filter
Categories
- Littérature
- Biographie / Témoignage littéraire (13)
- Autobiographie / Mémoires / Journal intime (2)
- Témoignages (1)
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Languages
Belfond (réédition numérique FeniXX)
13 produits trouvés
-
Les Bons, les brutes et les autres
Mireille Rusinak
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- Business
- 24 August 2015
- 9782714464729
Bernard Pagezy et Claude Bébéar auraient-ils pu diriger ensemble le groupe AXA-Midi ? Quand le président de la BNP, René Thomas, part en vacances en Espagne, à quoi pense-t-il ? En vertu de quel principe de management, Yvette Chassagne débarquait-elle à l'improviste, à 7 h 30, dans certains bureaux de la compagnie, lorsqu'elle était P.-D. G. de l'UAP ? À travers les confidences recueillies auprès d'une cinquantaine de grands patrons français, Mireille Rusinak brosse le portrait de groupe d'une élite qui reste encore mystérieuse pour beaucoup. Certains d'entre eux apparaissent sous un nouveau jour. Noël Goutard, P.-D. G. de Valéo, contrairement à sa réputation, donne l'image d'une âme sensible. Olivier Lecerf, P.-D. G. de Lafarge, prône la direction collégiale, mais ne déteste pas décider seul. Quant à Alain Gomez, P.-D. G. de Thomson, il a, en dépit de ses amitiés socialistes, attaché plus d'importance aux profits qu'aucun de ses prédécesseurs. De leur enfance, jusqu'au moment tant attendu de leur consécration, l'auteur montre les ambitions, les principes aussi, dont les patrons de la banque et de l'industrie se sont inspirés pour mener leur vie, gérer leur carrière et diriger leur entreprise, qu'ils soient héritiers, managers ou ex-serviteurs de l'État. Avec une rare liberté de ton, Les bons, les brutes et les autres ont accepté de lever, sans rien dissimuler ou presque de leurs échecs, un coin du voile sur le parcours du combattant qui les a conduits là où ils sont. Et où ils espèrent rester !
-
Mémoires d'ouverture
Jean-Pierre Soisson
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- 24 August 2015
- 9782714465269
Il est rare qu'un ministre en exercice porte un regard aussi libre sur les choses et sur les gens : Jean-Pierre Soisson, ministre du Travail, mêle l'anecdote et l'analyse pour évoquer, de manière inattendue, les événements et les personnages de la Ve République. Les conseils de Michel Debré au moment de la guerre d'Algérie, le jugement d'Edgar Faure sur Mai 1968, la conquête du pouvoir par Valéry Giscard d'Estaing, le goût du maintien de l'ordre de Jacques Chirac, les contacts de Raymond Barre avec l'Élysée lors de la campagne présidentielle de 1988, telles sont quelques-unes des confidences du récit de Jean-Pierre Soisson. Mémoires d'ouverture ? Oui. De Valéry Giscard d'Estaing à François Mitterrand, la carrière de Jean-Pierre Soisson, à la gauche de la droite et à la droite de la gauche, a, en effet, été marquée par le refus de l'affrontement et le goût du risque. Témoignage exceptionnel sur la vie politique française, document sur l'art de gouverner les hommes, le livre de Jean-Pierre Soisson passionnera tous ses lecteurs, au-delà du microcosme politique.
-
Devant le verre vide qui a abrégé les souffrances de sa femme, devant le corps sans vie de celle qui, pendant plus d'un demi-siècle, a été sa compagne, un homme s'efforce de dépasser le désespoir et s'interroge sur l'amour, le bonheur et la mort. Depuis Le temps d'un soupir d'Anne Philippe, il n'a pas été publié de livre plus pudique, plus retenu, plus déchirant.
-
L'Oiseau vit de sa plume
Salim Jay
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- 17 December 2015
- 9782714465054
C'est une étrange chose que de se trouver en face d'un écrivain, dont on a lu tous les livres en se régalant à chaque page. Pour éviter à mes lecteurs l'intimidation procurée par une oeuvre sans jamais un mot de trop, on a vu que j'étais prêt à maints excédents de bagages, mais passons... Si doux qu'il me soit d'ingérer des aliments, c'est encore la littérature comme aliment de l'esprit et du coeur, qui m'aura le mieux garanti contre la fadeur de n'être jamais qu'un animal dans sa mangeoire. Je ne passe jamais devant l'Espérance, sans m'y réciter la liste des glucides, lipides et protides rameutés : avec Claude Roy, thé et confiture ; avec Pierre Bourgeade, café et croissant ; avec Michel Bernard, moult lait grenadine, et cours de cuisine poitevine pour débutant. La littérature contemporaine, j'en ferais mon garde-manger.
-
Qui n'a senti, en certaines occasions, affleurer l'invisible ? Cette expérience d'une réalité autre, sinon surnaturelle, la plupart des oeuvres en témoignent, depuis qu'il y a des hommes et qu'ils créent. Aventure, à ce niveau-là, plus sensible que spirituelle. Incertaine. Aussitôt effacée que décelée. Indécise, fluide, évanescente, au point que celui qui l'a pourtant vécue et qui ne dispose pas des secours et recours de la foi, en douterait s'il n'en avait, au moment même, tenu registre. Telles sont les notations de Claude Mauriac : captées dans son journal, parmi beaucoup d'autres de nature différente ; relativement rares, comme les événements fugitifs dont elles rendent compte, de loin en loin, mais d'une façon continue depuis 1936. Ce sont ces pages de journal, où a été piégé l'invisible à l'état de trace, que l'on trouvera ici. Réunies non pas dans leur ordre chronologique, mais selon les subtiles orchestrations familières aux lecteurs du Temps immobile. Infiltrations de l'invisible dont parlait Gabriel Marcel. Roger Gilbert-Lecomte disait, en 1928, dans Le Grand Jeu : Ce sont ces instants éternels que nous cherchons partout. Ce que Claude Mauriac, en une page de son journal, appelait, il y a plus de cinquante ans déjà, l'éternité parfois. Il n'a pas trouvé mieux pour définir, aujourd'hui encore, dans son titre, l'objet de son énigmatique, merveilleuse, et pas tout à fait illusoire, recherche.
-
Une enfance alsacienne ou Le mal de Dieu
Marcel Haedrich
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- 7 October 2016
- 9782714460936
Des millions d'hommes ont vu tomber des pommes, sans se soucier de la gravitation universelle ; des millions d'autres ont lu et relu la Bible, sans y découvrir, comme moi, le processus de la formation mentale de Dieu. Pourquoi m'est-ce arrivé à moi ? J'étais imprégné de Dieu en naissant ; mon père m'avait transmis la crainte de Dieu ; ma mère, l'amour de Dieu. À Munster, les saintes paroles - à l'école du dimanche et au temple - ont parachevé le conditionnement biblique dont j'avais hérité en quelque sorte. Mais la vie allait fournir à mon ordinateur cortexien des informations contradictoires, qui devaient en modifier de nombreuses connections et réseaux. J'ai commencé à établir un parallélisme, entre la révolution de notre temps, et celle que nous rapporte la Bible. La foi n'est plus de croire, mais de comprendre. On m'a si mal enseigné la Bible durant mon enfance alsacienne, que je ne reconnaissais plus l'image de Dieu, image que l'on m'a imposée et qui n'était déjà plus la sienne. Pour nous tous, il s'agit de retrouver Dieu dans ses nouvelles dimensions ; à chacun d'y contribuer.
-
Salem Kacet, citoyen français, cardiologue au CHU de Lille et adjoint au maire de Roubaix, aime et sert son pays : la France. À l'heure où celle-ci doute d'elle-même, où les hommes politiques de tout bord prennent position sur l'immigration, il est bon d'écouter le témoignage de cet immigré, ni clandestin ni indésirable, qui nous parle des valeurs et des idéaux de la France. Dans ce livre, Salem Kacet évoque son parcours, depuis un jour de 1959 où le petit berger kabyle qu'il était, vint rejoindre son père à Paris, jusqu'à aujourd'hui. Soit plus de trente années de sa vie, formatrices et riches d'enseignement. Ici, le regroupement familial, le retour au pays, l'intégration ne sont pas de vains mots. Salem Kacet en a vécu la réalité, heureuse ou douloureuse : il en a retiré des convictions, des enthousiasmes, des colères. Mais le parcours de Salem Kacet est, aussi, celui d'un homme qui n'a pas hésité à s'engager pour défendre ses convictions, que ce soit en tant que membre de la commission du code de la nationalité, sur le petit écran face à Jean-Marie Le Pen, ou sur le terrain avec les jeunes de Roubaix. Alors, droit du sol ou droit du sang ? Il semble que la réponse soit claire...
-
L'aztèque tient son nom d'aztèque d'une gélule blanche scellée d'un ruban bleu, l'AZT, qu'il lui faut avaler toutes les quatre heures. L'aztèque n'est donc pas le représentant d'une civilisation disparue des Amériques, quoiqu'il soit, lui-même, une espèce en voie de disparition ; sa nature profonde est même d'être voué à une disparition rapide. Néanmoins, les aztèques sont de plus en plus nombreux. (...) Comment reconnaître un aztèque ? L'aztèque a deux bras, deux jambes, une tête et un corps plutôt maigres. Il a deux yeux, luisant d'une lueur sombre et bizarre. Il porte souvent des vêtements un peu trop grands. L'aztèque est seul. Non qu'il soit solitaire, mais il est toujours beaucoup plus seul qu'il n'en a l'air. (...) L'aztèque fait des cauchemars. Il rêve d'appartements désertés, de portes closes, de gens qui s'éloignent, qui rétrécissent, qui disparaissent. (...) Le vieil aztèque se blinde. Il attend sereinement des nouvelles du sperme de lézard, de la cyclosporine, de la molécule DDI, des mycoplasmes, ou de la racine de concombre chinois. L'aztèque vit dans une lumière crue.
-
Les chevaux de l'Eldorado
Jacqueline Ripart
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- 22 May 2020
- 9782714490483
Jacqueline Ripart est de ces femmes qui vont au bout de leur passion, contre vents et marées. Sa folie à elle c'est le cheval, c'est aussi la découverte de paysages grandioses, de contrées encore mystérieuses et inhospitalières. Elle nous emmène aujourd'hui en Colombie, pour y découvrir l'univers méconnu des chevaux criollos. Farouches descendants des montures qu'enfourchaient, il y a cinq siècles, les premiers Conquistadores, ces animaux fascinants ont su s'adapter aux conditions extrêmes de la Cordillère des Andes, de la jungle amazonienne, ou des déserts de sable et de sel. Jacqueline raconte comment, grâce au cheval, elle a réussi à faire sa place dans cet univers masculin. Elle nous parle, avec force, des fiers Vaqueros des haciendas, des Indiens de la Guajira, des éleveurs de chevaux de luxe, passant - parfois sans transition - d'un littoral idyllique à une zone de conflit armé... C'est en participant à leur aventure quotidienne qu'elle découvre l'âme d'un peuple, dont les emportements lui sautent au visage, un Eldorado à l'image de ses merveilleux chevaux.
-
Saint-Flour : l'exil terrestre
Philippe Mignaval
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- 25 September 2015
- 9782714467935
Un ange étreignant une croix de pierre veille sur le rectangle réservé à ma famille. La croix est plutôt lourde et superflue, mais un beau lichen jaune recouvre le céleste volatile. Là-haut, en arrière-plan, le rempart nord couronne la falaise de basalte. Ma grand-mère quittait ce jour-là les régions respirables dans une boîte vernie. Des vêtements épais défendaient la chaleur des corps vivants. Ici, dans ma ville d'origine, la ville la plus dénigrée de France, il fait toujours un froid de ce genre. Je me sentais chez moi... Ainsi commence le voyage poétique de Philippe Mignaval. Voyage sur les terres d'Auvergne, décrites avec chaleur, mais aussi voyage dans les souvenirs d'une époque révolue, celle où la campagne n'avait pas été transformée en conservatoire d'un ruralisme lyophilisé, aseptisé, où la province était autre chose qu'un sujet de plaisanterie pour des Parisiens condescendants - auxquels on renvoie ici la balle. Voyage dans la mémoire, celle de l'exil du pays natal, mais aussi celle d'un exil plus profond, un arrachement auquel personne n'échappe, l'exil de notre enfance. L'exil absolu. Celui qui fait, de notre condition humaine, un déchirement infini, auquel Philippe Mignaval nous convie à répondre par l'ironie, mais aussi par la tendresse.
-
La France des mouchards
Sébastien Fontenelle
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- Documents
- 24 August 2015
- 9782714467966
La délation, aujourd'hui, est plus que jamais une affaire d'État ! Du corbeau de province aux indics, des partis politiques aux administrations, en passant par les R.G., les mouchards se portent bien en France, merci. Documents confidentiels à l'appui, l'auteur a constitué un dossier brûlant qui dénonce, avec force, une pratique tolérée, voire parfois commanditée, par la justice, les douanes, la police, le fisc... Une enquête extrêmement minutieuse, et un véritable cri d'alarme : la délation serait-elle en passe de devenir un système à part entière, cautionné par un État omnipotent, et désormais relayé par les nouvelles technologies ? Des révélations choc, des preuves explosives, pour étayer l'analyse inédite d'une situation qui fait froid dans le dos...
-
Romain Gary / Émile Ajar
Catonne Jean-Marie
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- Les Dossiers Belfond
- 26 November 2018
- 9782714465535
Pourquoi la double identité? Pourquoi deux fois le prix Goncourt? Pourquoi le suicide? Toute l'oeuvre de cet auteur déroutant a été interrogée par J.M. Catonné. Un film : Faux et usage de faux, inspiré de l'affaire Gary-Ajar, est programmé pour la rentrée. « Copyright Electre »
-
Elisabeth Dmitrieff, aristocrate et pétroleuse
Sylvie Braibant
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- 17 June 2020
- 9782714489975
Oratrice brillante, aristocrate fortunée, révolutionnaire à l'élégance raffinée, Elisabeth Dmitrieff est de ces femmes qui, au siècle dernier, décident très tôt de diriger leur propre vie. Cette fille de la Russie profonde, née en 1850, s'est ainsi forgé un destin hors des traditions de son époque et de son pays. À dix-sept ans, elle épouse un colonel de la garde impériale, et prend prétexte de son voyage de noces pour rencontrer, à Genève, ses compatriotes révolutionnaires en exil... À vingt ans, elle est à Londres et dialogue avec Karl Marx, qui l'enverra à Paris comme « correspondante ». Elle met alors son intelligence, son charisme, mais aussi son argent, au service de la Commune de Paris... Veuve à un âge où d'autres ne sont pas encore fiancées, rentrée en Russie, celle qui fut la première « pétroleuse » - elle avait demandé aux femmes de Paris d'acheter « du pétrole et des armes » - tombe amoureuse. Par passion pour un aventurier gentleman-cambrioleur et chef de bande, elle s'exile en Sibérie où ce dernier est déporté. Elle y passera vingt ans... Rentrée à Moscou, elle y finira sa vie, toujours dans sa manière, celle d'une héroïne de roman...