Découvrez ou redécouvrez Les quatre accords toltèques, et prenez comme des millions de lecteurs en France et à travers le monde, la voie de la liberté personnelle.
Dans ce livre, Don Miguel révèle la source des croyances limitatrices qui nous privent de joie et créent des souffrances inutiles. Il montre en des termes très simples comment on peut se libérer du conditionnement collectif - le "rêve de la planète", basé sur la peur - afin de retrouver la dimension d'amour inconditionnel qui est à notre origine et constitue le fondement des enseignements toltèques que Castenada fut le premier à faire découvrir au grand public.
Don Miguel révèle ici 4 clés simples pour transformer sa vie et ses relations, tirées de la sagesse toltèque. Leur application au quotidien permet de transformer rapidement notre vie en une expérience de liberté, de vrai bonheur et d'amour.
Les quatre accords toltèques :
1 - Que ta parole soit impeccable ;
2 - Ne réagis à rien de façon personnelle ;
3 - Ne fais aucune supposition ;
4 - Fais toujours de ton mieux.
Nouvelle édition tant attendue en format poche de ce best-seller !
750'000 exemplaires vendus en France de ce texte de référence en développement personnel. UN ÉVÉNEMENT !
Pressentant l'imminence d'un cataclysme planétaire, sept sages venus des quatre coins du monde se réunissent à Toulanka, monastère perdu des montagnes tibétaines, pour transmettre à Tenzin et Natina, deux jeunes adolescents, les clés de la sagesse universelle. Au-delà des divergences culturelles et historiques de leurs traditions respectives, ils s'appuient sur leur expérience personnelle et se savent inspirés par ce que les philosophes de l'Antiquité appellent l'" Âme du monde " : la force bienveillante qui maintient l'harmonie de l'univers.Leur message répond aux questions essentielles : quel est le sens de mon existence ? Comment réussir ma vie et être heureux ? Comment harmoniser les exigences de mon corps et celles de mon esprit ? Comment apprendre à me connaître et à réaliser mon potentiel créatif ? Comment passer de la peur à l' amour et contribuer à la transformation du monde ?Loin des croyances dogmatiques, ils ouvrent le chemin simple et concret d'un humanisme spirituel qui aide à vivre.Cette édition richement illustrée d'aquarelles d' Alexis Chabert vient couronner le succès de ce conte initiatique lumineux qui a déjà touché des centaines de milliers de lecteurs.
"Croire en Dieu est pour un homme la décision intellectuelle la plus importante de sa vie. Faire le choix de croire implique donc de le faire en connaissance de cause. Mais est-ce toujours le cas ?"
Pierre Jourde
Des milliards d'hommes croient en un être suprême. Ils adhèrent à des dogmes compliqués. Ils obéissent à des prescriptions qui réglementent leur nourriture, leur habillement, leur sexualité. Pour eux, ce qu'ils croient est absolu. Pourtant, l'existence de cet être n'est pas évidente. Il faut donc supposer que les croyants y ont réfléchi. Ils ont examiné ce qui pouvait prouver l'existence de Dieu, ont confronté ce qu'ils croient à ce que la science nous dit. En fait, on est étonné de constater que ce n'est pas le cas. On croit parce que la majorité des gens, dans son pays, dans son milieu, dans sa famille croient. Mais alors, comment une telle croyance peut-elle prétendre à l'absolu ? Est-ce qu'il ne faut pas y regarder de plus près ?
« En ces temps de misères omniprésentes, de violences aveugles, de catastrophes naturelles ou écologiques, parler de la beauté pourrait paraître incongru, inconvenant, voire provocateur. Presque un scandale. Mais à cause de cela même, on voit qu'à l'opposé du mal, la beauté se situe bien à l'autre bout d'une réalité à laquelle nous avons à faire face. Nous sommes donc convaincus qu'au contraire nous avons pour tâche urgente, et permanente, de dévisager ces deux mystères qui constituent les deux extrémités de l'univers vivant : d'un côté, le mal, et de l'autre, la beauté ... Ce qui est en jeu, nous n'en doutons pas, n'est rien moins que l'avenir de la destinée humaine, une destinée qui implique les données fondamentales de la liberté humaine. »Confronté très jeune à ces deux « mystères » par la fréquentation de l'époustouflant site du mont Lu dans sa province natale d'une part, et par le terrible massacre de Nankin perpétré par l'armée japonaise de l'autre, François Cheng livre ses réflexions sur les questions existentielles les plus radicales. Ce faisant, il nous fait revisiter les moments phares de la culture d'Orient et d'Occident.
Un livre remarquable - 28 minutes, Arte
La vie de Corine Sombrun est un roman - La Croix
« Les esprits t'enseigneront », lui avait dit la chamane Enkhetuya au temps de son initiation en Mongolie au début des années 2000. Au cours des deux décennies qui ont suivi l'expérience chamanique s'est muée hors de l'écosystème traditionnel tsaatan en un extraordinaire voyage au coeur de la transe et de son expérimentation scientifique.Se prêtant à toutes les investigations de l'imagerie cérébrale, impliquant tous les domaines de la recherche en neurosciences mais aussi appliquant la transe à la création artistique et poursuivant ses contacts avec les sociétés traditionnelles qui perpétuent une vision holiste du monde, Corine Sombrun n'a de cesse d'élargir le champ perceptif de la connaissance.« Ecrire, c'est aller dans ce périmètre où on n'est plus personne », écrivait Marguerite Duras. La transe et son induction par la seule volonté permet d'atteindre ce lieu du possible et de la joie qui peut reconfigurer toute vie. Le potentiel thérapeutique qui en découle est immense et les implications philosophiques dans la connaissance de soi et le rapport au vivant y sont des pistes aussi précieuses que stimulantes.
De « Journal d'une apprentie chamane » en 2002 aux « Esprits de la steppe » en 2012 , Corine Sombrun a publié tous ses ouvrages aux éditions Albin Michel. Elle a créé en 2019 le Trance Science Research Institute avec une équipe internationale de chercheurs. « Mon initiation chez les chamanes » (2004) a été adapté au cinéma sous le titre « Un monde plus grand ».
Après avoir lu "La lettre à Dieu" qui clôt Le Pain perdu, le pape François décide de rendre visite à Edith Bruck. Cet événement considérable, suivi de plusieurs autres rencontres, est ici raconté sur un ton à la fois tranchant, caustique, ému et poétique. Cette méditation à deux, entre le chef de l'Église catholique et une déportée juive athée, se termine sur l'horreur de la guerre en général et celle de l'Ukraine en particulier. (Olga, l'aide à domicile de l'auteur, toujours présente, est ukrainienne.) Le pape, dans sa préface, souligne l'envergure humaine exceptionnelle d'Edith Bruck et, hanté par la culpabilité de sa communauté quant à la Shoah, situe cette tragédie du xxe siècle sur un plan temporel beaucoup plus vaste, ouvrant vers une réflexion métaphysique.
Kahina Bahloul est la première femme imame en France. Née d'un père kabyle issu d'une famille de marabouts et d'une mère française d'origines juive et catholique, elle a grandi en Algérie où elle a vécu au plus près la montée de l'intégrisme. Spécialiste de la mystique musulmane et plus particulièrement de l'oeuvre d'Ibn `Arabi, le grand mystique andalou, elle décide de s'engager plus activement à la suite des attentats de 2015.
Revendiquant, sur la base de sources classiques, la légitimité pour une femme d'être imame, de diriger les prières et d'enseigner, elle fonde en 2019 la mosquée Fatima, d'inspiration soufie, ouverte aux femmes voilées ou non, mais aussi aux non-musulmans. À l'image de la reine berbère résistante dont elle a hérité le prénom et le caractère, Kahina Bahloul est aujourd'hui présente sur tous les fronts pour évoquer la possibilité d'un islam moderne et libéral.
Pour la première fois, cette femme de dialogue et de paix nous fait partager sa pensée. C'est l'occasion pour elle d'explorer la diversité et la spiritualité inscrite dans ses origines, de témoigner de son parcours et d'expliquer sa vision d'un islam enfin affranchi des peurs et des scléroses.
"Un plaidoyer stimulant pour un islam affranchi" La Croix
Tout a commencé par un rêve où me fut délivré un mystérieux message... Cette nuit-là, Patricia reçoit en songe la visite d'un templier : Jacques de Molay, le dernier grand maître du Temple, brûlé vif sur le bûcher le 18 mars 1314. Celui-ci a une mission à lui confi er.
Pour accomplir ce que l'ancien chevalier attend d'elle, il lui faudra multiplier les rencontres, canaliser de nombreux messages et révélations de l'au-delà, vivre une initiation et des synchronicités saisissantes qui l'amèneront à comprendre bien des mystères entourant cet ordre de moines-soldats dont le destin et la puissance n'ont cessé d'interroger à travers les siècles. Des Vikings aux bâtisseurs du Moyen Âge, de Christophe Colomb à nos jours, Patricia nous fait vivre une épopée insolite, qui n'a pas encore trouvé son terme et dont la conclusion pourrait bouleverser l'ordre du monde.
Comment relever les extraordinaires défis que nous lancent les crises induites par la destruction de notre habitat planétaire ? Faut-il réviser le concept même de propriété privée ? Remettre en cause la souveraineté des États-nations ? Comment construire ensemble les institutions internationales qui permettraient de prendre soin de nos communs globaux que sont le climat mais aussi la biodiversité, la santé, les cultures et jusqu’à la démocratie ?
Car c'est elle qui, aujourd'hui, est menacée par notre refus d'inscrire des limites à la toute-puissance de la personnalité juridique, des techniques extractivistes et de la marchandisation du monde. Où trouverons-nous les ressources politiques, culturelles et spirituelles pour inventer ces limites et en faire une chance plutôt qu'une insupportable privation de liberté ?
Un tel projet exige de refonder l'utopie des Lumières. Et pour cela, de puiser à la source du christianisme, qui constitue l'une de ses matrices historiques. Il implique donc une révision de la manière dont le christianisme se comprend lui-même : expérience stylistique du retrait d'un Dieu qui s'efface pour nous ouvrir à un horizon démocratique qu'il nous revient d'imaginer ensemble ? Ou religion d'un Christ glorieux qui légitimerait une souveraineté politique autoritaire, carnivore, phallocratique et colonialiste ? Telles sont quelques-unes questions que pose ce livre.Apprendre à y répondre participe peut-être de ce que les traditions bibliques nomment la sainteté.Gaël Giraud est économiste et prêtre jésuite. Directeur de recherches au CNRS, il dirige depuis 2021 le programme de justice environnementale à l’université de Georgetown. Il a notamment publié : Vingt propositions pour réformer le capitalisme (avec Cécile Renouard, Flammarion, 2009), Illusion financière (Éditions de l’Atelier, 2013), Produire plus, polluer moins : l’impossible découplage ? (col., Les Petits Matins, 2014).
Qu'ont en commun une guerrière et une sainte ? A priori, rien. Tout semble même les opposer. L'une serait du côté du Mal et du sang, l'autre du Bien et de la lumière. A cette idée, la représentation de Thérèse de Lisieux, proclamée en 1997 trente-troisième docteur de l'Église et sainte française la plus célèbre avec Jeanne d'Arc, semble donner raison. Bouquet de roses et crucifix entre les bras, voile sur la tête et guimpe autour du visage, sourire ténu, ainsi la connait-on. Comme une sainte, et non telle une guerrière. Ce qu'elle était pourtant. C'est le paradoxe que prétend dénouer ce livre. Car aimer son prochain est un combat (qu'on nomme spirituel), une lutte que Thérèse Martin aura menée sa vie durant. Et d'abord contre elle-même.
Dans cet essai biographique passionnant, Jean de Saint-Chéron retrace son existence pour faire, non l'éloge de la bonne soeur aux fleurs, mais celui de la sainte guerrière, et rappeler combien l'amour dont parle la Bible est « une glorieuse guerre ». En sept courts chapitres, on suit sa formation martiale, de son enfance marquée par sa vive piété, son caractère déterminé et la mort de sa mère, à sa conversion à 13 ans, lorsqu'elle comprend que, pour aimer, il lui faudra souffrir beaucoup. De Rome, où elle va conquérir la forteresse du Carmel à la pointe de l'épée en implorant le Pape de la laisser y entrer avant l'âge légal, à son entrée en religion parmi ses soeurs dont elle s'attèle à aimer les défauts, c'est un parcours du combattant qu'elle raconte dans ses écrits et que Jean de Saint-Chéron nous fait revivre en la suivant et la citant avec énergie, science et ardeur. Un éloge puissant et une leçon de foi moderne sur la bataille de l'amour et du pardon.
Si l'apprentissage de la méditation est un long chemin que même les plus grands sages suivent toute leur vie durant, un exercice quotidien peut déjà transformer notre regard sur nous-mêmes et sur le monde. Tel est le propos de cet essai très accessible, à la fois guide spirituel et philosophique et initiation concrète à la pratique de la méditation. Riche de sa double culture, de son expérience de moine, de sa connaissance des textes sacrés, de sa fréquentation des maîtres, Matthieu Ricard montre le caractère universel d'une méditation fondée sur l'amour altruiste, la compassion, le développement des qualités humaines. Et révèle les bienfaits que méditer peut apporter à chacun dans notre société ultra-individualiste et matérialiste pour découvrir et cultiver ses aspirations les plus profondes. Paru en 2008, L'Art de la méditation s'est déjà vendu à plus de 200 000 exemplaires en France, et dans plus de 30 pays. " Ce livre contient l'essentiel : les concepts clés, les bases théoriques, des conseils utiles, des exercices... " Psychologies
Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Simone Weil. Recueil de pensées et de réflexions intimes, "La pesanteur et la grâce" constitue une remarquable initation à l'oeuvre de Simone Weil. Sa démarche, où prend place une expérience spirituelle qui dépasse la raison, montre combien la raison tendue à l'extrême porte un ordre qui n'est pas le sien, qu'elle assimile mais ne dicte pas. Que ce soit l'ordre grec où s'inscrit l'exil, ou le désir de transcendance qui verrait la fin de cet exil, elle ne prend pas la voie simple d'un désir réalisé pour lui-même. Elle impose une exigence temporelle pleinement assumée qui diffère la satisfaction d'obtenir pour soi. Simone Weil représente "l'autre", celui qui est insitué, extérieur et à sa propre tradition et à une tradition d'accueil, l'autre par rapport auquel on doit se situer, presque malgré soi. Aussi tente-t-elle de définir un lieu neuf à la pensée à partir d'une expérience de l'individu lié au monde. Dans son époque, elle repose la question de Dieu selon d'autres normes, sans le souci des preuves, mais selon la nécessité d'un autre discours qu'elle suggère par la recherche d'une méthode et de structures.
C'est au coeur du confinement de mars 2020 que je suis entrée en contact avec mon ange gardien. Ma surprise fut totale lorsque j'appris l'identité de mon visiteur : Walter Hffer. Né en 1902, mort en 1982, ayant partagé sa vie entre l'Allemagne et l'Argentine, pays refuge où il finit ses jours comme viticulteur.
Cet ange gardien, missionné pour veiller sur moi, m'a raconté non seulement ses aventures post mortem, mais aussi comment il a pu rejoindre la Lumière malgré ses choix criminels pendant la Seconde Guerre mondiale. Il m'a parlé du " travail sur nous-mêmes " auquel les bouleversements terrestres actuels nous poussent. Il m'a invitée à réfléchir sur le pardon, non tel que nous le concevons, mais comme une énergie qui calme les souffrances, en libérant de l'emprise de la haine ou du ressentiment. " Il est temps pour l'humanité d'avancer, m'a-t-il dit, et pour soulager notre monde, il faut définitivement soigner les plaies de son histoire. "
C'est cette surprenante rencontre que je partage ici avec vous. Elle nous entraînera sur le chemin de la bienveillance et de la Lumière, nous rappelant que le but de notre existence est l'amour.
Dans Ce lien qui ne meurt jamais, Lytta Basset racontait comment elle avait fait l'expérience de contacts avec son fils aîné mort par suicide à l'âge de vingt-quatre ans. Mais la théologienne protestante, à la fois par discrétion et parce que sa formation ne l'avait pas préparée à de tels aveux, n'avait alors pas tout dit des circonstances qui l'avaient amenée à témoigner.
Quinze ans plus tard, elle ose révéler ce qu'elle appelle « l'Evénement improbable » qui l'a « remise dans le courant de la vie ». Loin de toute motivation sensationnaliste, si elle s'est décidée à prendre la parole, c'est pour aider ceux qui traversent le deuil d'un enfant à ne plus se dire qu'on « ne s'en remet jamais ». Validant l'existence des VSCD - « vécus subjectifs de contact avec un défunt » - elle relit la littérature sur ces questions délicates, en faisant toujours le lien avec les différents récits évangéliques autour de la Résurrection.
Un témoignage proprement extra-ordinaire et un essai courageux.
Lytta Basset a publié de nombreux ouvrages, principalement chez Albin Michel, dont Oser la bienveillance (2014), La Source que je cherche (2017) et Faire face à la perversion (2019). Ce lien qui ne meurt jamais (2007) est aujourd'hui disponible au Livre de Poche.
Dans cet ouvrage, Sogyal Rinpoché concilie l'ancienne sagesse du Tibet et la recherche contemporaine sur la mort et les mourants, sur la nature de l'esprit et de l'univers. Le Livre Tibétain de la Vie et de la Mort clarifie, pour la première fois, la vision complète de la vie et de la mort telle que nous l'offre la tradition tibétaine. L'auteur explique notamment les "bardos", ces états de conscience après la mort qui ont tant fasciné et fait s'interroger artistes, psychologues, scientifiques, médecins et philosophes occidentaux depuis la publication, en 1927, du Bardo Thdol (le Livre des morts Tibétain). Sogyal Rinpoché montre que dans la mort, comme dans la vie, l'espoir existe et qu'il est possible à chacun de nous de transcender sa peur ou son refus pour découvrir ce qui, en nous, survit et ne change pas. Il propose des 'pratiques' simples mais puissantes que chacun, quelle que soit sa religion ou sa culture, peut accomplir afin de transformer sa vie, se préparer à la mort et aider les mourants. Ce livre présente également une introduction lucide et complète à la pratique de la méditation, ainsi qu'aux notions de renaissance et de karma. À ceux qui accompagnent les mourants, l'auteur indique comment les assister avec amour et compassion et comment leur apporter l'aide spirituelle à laquelle tout être humain a droit. À ceux qui travaillent en milieu hospitalier, médecins ou personnel soignant, il donne des conseils qui enrichiront leur expérience. L'auteur nous fait partager sa vision personnelle de l'expérience de proximité de la mort (NDE) selon la perspective tibétaine. Le Livre Tibétain de la Vie et de la Mort n'est pas seulement un chef-d'oeuvre spirituel. C'est aussi un manuel, un guide, un ouvrage de référence et une source d'inspiration sacrée.
De l'Institut Pasteur à l'Himalaya auprès des maîtres spirituels, les Carnets de Matthieu Ricard racontent une vie de moine errant, sans attache matérielle ou géographique, toujours en chemin vers la liberté intérieure et le bien d'autrui.Matthieu Ricard est né en 1967, à l'âge de 21 ans, à Darjeeling, en Inde. Ce jour-là, il rencontre Kangyour Rinpoché, son père spirituel qui l'émerveille par son extraordinaire qualité d'être
. Cinq ans plus tard, alors chercheur en génétique à l'institut Pasteur, promis à un bel avenir, Matthieu Ricard abandonne tout pour vivre dans l'Himalaya. Un choix décisif dont il se félicite chaque jour depuis cinquante ans.
Sa première vie, partagée entre la ville et la campagne, avait fait de lui un jeune homme aimant la nature et la musique classique, curieux de spiritualité et de percer les mystères de la biologie moléculaire. Sa deuxième vie le conduit sur le chemin de l'Éveil, dans les pas de ses maîtres, exemples de cohérence entre leurs paroles et leurs actes. Il partage ainsi pendant douze ans le quotidien de Dilgo Khyentsé Rinpoché, maître admiré du Dalai-lama, source inépuisable d'inspiration.
Pendant trois décennies, la vie à la fois simple et extraordinaire de Matthieu Ricard alterne retraites méditatives dans des lieux les plus inaccessibles et voyages fascinants au Bhoutan, au Népal et au Tibet. Puis, en 1997,
Le Moine et le Philosophe, coécrit avec son père, le philosophe Jean-Francois Revel, paraît. Son succès international inattendu plonge le paisible moine dans un maelstrom d'interviews et de conférences à travers le monde. De livre en livre, il met alors son travail d'auteur et ses talents de photographe au service de son message d'amour altruiste.
Ses
Carnets racontent une vie de moine errant, sans attache matérielle ou géographique, toujours en chemin vers la liberté intérieure et le bien d'autrui.
Matthieu Ricard reverse l'intégralité de ses revenus droits d'auteur de tous ses livres, photographies et conférences à l'association humanitaire Karuna-Shechen.
Reporter de guerre pendant plus de quinze ans, Stéphane Allix a brusquement changé de voie après un événement bouleversant : la mort de son frère, au printemps 2001. Depuis, il explore les mystères de la conscience et de la mort.Dans ce livre qui nous entraîne aux quatre coins du monde à la rencontre de médecins, chercheurs, médiums, lamas tibétains ou de chamanes de la forêt amazonienne, il dresse le tableau des connaissances actuelles sur la mort pour aborder de façon originale et novatrice cette question éternelle : y a t-il une vie après la vie ?« Confronté à la mort de son frère, Stéphane Allix a accompli une enquête avec un acharnement et une honnêteté rares. Un livre remarquable, qui offre un moyen de vaincre la peur et l'ignorance. » Bernard Werber « Stéphane Allix appartient à une nouvelle génération d'explorateurs de la conscience. » Patrice van Eersel« L'enquête menée par Stéphane Allix nous touche au plus profond de nous-mêmes. Curiosité, sensibilité, honnêteté et humilité sont ici au service d'une question essentielle. L'aventure qu'il nous propose est haletante et passionnante. Nous en sortons grandis, approfondis. » Thierry Janssen
Les discours religieux fondamentalistes actuels expriment une obsession croissante de la pudeur des femmes. Réduite aux parties de son corps susceptibles d'éveiller le désir, la femme est « génitalisée » à outrance. Faut-il alors couvrir sa nudité ? Faut-il la renvoyer à son destin : le voilement ?Delphine Horvilleur analyse successivement les sens de la pudeur et de la nudité, l'obsession du corps de la femme et sa représentation comme "être orificiel" pour proposer une autre interprétation de la tradition religieuse. Elle met à mal les lectures qui font de la femme un être tentateur, et de la pudeur l'instrument de sa domintation. Ainsi nous montre-t-elle comment la nudité recouverte d'Adam, d'Eve ou de Noé, renvoie à une culture du désir et non à une volonté de le tuer. Comment le voile est à l'origine destiné, non à rejeter, mais à approcher l'autre. Comment le féminin concerne aussi les hommes qui endossent, dans la prière et la pratique judaïques, les attributs des femmes et du maternel. On découvre alors, dans cette plongée au coeur des grands monothéismes, un autre visage de la femme, de la pudeur, et de la religion.
Qu'est-ce que le bonheur ? Quel est le sens de la vie ? Comment moins souffrir ? Comment mieux aimer ? Et si les réponses à ces grandes questions qui nous animent toutes et tous avaient déjà été données il y a deux mille ans ?
Un homme a prétendu y répondre et certains ont même vu en lui la présence du divin. Jésus rassemble encore à notre époque plus d'un tiers de la planète qui, même face aux avancées des connaissances et aux promesses de la technique, continue de croire en lui... Et s'il nous avait en fait donné toutes les clés pour pouvoir trouver le bonheur et la paix ?
Pourtant, pour celui qui n'est pas initié, ce message peut paraître désuet, illégitime ou décrédibilisé. Voici quelques pages pour tenter de mieux saisir ce qui anime le coeur de ceux qui le suivent aujourd'hui.
Ce livre est un bref chemin intérieur, une quête vers le bonheur, pour comprendre combien croire, si ça ne sert à rien en apparence, peut pourtant tout changer dans nos existences.
Lorsque mon père est décédé j'ai placé des objets dans son cercueil.Je n'en ai parlé à personne.Puis j';ai interrogé des médiums qui disent communiquer avec les morts.Découvriront-ils de quels objets il s'agit ?C'est le test.Peut-on parler avec les morts ? Des femmes et des hommes le prétendent et en font même profession. Des milliers de gens les consultent. Ces capacités sont-elles réelles ou sont-elles une illusion ? Pour répondre à ces interrogations, Stéphane Allix a interrogé six médiums. Les résultats sont stupéfiants et confirment ce que révèlent les recherches scientifiques menées sur ce sujet : la vie après la mort est aujourd'hui une hypothèse rationnelle.Comment devient-on médium ? Est-ce un don ou une malédiction ? Comment décrire ce qui se passe lors de la mort ? Où va-t-on après ? Consulter un médium peut-il aider au processus de deuil ? Comment éviter les charlatans ?Autant de questions que ce livre aborde, nous entraînant à la découverte d'une réalité à la fois simple et vertigineuse : il est possible de communiquer avec ceux que nous aimons au-delà de la mort.
Après le succès du Moine et le Philosophe, un véritable traité du bonheur mais aussi un guide précieux et convaincant pour nos individualismes en mal de repères Nous aspirons tous au bonheur, mais comment le trouver, le retenir et même le définir? À cette question philosophique par excellence, traitée entre pessimisme et raillerie par la pensée occidentale, Matthieu Ricard apporte la réponse du bouddhisme: une réponse exigeante mais apaisante, optimiste et accessible à tous. Cesser de chercher à tout prix le bonheur à l'extérieur de nous, apprendre à regarder en nous-mêmes mais à nous regarder un peu moins nous-mêmes, nous familiariser avec une approche à la fois plus méditative et plus altruiste du monde... Riche de sa double culture, de son expérience de moine, de sa fréquentation des plus grands sages, de sa connaissance des textes sacrés aussi bien que de la souffrance des hommes, l'ambassadeur le plus populaire et le plus reconnu du bouddhisme en France nous propose une réflexion passionnante sur le chemin du bonheur authentique et les moyens de l'atteindre.
Dans ce livre lumineux, le Dalaï-Lama nous explique comment l'essence et la puissance du mysticisme permettent de vivre plus sereinement, d'enrichir l'existence et d'entraîner un changement personnel et social d'une profondeur sans égal.
Offrant sa propre définition du mysticisme, le Prix Nobel de la paix nous montre que cette expérience spirituelle peut métamorphoser notre vie et nous faire progresser sur le chemin de l'éveil.
Par leur force et leur pertinence, les paroles du Dalaï-Lama nous aident à mieux vivre, à mieux être et à mieux agir les uns avec les autres.
La première synthèse de cette envergure sur la Compagnie de Jésus, de sa fondation en 1540 au XXIe siècle qui, pour la première fois, a vu avec François l'élection d'un pape jésuite.Ce volume réunit une Histoire et un Dictionnaire qui donnent la mesure des grandes évolutions de l'institution jésuite comme corps collectif (la Compagnie se considérait elle-même comme un organisme), mais aussi du dynamisme des individualités, souvent extrêmement indépendantes, qui ont animé ce " corps ". Un chapitre particulier est ainsi consacré à l'immense domaine des missions d'évangélisation pour lesquelles, par définition, les jésuites ont sillonné le monde entier : Amérique latine, Inde, Chine, Japon. Les autres grands chapitres historiques permettent d'esquisser, siècle après siècle, une réponse à l'une des grandes interrogations suscitées par le destin mouvementé de cette institution, supprimée sur décision du pape en 1773, avant d'être restaurée (à nouveau par décision papale) plus de quarante ans plus tard, en 1814 : peut-on concevoir une unité de cette histoire rompue et reconstituée, comme aucune autre congrégation religieuse ne l'a été - pas plus qu'aucune autre institution politique ? Comment et à quelles conditions historiographiques cette unité paradoxale fait-elle sens ?
Le Dictionnaire permet, quant à lui, de mettre en évidence l'extraordinaire diversité " professionnelle " des membres d'une Compagnie qui s'est voulue, tant à l'époque moderne que plus récemment, présente sur tous les terrains de la pensée et de l'action : enseignement, sciences théoriques et pratiques, philosophie, théologie, arts, littérature, diplomatie, conseil politique, etc. L'ensemble de ces notices, entrées thématiques et trajectoires biographiques, offre une autre manière de considérer la même question centrale : quel a été le lieu partagé de ces hommes ? Quel a été le ressort de leur ambition personnelle et collective ? Quelle a été la clé - le " secret ", diront les antijésuites - de leur intelligence active du monde ?
Un itinéraire de plus de mille pages, nourri aux meilleures sources, sur une institution unique, tout aussi réellement puissante et féconde qu'invariablement exposée aux mythes et aux fantasmes.
Aveuglé par son enthousiasme, l'Occident l'aurait presque oublié : le bouddhisme est une religion, avec ses dogmes, ses promesses de salut et ses menaces d'enfer. Pour espérer atteindre l'éveil, équivalent de la grâce dans la chrétienté, les disciples du bouddhisme tibétain doivent obéissance et dévotion à un maître.
Y compris lorsqu'il humilie, frappe. Ou viole.
Au cours d'une enquête de onze ans, Élodie Emery et Wandrille Lanos ont recueilli les témoignages de trente-deux victimes. Ils révèlent ici un système qui a couvert, pendant 50 ans, des maîtres bouddhistes adoubés par le Dalaï lama. Certains font l'objet de procédures judiciaires. La plupart sont encore en activité.
Une plongée exceptionnelle dans la part d'ombre du bouddhisme.