mannequin habillé d'une cape et d'un turban assis derrière un meuble d'érable. Le meuble possédait des portes pouvant s'ouvrir pour révéler une mécanique et des engrenages internes qui s'animaient lors de l'activation de l'automate. Extrait : L'exhibiteur roulera, si on l'exige, la machine vers n'importe quel endroit de la salle, la laissera stationner sur n'importe quel point désigné, ou même la changera plusieurs fois de place pendant la durée de la partie. La base de la caisse est assez élevée au-dessus du plancher, au moyen de roulettes ou de petits cylindres de cuivre sur lesquels on la fait mouvoir, et les spectateurs peuvent ainsi apercevoir toute la portion d'espace comprise au-dessous de l'Automate. La chaise sur laquelle repose la figure est fixe et adhérente à la caisse. Sur le plan supérieur de cette caisse est un échiquier, également adhérent. Le bras droit du Joueur d'échecs est étendu tout du long devant lui, faisant angle droit avec son corps, et appuyé dans une pose indolente, au bord de l'échiquier. La main est tournée, le dos en dessus. L'échiquier a dix-huit pouces de carré. Le bras gauche de la figure est fléchi au coude, et la main gauche tient une pipe.
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Plongez dans l'univers somptueux de la haute société parisienne du XIXe siècle et découvrez une histoire d'amour passionnée et bouleversante ! Dans "La Dame aux camélias", le célèbre écrivain Alexandre Dumas fils nous raconte l'histoire de Marguerite Gautier, la plus belle courtisane de Paris, et d'Armand Duval, un jeune homme naïf et épris de liberté. Entre ces deux êtres que tout oppose, l'amour naît et s'enflamme. Mais leur passion est soumise à de nombreux obstacles : la famille d'Armand, qui s'oppose à cette liaison, la santé fragile de Marguerite, ses dettes colossales... Et lorsque la maladie l'emporte, leur amour est-il capable de survivre au-delà de la mort ? Découvrez un roman d'une intensité rare, qui aborde des thèmes universels tels que l'amour, la liberté, la société et la mort. Laissez-vous entraîner par la plume élégante et envoûtante d'Alexandre Dumas fils, et vibrez au rythme des émotions de ces deux amants inoubliables. "La Dame aux camélias" est un classique de la littérature française, qui a inspiré de nombreuses adaptations au théâtre et au cinéma, dont la célèbre "Traviata" de Verdi. Ce livre numérique est une occasion unique de (re)découvrir cette histoire d'amour intemporelle, qui continue de fasciner les lecteurs du monde entier. Achetez-le dès maintenant et plongez dans un univers romanesque aussi passionné que bouleversant !
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Han d'Islande est un roman de jeunesse de Victor Hugo, publié en 1823.Ce roman de jeunesse de Victor Hugo a été écrit en 1821 à 19 ans. Quelque temps auparavant, il rencontre Adèle Foucher dont il tombe amoureux et avec qui il correspond en secret. Malheureusement la mère de Hugo découvre la correspondance et interdit aux jeunes gens de se voir. À la mort en 1821 de Madame Hugo, l'auteur peut renouer avec Adèle. Mais des problèmes d'argent éloignent encore le mariage. Après de longues fiançailles, le mariage a lieu en 1822 grâce à une pension accordée par Louis XVIII. C'est face à ces soucis financiers que Victor Hugo écrit Han d'Islande, qui reflète cet amour contrarié. Han d'Islande se situe dans la région de Trondheim en Norvège en 1699. Ordener Guldenlew, personnage principal, jeune homme vertueux, noble et courageux, est le fils du Vice-Roi de Norvège et amoureux d'Ethel, douce jeune fille de Schumaker, ancien Comte de Griffenfeld déshonoré par le Roi et enfermé à la forteresse de Munkholm. Seuls certains papiers, enfermés dans une cassette en fer et aux mains de Han d'Islande, pourraient sauver Schumaker et sa fille ...
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Extrait : D'ailleurs, gardez-vous de croire qu'il fût incapable de connaître les sentiments vrais, et que la passion ne fît qu'effleurer son épiderme. Il eût vendu ses chemises pour un homme qu'il connaissait à peine, et qu'à l'inspection du front et de la main il avait institué hier son ami intime. Il apportait dans les choses de l'esprit et de l'âme la contemplation oisive des natures germaniques, -- dans les choses de la passion l'ardeur rapide et volage de sa mère, -- et dans la pratique de la vie tous les travers de la vanité française. Il se fût battu en duel pour un auteur ou un artiste mort depuis deux siècles. Comme il avait été dévot avec fureur, il était athée avec passion. Il était à la fois tous les artistes qu'il avait étudiés et tous les livres qu'il avait lus, et cependant, en dépit de cette faculté comédienne, il restait profondément original. Il était toujours le doux, le fantasque, le paresseux, le terrible, le savant, l'ignorant, le débraillé, le coquet Samuel Cramer, la romantique Manuela de Monteverde. Il raffolait d'un ami comme d'une femme, aimait une femme comme un camarade. Il possédait la logique de tous les bons sentiments et la science de toutes les roueries, et néanmoins il n'a jamais réussi à rien, parce qu'il croyait trop à l'impossible. -- Quoi d'étonnant ? il était toujours en train de le concevoir.
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J'étais resté sur le pont afin de suivre tous les détails de l'embarquement. A midi et demi, les bagages étaient transbordés. Je vis là, pêle-mêle, mille colis de toutes formes, de toutes grandeurs, des caisses aussi grosses que des wagons, qui pouvaient contenir un mobilier, de petites trousses de voyage d'une élégance parfaite, des sacs aux angles capricieux, et ces malles américaines ou anglaises, si reconnaissables au luxe de leurs courroies, à leur bouclage multiple, à l'éclat de leurs cuivres, à leurs épaisses couvertures de toile sur lesquelles se détachaient deux ou trois grandes initiales brossées à travers des découpages de fer-blanc. Bientôt tout ce fouillis eut disparu dans les magasins, j'allais dire dans les gares de l'entrepont, et les derniers manoeuvres, porteurs ou guides, redescendirent sur le tender, qui déborda après avoir encrassé les pavois du Great Eastern des scories de sa fumée.
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George Sand est le pseudonyme d'Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevant, romancière, auteur dramatique, critique littéraire française, journaliste, née à Paris le 1er juillet 1804 et morte au château de Nohant-Vic le 8 juin 1876. Elle compte parmi les écrivains prolifiques avec plus de soixante-dix romans à son actif, cinquante volumes d'oeuvres diverses dont des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre et des textes politiques. À l'image de son arrière grand-mère par alliance qu'elle admire, Madame Dupin (Louise de Fontaine 1706-1799), George Sand prend la défense des femmes, prône la passion, fustige le mariage et lutte contre les préjugés d'une société conservatrice. George Sand a fait scandale par sa vie amoureuse agitée, par sa tenue vestimentaire masculine, dont elle a lancé la mode, par son pseudonyme masculin, qu'elle adopte dès 18294, et dont elle lance aussi la mode. Extrait : -- Oui, j'en suis jaloux ! s'écria Dominique en frappant du pied. Et pourquoi n'en serais-je pas jaloux ? N'est-ce pas une injustice, de la part des procurateurs, de leur donner cent ducats d'or par an, tandis que nous n'en avons que trente, nous qui travaillons depuis bientôt dix ans à l'arbre généalogique de la Vierge ? J'ose dire que ce travail énorme n'eût pu être mené à moitié, quand même les Zuccati y auraient consacré toute leur vie. Combien de mois leur faut-il pour faire seulement un pan de robe ou une main d'enfant ? Qu'on les observe un peu, et on verra ce que leur beau talent coûte à la république.
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Lorsque l'Académie voulut, au début des années 1780, publier un recueil de mémoires et sélectionna en particulier ceux de Montesquieu, son secrétaire, Lamontaigne, écrivit en tête d'un volume (828/iii) cette note où se mêlent restriction et vénération : « Quoique plusieurs de ces pièces puissent ne point paraître d'une certaine importance, le seul nom de cet homme immortel semble devoir y attacher une sorte de respect. On ne peut d'ailleurs s'empêcher d'y reconnaître assez généralement cette touche originale, cette vivacité de style dont tous ses ouvrages portent l'empreinte. » Les discours de Montesquieu sont empreints d'une noblesse ingénieuse, ils cultivent l'art de l'allusion et de la citation recherchées, puisées dans la culture antique, même si la plupart d'entre eux sont de simples rapports ; Montesquieu y prouve des connaissances assez poussées surtout en anatomie et en médecine. Le langage et la pensée sont dominés par le modèle cartésien ou postcartésien.
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Plongez au coeur d'un dialogue captivant entre Sylla et Eucrate, où les motifs profonds et les choix audacieux de Sylla pour accéder au pouvoir suprême prennent vie. Découvrez l'intrigue fascinante qui se dessine autour des proscriptions et des crimes, créant une toile complexe de pouvoir et de courage.
Cette oeuvre immersive explore les méandres de l'ambition démesurée et des décisions risquées, transportant le lecteur dans un récit où chaque goutte de sang versé devient une pierre angulaire de l'intrigue. L'extrait choisi dévoile une réflexion saisissante sur le pouvoir et l'abandon, ajoutant une dimension émotionnelle profonde à l'ensemble.
Plongez dans cette histoire riche en rebondissements, où le destin de Sylla s'entremêle avec des thèmes universels de courage, de renoncement et de prise de décision audacieuse. Une lecture incontournable pour ceux en quête d'histoires puissantes et mémorables. Commandez dès maintenant pour une plongée inoubliable dans les arcanes du pouvoir et de la bravoure ! #LittératureCaptivante #DécisionsAudacieuses #PouvoirEtIntrigue -
Un groupe de naufragés d'un millier de personnes se retrouve sur l'île Hoste, près du Cap Horn. L'homme qui les a sauvés, le Kaw-Djer, devient (ou redevient) leur dirigeant à chaque crise que subit cette population, bien qu'il soit anarchiste, «obligé d'aller à l'encontre de ses idées».Ce roman est ressenti de manière très diverse selon les lecteurs. Certains retiennent avant tout le caractère autocratique du Kaw-Djer. D'autres, à l'image de Francis Kacassin voient en Jules Verne un «défenseur de toutes les minorités opprimées en quête de leur indépendance» et résument l'opinion de Jules Verne par la devise «De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins».
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Extrait : Pendant une nuit sombre et pluvieuse de l'été de 182., un jeune lieutenant du 96e régiment en garnison à Bordeaux se retirait du café où il venait de perdre tout son argent. Il maudissait sa sottise, car il était pauvre. Il suivait en silence une des rues les plus désertes du quartier de Lormond, quand tout à coup il entendit des cris, et d'une porte qui s'ouvrit avec fracas s'échappa une personne qui vint tomber à ses pieds. L'obscurité était telle, que l'on ne pouvait juger de ce qui se passait que par le bruit. Les poursuivants, quels qu'ils fussent, s'arrêtèrent sur la porte, apparemment en entendant les pas du jeune officier.
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Découvrez l'essence enchanteresse des "Chansons pour elle" de Paul Verlaine dans cette édition spéciale enrichie d'annotations perspicaces et de définitions éclairantes. Plongez dans l'univers poétique de Verlaine, où chaque vers devient une mélodie envoûtante d'amour et de passion. Cette réédition soigneusement annotée vous guide à travers les subtilités de chaque poème, offrant une immersion enrichissante dans la poésie intemporelle. Que vous soyez un amateur de littérature classique ou un nouveau venu, laissez-vous emporter par la magie des mots de Verlaine, magnifiée par des notes expertes qui éclairent et approfondissent chaque ligne. Téléchargez dès maintenant cette édition numérique et redécouvrez la beauté intemporelle des "Chansons pour elle" de Paul Verlaine.
Pourquoi cette Réédition est la Meilleure :
Bienvenue dans l'univers raffiné de "Chansons pour elle" de Paul Verlaine, magnifiquement retravaillé pour une expérience de lecture exceptionnelle. Cette réédition va bien au-delà d'une simple redécouverte de l'oeuvre originale ; elle offre une immersion enrichissante dans l'esprit du poète.
Définitions Précises : Pour une compréhension approfondie, des définitions claires sont fournies pour les termes et expressions parfois obscurs. Cela garantit que le lecteur contemporain saisit pleinement la richesse linguistique de l'époque.
Expérience de Lecture Immersive : L'objectif est de créer une expérience de lecture immersive et accessible. La mise en page élégante et la typographie soignée font de cette réédition une oeuvre d'art littéraire, rendant hommage à la poésie exquise de Verlaine.
En somme, cette réédition de "Chansons pour elle" est bien plus qu'une redécouverte. C'est une invitation à explorer, comprendre et apprécier le génie poétique de Verlaine d'une manière nouvelle et accessible. Plongez dans cette édition et laissez-vous emporter par la beauté intemporelle des "Chansons pour elle". -
Dans la famille d'un gentilhomme campagnard de l'Ukraine naît un garçon aveugle qui, plus tard, se marie avec l'amie de son enfance et devient un musicien célèbre. « Toute l'action se passe dans l'âme du héros ; le livre n'est que le tableau du développement intellectuel et musical d'un enfant aveugle. Nous avons sous les yeux une étude purement psychologique, une étude abstraite qui risquerait d'être sèche et ennuyeuse. Et pourtant, si étrange que cela paraisse, à peine en aurez-vous lu deux lignes, que vous sentirez l'impossibilité de vous arracher à cette lecture tant que vous n'aurez pas dévoré l'ouvrage jusqu'au dernier mot. Dès la première page même, vous sentez votre âme envahie par le torrent puissant d'une poésie sans artifice...
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L'action commence en 1864. Alors que Lord et Lady Glenarvan font une excursion au large de Glasgow à bord de leur yacht, le Duncan, l'équipage pêche un requin dans le ventre duquel on découvre une bouteille de Veuve Clicquot qui contient un message de détresse en mauvais état; ce dernier indique bien le degré de latitude (37° 11') du naufrage du Britannia, mais toute indication de longitude est devenue illisible. Le jeune couple (Lord Glenarvan a 34 ans) monte une expédition pour tenter de retrouver les survivants avec l'aide du commandant John Mangles et de son second Tom Austin, un vieux loup de mer. Ils sont accompagnés par les enfants du Capitaine Grant disparu avec le Britannia, le major Mac Nabbs ainsi qu'un savant dans la lune, Jacques-Eliacin-François-Marie Paganel, secrétaire de la société de géographie de Paris, membre correspondant des sociétés de Berlin, de Bombay, de Darmstadt, de Leipzig, de Londres, de Pétersbourg, de Vienne, de New York, membre honoraire de l'institut royal géographique et ethnographique des Indes orientales, qui s'est trompé de navire au moment d'embarquer.