L'été de cristal se situe en 1936, alors que l'on "nettoie" Berlin en prévision des J.O. Bernie Gunther, ancien membre de la Kripo devenu détective privé n'est pas sans ressembler à Philip Marlowe, le modèle culte de tous les privés. Son enquête (meurtre de la fille d'un industriel et disparition de bijoux) le conduit à se laisser interner au camp de Dachau... Dans La pâle figure, situé en 1938, il est victime d'un chantage de Heydrich qui veut le contraindre à réintégrer la police. Un requiem allemand, le plus noir des trois, commence en 1947 dans Berlin en ruine et divisé en secteurs d'occupation. La Trilogie berlinoise, tout en respectant les règles du genre policier, offre un portrait glaçant et puissamment évocateur de Berlin au quotidien à l'ère nazie.Traduit de l'anglais par Gilles Berton (traduction entièrement révisée)
En tant qu'ex-flic, John Rebus est un habitué des tribunaux. Mais pour la première fois, sa place est sur le banc des accusés. Aurait-il commis l'incartade de trop ? C'est ce qu'a laissé entendre Francis Haggard, un policier accusé de violences conjugales qui s'est choisi une défense un peu particulière... il justifie ses actes par la brutalité de son métier, et, pour prouver ses dires, il est prêt à faire tomber avec lui la moitié des forces de l'ordre d'Édimbourg. Une affaire aux répercussions évidentes, que les hautes instances de la police écossaise souhaitent étouffer au plus vite. Et c'est de l'inspectrice Siobhan Clarke, chargée de diriger l'enquête, que tout semble dépendre. Sa loyauté ira-t-elle à ses collègues, ou aux civils ?
Véritable acmé de la série, Un cimetière dans le coeur plonge dans les rouages du système policier pour en révéler les plus noirs secrets. Un roman diablement contemporain.
Traduit de l'anglais (Écosse) par Fabienne Gondrand
La terre est riche. Parfois, elle y pense - la terre est riche. La boue est riche. Elle pas. Tout le monde est plus riche qu'elle, même la boue.
Catherine est pauvre. Catherine fait sale. Catherine parle peu. Elle n'aime pas qu'on la regarde - les filles qu'on regarde ont des problèmes. Au Domaine où elle travaille, elle fait partie de ces invisibles grâce à qui la ferme tourne.
Monsieur, lui, est riche. Il ne parle pas non plus - il crache ou il tonne. Et il possède tout.
Mais quand sa petite-fille de quatre ans disparaît ce jour glacé de février 1969, Monsieur perd quelque chose d'une valeur inestimable.
Dans cette vallée de champs de betterave, où chaque homme et chaque femme est employé de près ou de loin par Monsieur, deux flics parisiens débarquent alors pour mener l'enquête avec les gendarmes.
Car une demande de rançon tombe. Mais le village entier semble englué dans le silence et les non-dits. Personne ne veut d'ennuis avec Monsieur. À commencer par Catherine. Catherine qui se fait plus discrète et plus invisible encore. Catherine qui est la dernière à avoir vu la petite.
Après le succès de La Deuxième Femme, Louise Mey revient avec un roman noir éblouissant qui raconte comment une disparition peut révéler les pires jeux de pouvoirs, entre violences de classe et violences de genre.
Ils sont dix à avoir reçu l'invitation : des vacances d'été sur l'île du Soldat ! Voilà une proposition à laquelle personne ne saurait résister. Non seulement c'est gratuit, mais l'île a tant fait parler d'elle ! Chacun se demande qui est son nouveau propriétaire - une star d'Hollywood, un milliardaire américain, ou l'Amirauté britannique qui s'y livrerait à des expériences ultrasecrètes ? Aussi, sans vraiment connaître leur hôte, ils accourent volontiers : le médecin, le play-boy, la jeune prof de gym, le juge à la retraite, le général bardé de décorations, la vieille fille grincheuse, le sémillant capitaine, le majordome et sa femme, et M. Davis qui ne s'appelle pas Davis... Qu'ont-ils donc en commun ?
À l'arrivée, cela dit, un par un, tous connaîtront le même sort...
Traduction révisée de Gérard de Chergé
1498, Charles VIII trouve la mort. Tout laisse penser à un accident : la tête du roi aurait violemment heurté un linteau de pierre et il aurait succombé à ses blessures.
Le jeune seigneur de Bayard est pourtant bien convaincu que les choses ne se sont pas déroulées de la sorte et soupçonne un assassinat. Épris de justice, il demande l'accord du premier chambellan, Philippe de Commynes, ainsi que la bénédiction d'Anne de Bretagne pour éclaircir cette affaire. Mais il doit faire vite, avant que ne se dispute la succession au trône, et il s'engage, avec le soutien de la belle Héloïse Sanglar, dans une véritable lutte contre le temps.
Histoires d'amour, conspirations machiavéliques pour l'obtention du pouvoir, le tout sur fond de tensions franco-italiennes, Éric Fouassier nous fait revivre cette époque charnière à l'aube de la Renaissance à travers le regard du futur chevalier sans peur et sans reproches.
C'est par le plus grand des hasards qu'Hercule Poirot se trouve à bord de l'Orient-Express, ce train de luxe qui traverse l'Europe. Alors qu'il est bloqué par la neige au coeur de la Yougoslavie, on découvre, dans l'une des voitures, le corps d'un Américain sauvagement assassiné à coups de couteau. Le meurtrier se cache forcément parmi les voyageurs... Mais qui de la princesse russe, de l'Américaine fantasque, de ce couple de Hongrois distingués, de ce colonel de retour des Indes ou même du propre secrétaire de la victime a bien pu commettre pareil crime ? L'enquête commence, elle sera l'une des plus difficiles et des plus délicates pour notre célèbre détective belge.
Traduit de l'anglais par Jean-Marc Mendel
Cinq heures du matin. John Rebus, pourtant à la retraite, est tiré du lit par la sonnerie stridente du téléphone. À l'autre bout, sa fille, paniquée, lui apprend que son compagnon Keith a disparu. De son côté, la police écossaise découvre le corps d'un riche étudiant saoudien, Salman bin Mahmoud, assassiné sur un vulgaire parking d'Édimbourg. Et les pistes, aussi ténues que variées, ne semblent mener nulle part.Tandis que Siobhan Clarke et l'inspecteur Malcom Fox tentent de démêler cette enquête, John Rebus roule vers le petit village côtier plein de secrets où réside sa fille. Mais, pour la toute première fois, la vérité est peut-être ce qu'il désire le moins découvrir...Un polar palpitant qui, sur toile de fond de Brexit, aborde la violence de la xénophobie et explore la puissance et la fragilité des liens familiaux. Un livre qui se dévore, pimenté à souhait par l'humour de cet enquêteur atypique.Traduit de l'anglais (Écosse) par Fabienne Gondrand« Ian Rankin : le meilleur du polar écossais. » Rolling Stone« Ian Rankin est un génie. » Lee Child« Le meilleur de Rankin, le meilleur de Rebus, quand la fiction rejoint l'actualité et transcende tous les genres et toutes les attentes. » Michael Connelly« Rebus est l'un des plus grands personnages de romans policiers anglais : aux côtés de Sherlock Holmes et de Hercule Poirot. » Daily Mail
« Depuis vingt ans, il est l'un des fers de lance du roman noir d'outre-Manche. Aussi apprécié chez lui que chez nous, l'Ecossais livre une nouvelle enquête qui promet un beau début d'année aux passionnés du genre. » Hubert Artus, Le Parisien Week-end
Quand Albert, jeune orphelin solitaire, rencontre Solange, fille de tondue abandonnée à elle-même, c'est l'étincelle qui allume la mèche. Seuls contre tous, ils deviennent inséparables, et transforment leur amitié en un amour féroce.
Leur premier crime est un accident.
Le deuxième, un calcul.
Les étés meurtriers se suivent sans se ressembler, sur le rythme mélancolique d'une chanson disco des années 1970. Mais la mèche se consume... et leur drôle de danse ne peut pas durer éternellement.
Un roman aussi ténébreux que romantique, tellement troublant qu'il en devient fascinant, à l'image de ses deux anti-héros torturés. Ces Papillons noirs n'ont pas fini de vous hanter.
Quoi de plus reposant et tranquille qu'une croisière sur le Nil ? Sauf quand on retrouve à bord le corps de Linnet Ridgeway tuée d'une balle dans la tête. Linnet avait tout pour elle, jeunesse, beauté, richesse... tout jusqu'à ce qu'elle perde la vie !
Parmi les passagers, tous sous le choc d'une telle découverte, se trouve Hercule Poirot, le célèbre détective belge. Et voilà que justement il se rappelle avoir entendu un homme dire au sujet de la victime : « Je poserai bien mon pistolet contre sa tempe et j'appuierai sur la gâchette ! »
Mais cette déclaration, si elle n'est pas anodine, ne fait pas forcément de vous le coupable idéal.
Traduit de l'anglais par Élise Champon et Robert Nobret
Elizabeth, Joyce, Ibrahim et Ron frisent peut-être les quatre-vingts ans, mais ils en ont encore sous le capot. Leur passe-temps favori :s'atteler, tous les jeudis, à de vieilles affaires de meurtre, pour en découvrir le fin mot là où la police a échoué. Jusqu'à ce que la nouvelleleur parvienne : Tony Curran, l'associé du directeur de leur village de retraite, vient d'être retrouvé assassiné dans sa cuisine.Ni une ni deux, Elizabeth convoque ses trois acolytes et lance le Murder Club sur la piste du tueur, toutes cannes dehors. Quand il s'agit de tromper l'ennui et de doubler la police, il ne faut jamais sous-estimer les personnes âgées.Succès absolu au Royaume-Uni, Le Murder Club du jeudi nous entraîne, entre rires et larmes, sur le chemin tortueux des émotions humaines. Car, derrière le meurtre, ce sont les liens tissés au crépuscule d'une vie que Richard Osman dépeint avec brio.Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Sophie Alibert« Tellement drôle et intelligent ! Atrocement bien. » Ian Rankin« Les fans de romans policiers vont être captivés. » Harlan Coben« Un polar formidable ! » France Info TV« Richard Osman livre un premier roman savoureux. Déjà un phénomène au Royaume - Uni. » Point de vue« Un régal de suspense. » ELLE« Acide, raffiné et hilarant ! » Biba
« On craque pour ce quatuor d'octogénaires dans ce cosy crime espiègle, déjà carton en librairie outre-Manche. » Télé Poche
« Un cosy mystery irrésistible qui mettra vos méninges à rude épreuve. » France Dimanche
Roger Ackroyd se confie un soir à son vieil ami le Dr Sheppard. Il était sur le point d'épouser une jeune et richissime veuve quand celle-ci a mis fin à ses jours pour échapper à un affreux chantage. Dans sa dernière lettre elle lui livre un secret terrible : un an plus tôt, elle a assassiné son mari !
Traduit de l'anglais par Françoise Jamoul
Au palmarès des motifs de crime les plus récurrents figurent en bonne place les amants éconduits, triangles amoureux désespérés et autres liaisons funestes. Car tous les détectives vous le diront : l'amour révèle ce qu'il y a de meilleur en l'homme... comme ce qu'il y a de pire.
Dans ces treize nouvelles policières, Agatha Christie ébauche de sa plume sagace l'immense toile des sentiments humains, explorant tour à tour l'amour silencieux et celui qui s'expose en place publique, l'euphorie, l'ennui ou la jalousie.
Un recueil incontournable pour tous les amoureux de cosy mystery, qui rassemble les plus brillants enquêteurs de la reine du crime - d'Hercule Poirot à Miss Marple, sans oublier les plus atypiques, tels que le futé Parker Pyne ou le mystérieux Harley Quinn.
Traductions entièrement révisées
Saint-Pétersbourg, 1993 : Bureau central des enquêtes. Le colonel Grouchko, spécialiste de la lutte contre le crime organisé, reçoit son homologue moscovite pour lui montrer l'efficacité de ses méthodes d'investigation. Mais à peine celui-ci arrivé, ils reçoivent l'ordre d'en quêter sur l'assassinat d'un journaliste vedette, fouineur invétéré connu pour les scandales et trafics qu'il a révélés. Malgré les moyens limités d'une police à l'ancienne, Grouchko et son acolyte se penchent sans attendre sur cette affaire qui les confrontera aussi bien à la corruption et aux pots-de-vin qu'aux pénuries en tout genre, aux mafiosi géorgiens, et même, à de la viande avariée.
Une plongée détonante dans la Russie postsoviétique, doublée d'une description saisissante et pleine d'humour - Philip Kerr oblige - des conditions de vie difficiles des années 1990.
Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Laurence Kiefé
« Ma première cigarette avait le parfum des intestins qui se vident et
le goût du rouge à lèvres de ma mère. »
Côte ouest américaine, années 1990.
Cyrus Colfer a quinze ans quand il allume sa première cigarette.
Sa mère, ancienne prostituée devenue proxénète, lui a pourtant toujours formellement interdit de fumer. Un peu de cendre tombe sur le carrelage, il frissonne en imaginant sa réaction quand elle rentrera à la maison.
Mais sa mère est déjà là. Allongée sur le sol, en jupe trop courte, comme d'habitude. Le corps lardé de vingt-huit coups de couteau.
Dix ans plus tard, Cyrus Colfer n'a pas perdu le goût de fumer. Et il est prêt à retrouver l'assassin de sa mère. À un détail près : il est devenu aveugle.
Un roman qui nous plonge dans les tribulations d'un antihéros plein de ressources, contrairement aux apparences.
Une série de vols, en apparence anodins, conduit Hercule Poirot à mener l'enquête au sein de la pension Vanilos. Cette pension pour étudiants est un joyeux mélange d'individus cosmopolites. Mais la liste hétéroclite des objets dérobés : une boîte de chocolat, un stéthoscope, un vieux pantalon de flanelle, un sac à dos hors d'âge et même une bague en diamants repêchée dans une soupière, intrigue Poirot. Son intuition lui dit que derrière ces petits délits, quelque chose d'autrement plus sérieux se trame. Sinon, pourquoi les pensionnaires de Mrs Hubbard auraient-ils tous l'air si inquiet ?
Traduit de l'anglais par Jean-Marc Mendel
1933. Si on lui avait annoncé qu'elle renoncerait à sa lune de miel pour embarquer sur une croisière de luxe en Europe, Louisa Cannon ne l'aurait pas cru. C'était compter sans l'appel du devoir, surgi sous les traits d'un mystérieux homme à la solde des services secrets anglais.
En ces temps d'inquiétude politique, ni la relation extra conjugale de Diana Mitford avec un agitateur notoire ni le soutien véhément de sa soeur Unity pour Hitler ne passent inaperçus, et Louisa, par sa position d'ancienne chaperonne des deux soeurs, est apparemment la personne idéale pour les espionner. Seulement, lorsqu'elle s'est résolue à endosser ce rôle inconfortable, Louisa était loin d'imaginer la tournure funeste qu'allait prendre son voyage...
Plus que jamais, fiction et réalité se mêlent sous la plume virevoltante de Jessica Fellowes, qui retrace des années d'audace et de doutes, des intrigues politiques autant que personnelles, des femmes auréolées de splendeur comme de scandale.
Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Valérie Rosier
« Étude de moeurs, chronique historique basculant vers le thriller, mélange de personnages historiques et fictifs, c'est un roman à énigmes passionnant et plus complexe qu'il n'y paraît. » Télé Z
Rachel Argyle, une riche philanthrope, est assassinée dans sa propriété familiale. Son fils adoptif, Jack, est arrêté mais clame son innocence.
Dix-huit mois plus tard, le Docteur Calgary arrive chez les Argyle. Le scientifique dévoile qu'il a un alibi qui permettrait d'innocenter Jack. Mais Jack est mort en prison avant que l'affaire ne soit jugée, et la famille Argyle est réticente à faire remonter à la surface les secrets du passé.
Ni Léo, le veuf de Rachel, sur le point de se remarier avec sa secrétaire, ni aucun des autres enfants adoptifs de Rachel, Mary, Tina ou Hester, ne souhaitent rouvrir ce difficile chapitre.
Cependant, les conséquences dramatiques de la version de Calgary ne peuvent être ignorées. Car si Jack Argyle n'a pas tué sa mère, quelqu'un d'autre l'a bien fait...
Tuppence et Tommy Beresford, de vieux amis démobilisés après la Première Guerre mondiale, se voient tous deux mêlés à une affaire délicate : des papiers sont en cavale, qui compromettent l'ordre social établi au Royaume-Uni. Leur adversaire : un certain Monsieur Brown, la pièce maîtresse du jeu. Mais voilà ! personne n'est capable de se rappeler quoi que ce soit de Monsieur Brown, pas même son visage. La description qu'on donne invariablement de lui, c'est qu'il ressemble à tout le monde...
Véritable jeu de piste sur toile de fond politique, Monsieur Brown est le second roman d'Agatha Christie, et le premier à mettre en scène le célèbre duo d'enquêteurs, Tuppence et Tommy Beresford, les as du contre-espionnage.
Traduction révisée d'Albine Vigroux
Le colonel Bentry a toutes les raisons d'être contrarié. On le tire de son sommeil pour lui faire constater un désagrément terrible : une femme, inconnue et vêtue de la manière la plus vulgaire qui soit, a été trouvée étranglée dans la bibliothèque de son manoir. Heureusement, la demeure des Bentry est voisine de Saint-Mary-Mead, le village de Miss Marple...
Dans son autobiographie, Agatha Christie déclarait que le premier chapitre de ce roman, écrit en 1942, représentait pour elle l'aboutissement de son art.
Traduit de l'anglais par Jean-Michel Alamagny
Au coeur des montagnes sauvages des Rocheuses, Allison lutte pour sa survie. Unique rescapée d'un crash, blessée, elle fuit la carcasse fumante de l'avion, abandonnant derrière elle le corps inerte de son fiancé. Persuadée d'être traquée, c'est en réalité toute forme de vie qu'elle fuit désespérément.À dix États de là, sa mère, Maggie, refuse de croire à son décès. Alors que ses proches l'incitent à faire son deuil, elle décide de mener sa propre enquête. Mais les deux femmes avaient coupé les ponts depuis deux ans et, au fil de ses recherches, c'est une étrangère que Maggie découvre. Allison s'est construit une vie de rêve, mais à quel prix ? Maggie saura-t-elle comprendre la vérité à temps pour la sauver ?Il y a tant de façons de mourir est un thriller addictif qui dessine le portrait de deux femmes prêtes à tout pour protéger les êtres qui leur sont chers. Une ode somptueuse à la puissance du lien entre une mère et sa fille.Traduit de l'anglais par Sabine Porte« Un thriller complètement addictif » Le Soir magazine« Drôle d'histoire que celle-ci, aussi angoissante que déroutante, aux personnages attachants et dont le suspense se maintiendra jusqu'à la toute fin ! » Le Dauphiné Libéré« Vous cherchez un roman qui vous happe et ne vous lâche plus ? Courez chez votre libraire pour vous procurer ce bijou de suspense haletant qui explore la complexité des rapports mère-fille. Frissons garantis. » Do it in Paris« Frissons garantis avec ce thriller haletant, qui explore les relations mère-fille. » Télé 7 jours
Hervé est un homme ordinaire. Un voisin banal.Un gentil mari sans histoires. Un retraité de soixante trois ans qui, pour tuer l'ennui, épie les autres depuis sa fenêtre ou erre dans les rues tranquilles d'Alfortville avec son chien, Billy. Et passe peut-être parfois une tête au Perroquet, le bistrot du coin.Un jour, de nouveaux voisins emménagent au dessus de chez lui. Jeunes, beaux, riches, avec de magnifiques enfants. Ils sont tout ce qu'il n'est pas.Ils ont tout ce qu'il n'a plus. Si sa femme voit là une opportunité de se faire de nouveaux amis, lui les déteste immédiatement.« Quand devient-on un monstre ? C'est quoi, un monstre ? » se demande Hervé. Lorsque l'on se pose la question, c'est qu'il est déjà trop tard.On ne connaît pas nos voisins. Ni ceux qui partagent nos vies. Pas même cette personne là, dans le reflet du miroir. Un premier roman noir magistral, qui brosse le portrait d'un homme ordinaire et de sa descente aux enfers.« La révélation d'une vraie nouvelle plume. » Livres Hebdo
« Le texte est ainsi d'une grande puissance dramatique sans jamais forcer le trait. Les mots sont comptés, l'expression sobre, le regard à distance. Sa force vient de sa précision, celle de l'entomologiste qui observe à la loupe un fait divers ordinaire. Et l'érige en tragédie. » France Inter
Si le monde étudiant peut s'avérer sans pitié, Jessie Ryan n'en a jamais souffert : elle est de ceux qui font l'unanimité sans même avoir besoin d'essayer. Lorsqu'on retrouve son corps dans une benne à ordures, quelques jours après sa disparition, il n'y a donc personne à soupçonner. Jessie est une victime de plus à qui on ne rendra pas justice. Mais son grand-père est un ancien haut gradé de la police de l'État, alors celle-ci reforme en urgence une nouvelle équipe, et les médias, attirés par l'odeur du scandale, accourent.
Dépêchée sur cette affaire délicate, l'inspectrice Sarah Pribek voit les interrogatoires se succéder sans résultat. Jusqu'à cet homme, rencontré lors d'un entretien de routine. Cet homme et sa peur viscérale des femmes. Sarah en est sûre : elle tient son meurtrier.
Sauf que les preuves qui s'accumulent contre lui ne sont pas recevables et que, pendant ce temps, une seconde victime est découverte... Pugnace et intuitive, Sarah se lance dans une traque obsessive, résolue à faire cesser ces meurtres.
Jodi Compton, finaliste du Grand Prix des lectrices de ELLE pour son premier roman, La 37e Heure, nous offre ici un thriller psychologique acéré, qui nous plonge dans une Amérique immense et gelée, où disparaître est effroyablement facile.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Valérie Rosier
Roger Blanc, capitaine dans une gendarmerie parisienne et promis à un brillant avenir, voit sa carrière brusquement ruinée lorsqu'il se retrouve muté à Gadet, au fin fond de la Provence. Et non content de l'évincer, le secrétaire d'État l'a mis en garde : Blanc doit faire profil bas, et cesser de mettre son nez dans les affaires des hauts politiques.
Ce poste promet pourtant d'être moins ennuyeux qu'il n'y paraît, car un corps calciné et troué de balles de kalachnikov vient d'être retrouvé dans un dépôt d'ordures. Une enquête en apparence simple, et une chance pour le capitaine de redorer son blason. Mais ses découvertes risquent bien de fâcher les notables qui règnent en maître sur la région...
Après avoir brillamment dépeint les ruines de Hambourg, c'est sous le soleil de Provence Que nous entraîne l'auteur à succès de La Trilogie hambourgeoise, décor idyllique qui cache néanmoins une violence funeste et insoupçonnée.
Traduit de l'allemand par Georges Sturm
La nouvelle Trois souris... est un huis clos fabuleux qui fut également transposée en pièce de théâtre sous le titre La Souricière - succès international qui tient l'affiche sans interruption depuis plus de cinquante ans.
Toujours inédit en Angleterre, c'est la première fois que sera publié en français le recueil dans sa version originale, qui réunit neuf nouvelles mettant en scène Hercule Poirot, Miss Marple ou encore Harley Quinn.
Mêlant horreur, stupeur mais aussi beaucoup d'humour, la reine du crime prouve, une fois encore, qu'elle n'a pas son pareil pour nous inquiéter et nous surprendre.
Traduction révisée de Robert Nobret