Des anecdotes de la vie quotidienne et des images du début du siècle illustrées par des cartes postales anciennes.
Une suite de croquis pittoresques saisis sur le vif, d'anecdotes vécues, que l'auteur nous propose sur ce Berry du bon vieux temps.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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La carte postale est devenue populaire à l'époque où naissait notre siècle. La photographie était alors pratiquée ; aussi, quand l'opérateur dressait son impressionnant appareil dans un village ou dans un quartier, était-il aussitôt entouré par les habitants, tout fiers de poser. Ainsi, a été conservée l'image d'une civilisation, qui échappait encore à la pollution des corps et des esprits, d'une période où le cheval était roi, où l'apparition d'une automobile constituait un événement.
Témoin irremplaçable de la vie collective de nos grands-parents, la carte postale constitue toujours un document consulté avec une nuance de nostalgie.
Pour réunir une collection de ces images du Loir-et-Cher autrefois, en choisissant parmi les plus représentatives et les plus rares, Gérard Jeulin était tout désigné, par son intime connaissance du département et ses amitiés avec les collectionneurs.
Cet ouvrage tonique, passionnant, et savoureux à plus d'un titre, sera apprécié de tous...
André Prudhomme, président de la Société des sciences et lettres du Loir-et-Cher
Après son "Pau pas à pas", Michel Fabre, par ce nouvel ouvrage, veut nous faire revivre la vie d'autrefois, un livre passionnant, riche d'évocations chères aux nostalgiques des temps anciens, qui retrouveront à travers les nombreux documents, souvent rares et précieux, un témoignage vivant sur un passé révolu.
Les auteurs y ont juxtaposé images suisses du début du siècle et anecdotes de la vie quotidienne.
Cet ouvrage, s'il rassemble des cartes postales inédites, et constitue une sorte d'inventaire des lieux et des scènes de la vie dans la vallée, autour de 1900, ne se contente pas de les présenter. Il entend, autour des années 1875-1921, évoquer le quotidien de tous ceux qui vécurent sur les rives de cette belle rivière.
Mais, au-delà, est présenté un cadre de vie exceptionnel, chanté depuis longtemps par les beaux esprits de la province et, plus encore, objet des travaux des peintres, dont le plus illustre fut Courbet. De grands hommes portèrent, en eux, cet attachement à la Loue et à ses abords, comme Granvelle, Courbet, Pergaud, Grévy, Pointelin, et bien d'autres encore.
Jacky Theurot fait partager l'amour qu'il a pour sa région, pour la vallée de la Loue. Maître de conférences à l'Université de Franche-Comté, historien, il met à la disposition de ses contemporains les matériaux qui leur permettent de se réapproprier une part de leur Histoire. Derrière l'historien, se dissimule le géographe, insistant sur la permanence des sites et des paysages, mettant en valeur les ressources d'un milieu. De ce fait, « Au fil de la Loue autrefois » apparaît comme une sorte de guide touristique, concret et enjôleur.
La rivière fantasque en raison de sa faible pente, mais aussi de la perméabilité d'une partie des terrains traversés, baigne des villes historiques comme Langres, Chaumont, Saint-Dizier, Vitry-le-François, Epernay, Meaux. A l'histoire s'ajoute l'anecdote et la légende.
Le département du Finistère résume et symbolise à la fois toute la Bretagne. Les auteurs nous proposent une incursion nostalgique dans le passé avant de faire une promenade dans le Finistère d'aujourd'hui.
Le Calvados est d'une certaine manière la figure emblématique de la Normandie. Terre de beauté, d'art, d'histoire, ce département demeure pour ceux qui l'approchent ou y vivent une source d'enchantement. Et pourtant, que de vicissitudes à travers les siècles... La deuxième guerre mondiale réduisit en poussière les centres de nombre de ses prestigieuses cités. Tout un monde intact depuis des siècles, authentique, bon enfant, qui survit grâce à quelques clichés. Fort heureusement l'essentiel demeure. Bien des années après la Belle Époque, ce département offre toujours des paysages qui comptent parmi les plus paradisiaques de France. Que de battements de coeur aussi. Du jeune Gustave Flaubert à Baudelaire, d'Alphonse Allais à Eugène Boudin, des jeunes filles en fleurs à Sainte-Thérèse de Lisieux.
Il était une fois...
Il n'y a pourtant pas si longtemps, et cependant cela semble si loin. Un siècle seulement...
Et les derniers puits de mines ont fermé leurs portes, les métiers à tisser se sont reconvertis.
Aujourd'hui, tout ceci appartient à l'Histoire d'un pays qui fut la première région industrielle de France.
Dans les années vingt, d'autres richesses naissent. Déjà apparaît ce qu'est la Loire d'aujourd'hui...
Didier Berthomier, journaliste, nous offre avec « La Loire autrefois » un livre tonique, passionnant, savoureux, riche d'évocations chères aux nostalgiques des temps anciens, d'enseignements précieux pour les conquérants du futur et de nombreux documents, souvent rares et précieux.
C'est à l'orée de la Belle Époque que la Savoie prend conscience de son patrimoine naturel et de l'attrait qu'il peut exercer sur un monde urbain en plein développement. Les Annéciens ne sont pas les derniers à réaliser à quel point la nature les a généreusement dotés. La situation est un peu différente en Savoie où la prestigieuse station d'Aix-les-Bains boude un peu son lac et se décide lentement à s'en rapprocher, aidée en cela par Lamartine. Les lacs de montagne, eux, reçoivent surtout la visite des randonneurs et alpinistes. Ils ne vont pas tarder à voir leur quiétude brisée par les exigences de la fée électricité. Michel Germain et Jean-Louis Hébrard nous entraînent à l'aube du XXe siècle, à cette époque charnière où les idées nouvelles mettent en avant le charme de la montagne et la poésie des lacs. La Savoie et la Haute-Savoie en sont généreusement pourvues. « Les lacs de Savoie autrefois », un ouvrage plein de charme, à lire aussi bien qu'à feuilleter.
Une partie de généralités sur le thermalisme au début du siècle et au siècle dernier, le pourquoi des eaux, la vie quotidienne en cure thermale. La présentation exhaustive de toutes les stations thermales d'Auvergne, de Vichy à Chatel-Guyon, en passant par La Bourboule.
N'en déplaise à quelques-uns, l'Eure n'est pas un département "artificiel", ou alors tous le sont. Morceau détaché de l'ancienne Normandie, l'Eure est formée de quelques petits pays contrastés, qui lui donnent un charme fou, et une identité puissante. Les cartes postales du début du siècle, fussent-elles en noir et blanc, témoignent d'un monde quasiment idyllique, et pourtant si proche de nous... Il y avait des rhizomes d'iris, qui poursuivaient leur folle course au petit bonheur le long des murs en ville, un nombre fort restreint d'automobiles, beaucoup de vélocipèdes, pas encore d'usines polluantes, des écoles communales accotées aux mairies...
Pays d'histoire, d'art et de rêve, ce département est chaleureusement évoqué par Emmanuelle (originaire de l'Eure) et Jean-Michel Véchambre, qui vous invitent à suivre des promenades passionnantes : un livre à lire aussi bien qu'à feuilleter.
C'est l'eau qui assure la richesse des cités qui l'exploitent, et vers lesquelles, depuis les temps reculés, les femmes et les hommes viennent y reposer leur corps las, retrouver une santé perdue, puiser une nouvelle jeunesse... Avec l'appui d'une collection inédite de cartes postales anciennes, Jean Aubert nous fait pénétrer dans le monde suranné de ces villes d'eaux du début du siècle, à une époque où les stations thermales s'animaient chaque saison d'une clientèle riche et aisée, en cure autant pour suivre la mode et son cortège d'apparats que pour profiter des vertus curatives de l'eau de source. Bagnères, les Cauterets, Argelès, Ax, Cambo-les-Bains, Amélie-les-Bains, Barbotan, Dax, Eugénie-les-Bains... et bien d'autres ont fait la renommée des Pyrénées en matière de thermalisme. Il fallait leur rendre hommage. Voilà qui est fait et bien fait !
« Les Côtes d'Armor autrefois », ouvrage à lire aussi bien qu'à feuilleter, est le fruit d'une patiente collecte de cartes postales anciennes, amassées au fil de nombreuses recherches.
Le pari était délicat, certes, mais il prouve qu'il était possible, à partir de cette seule catégorie de documents, d'établir un tableau vivant de cette région au début du siècle, alors qu'elle se nommait, de cette appellation jugée trop peu flatteuse, les Côtes du Nord.
Grâce à cette moisson de clichés anciens, Xavier Coadic fait revivre ces années charnières, alors que la société bretonne vivait de ses particularités, alors que les mentalités mêmes se préparaient à des mutations profondes. Un ouvrage pour tous !
La vie rurale au début du siècle est évoquée ici grâce à une série de cartes postales anciennes.
Les Hautes-Pyrénées autrefois..., un autrefois qui fleure bon « le thym, le propre, la lavande et le verbe d'antan » et que l'auteur, André Lasserre a situé à la fin du siècle dernier, ce siècle si proche de nous dans le temps et déjà si lointain dans le domaine des mentalités et des traditions. Ces plongées dans un monde inexorablement révolu, dont on regarde nostalgiquement, comme de tout temps enfoui, les sépias se décolorer sous les vieilles cartes postales, nous enchantent et nous charment. Laissons-nous porter au fil de ces pages, découvrons ces documents souvent rares et précieux, et rêvons...
La vie quotidienne au début du siècle de ce département, illustrée par des clichés et des cartes postales d'époque.
Album d'images retrouvées de la vie quotidienne au début du siècle.
Illustré de cartes postales anciennes et de clichés d'époque.
La diversité des paysages et des climats audois fait regretter aux auteurs en mal de qualificatifs que la formule « terre de contrastes » soit à ce point galvaudée. Un paysage aquitain, le Lauragais, y côtoie les contreforts méridionaux du Massif Central, la Montagne Noire. Le « paysage de western » des Corbières s'estompe pour laisser place à un rivage méditerranéen. La plaine de l'Aude se transforme en allant vers le sud en vallée pyrénéenne. À vol d'oiseau, les étangs salés du Narbonnais ne sont qu'à quelques dizaines de kilomètres des hauts plateaux et des pics du Pays de Sault auquel les forêts de pins donnent parfois des allures de ligne bleue des Vosges. Ainsi a-t-on pu parler, en évoquant le département de l'Aude, de « résumé de la France ».